Soleil

De Lexique du Daingue
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Prologue.[modifier]

Les observatoires du monde entier avaient prévu les éruptions solaires qui avaient commencé la veille. Cela faisait même des semaines que les médias consacraient une large par au phénomène. Certaines régions du globe étaient en état d’alerte, les régions proches des océans car on craignait une marée un peu chaotique pour les prochaines semaines. Depuis le tsunami de 2004, on ne prenait plus les caprices de la nature à la légère. En bref, on avait tout prévu… Sauf les effets que pouvaient avoir les modifications du rayonnement sur les organismes humains. Si on avait pu prévoir le début des effervescences solaires, on était par contre incapable d’en prédire la fin. On ne signala rien le premier jour, mais plusieurs cas au cours de la première semaine. Il fallut une semaine supplémentaire pour mettre en évidence ces manifestations avec les éruptions solaires. La première vague de symptôme toucha de gens enfants, ce qui fut relativement bien accepté par la population… Il n’y a que quand les effets touchèrent des sujets plus âgés que gens commencèrent à s’inquiéter… Voici en quelques courts épisodes des évènements qui se produisirent au cours de la première phase éruptive de notre astre du jour.


Fabien[modifier]

C’était une belle journée… Une magnifique journée. Une journée qui se terminait… Encore une bonne heure au bord de la piscine familiale, un bon goûté et elle serait parfaite. Fabien posa son cartable sur le bain de soleil, y entassa également des vêtements et plongea nu dans l’eau tiède. Il était 15 heures 30, et personne ne rentrait à la maison avant au moins 19 heures… Alors, cool ! Après une bonne demi-heure d’aller retour dans le bassin, il remonta par l’échelle et s’étendit sur le dos, face au soleil sur des pavés presque trop chauds. Il est bien. Le soleil le seiche en quelques minutes seulement et il sent sa peau le picoter par endroit. Il n’a pas mit de crème solaire et il va prendre des coups de soleil ! Sa mère va lui en faire la réfection… Tant pis ! Il ne bouge pas. Il est trop bien. C’est la faim qui le tire de sa torpeur un bon moment plus tard… Un petit tour dans le réfrigérateur, et ce sera bon ! Il se lève d’un bon et se dirige vers la cuisine, toujours nu. La clef de l’immense baie vitrée se cache derrière un pot de fleurs. Le panneau coulisse sans bruit. Il faut traverser le démesuré salon pour atteindre le coin cuisine. Fabien pousse un cri ! Quelque chose l’a piqué quand son pied droit s’est posé sur le bord du tapis. Environ un mètre sur deux… Il est plutôt là pour la décoration car personne ne s’essuie les pieds dessus. Il se retourne, surpris. Il pose son pied nu sur sa cuisse gauche, passe une main sous la plante et la détaille… Rien… si ce n’est cette érection intempestive ! Il hausse les épaules. Il s’accroupit devant le tapis, les pieds bien campés sur le parquet. Il passe sa main à l’endroit ou il a posé son pied nu un instant plus tôt. Rien… Sauf que… Il lui semble que le tissu est rugueux, un contact assez désagréable qui lui donne des frissons, vous savez, comme lorsque qu’on frotte ses doigts entre eux couverts de poussières… Une sensation fort déplaisant, quoi ! Le coca du frigo est juste comme il faut ! Il en boit une partie dans le salon puis, retourne au bord de la piscine en raflant le flacon de crème solaire. Il s’assoit à même le sol, à la même place, pose le reste du coca et entreprend de se passer de la crème solaire. Au passage de ses mains, la pointe de ses seins se dresse… Ce n’est pas désagréable… Seulement inattendu ! Ça n’arrange pas son érection, bien au contraire ! Il terme le coca et s’allonge. Il est bien, à peine surpris de sentir sa verge battre contre son ventre. Il est si bien qu’il va s’endormir… Il commence à sombrer quand une petite pointe de plaisir chatouilles son bas ventre. Il connaît ça ! De temps en temps, c’est le plaisir qui le réveille, le matin quand il ne s’est pas masturbé depuis assez longtemps. Ce plaisir est accompagné de rêves… là, c’est curieux, il est parfaitement conscient de ce plaisir qui grandit dans son ventre… Il ne dort pas, il ne rêve pas ! Il essaie de se redresser, mais dès qu’il bouche, le plaisir se renforce est menace d’exploser. Il ne bouge plus. Que se passe-t-il ? il a envi de jouir, mais il a peur en même temps… Il en a trop envie, il va forcer l’orgasme. Il n’en a pas le temps. Le point de non retour est maintenant dépassé. Il le sait. Une boule de jouissance remonte dans sa gorge. Il commence à gémir. Jamais le plaisir n’a été si fort… Et l’orgasme n’est pas encore vraiment là ! Quand il inonde enfin tout son corps, il pense qu’il est en train de perdre la raison. Il est paralysé par le plaisir. C’est tout juste s’il sent son sperme mouiller son ventre. Un cri ininterrompu et faible sort de ses lèvres. Le plaisir se calme. Pas tout à fait. Il se redresse. Il tâte son ventre, ses seins. Il enserre ses jambes avec ses bras et repose son front sur ses genoux. Un moment passe. Le plaisir semble renaître dans son ventre. Péniblement, il rampe vers le salon. L’ombre l’enveloppe. Le plaisir décroît puis, disparaît. Il se lève, les jambes tremblantes. Mécaniquement, mais en évitant le tapis, il se précipita vers le frigo et vida deux cocas d’un seul coup. Une de ses mains frottait son ventre en plein de cet improbable plaisir. Revigoré, il retourna vers le bord de la piscine. Le plaisir se manifesta moins de 5 minutes après son exposition au soleil. Il retourna précipitamment à l’ombre. Le plaisir disparu presque immédiatement. La preuve était maintenant faite. C’est le soleil qui provoquait son plaisir !

Sabrina[modifier]

Etonnant qu’il fasse aussi beau ! Sabrina rageait. Elle avait cet exposé de sciences à préparer et le soleil était une véritable provocation ! Sans doute à cause des fameuses éruptions solaires dont tout le monde parlait. Heureusement, sa chambre donnait plein sud, et à cette heure de l’après midi, la vue était imprenable. Par contre, la chaleur devenait étouffante. Elle s’était approchée de la fenêtre pour profiter des rayons du soleil. Elle apportait une grande importance à son bronzage Et mettait un point d’honneur à ce que l’on ne voit jamais la bretelle du soutien gorges, alors c’est naturellement seulement vêtue d’un slip microscopique qu’elle planchait sur ce foutu exposé. De temps à autre, elle regardait si sa peau ne rougissait pas. Elle avait beau avoir la peau très mate, à travers les carreaux, il fallait se méfier. De fines gouttes de sueur perlaient sur son front et une goutte plus grosse coulait entre ses seins. Machinalement, Elle s’essuya les seins d’un revers de main. Elle eut un violent mouvement de recul. Ses seins étaient d’une extraordinaire sensibilité. Ce simple frôlement avait provoque autant de sensations que près d’un quart d’heure de caresses appliquées quand elle prenait du plaisir, le soir, dans son lit, avant de s’endormir. Voulant en avoir le cœur net, elle titilla la pointe de son sein droit avec précaution. Le résultat lui coupa le souffle. Sabrina avait un défaut. Elle adorait le plaisir et c’est par fainéantise qu’elle ne s’y adonnait pas plus souvent… Mais là, s’il suffisait de quelques gestes… L’exposé de sciences venait brusquement de pendre plusieurs place dans la liste de ses priorités. Elle repoussa sa chaise pour s’allonger sur le plancher en ôtant son slip au passage. Ses doigts agiles s’emparèrent de la pointe de ses seins et commencèrent à rouler doucement. Son corps s’arqua immédiatement sous la poussée du plaisir. Pas de signe avant-coureur, juste l’orgasme, puissant, suffoquant. Elle ne contrôlait plus ses mouvements. Ses mains étaient tombées sur le plancher, sans force, mais le plaisir n’en était pas du tout amoindri, bien au contraire. Toute sa force et son attention étaient concentrés dans son ventre et ses hanches qui ondulaient au gré des vagues de jouissances sauvages. Le temps n’existait plus. Son rêve était-il en train de ses réaliser… Une jouissance sans fin ? Quand le plaisir commença à décroître lentement, elle en fut extrêmement déçue. Elle rassembla toutes ses forces pour reprendre le contrôle de ses mouvements pour remettre ses mains sur ses seins. Le seul contact des paumes sur les pointes suffit à relancer l’orgasme. Plus rien d’autre ne comptait que ce monstrueux plaisir qui dévorait son ventre, sa poitrine, ses jambes… Quand elle reprit connaissance, elle sut immédiatement qu’elle n’avait pas rêvé. Elle referma précipitamment les yeux à cause du soleil. Le plaisir n’avait pas totalement disparu et menaçait même de jaillir de nouveau. Pourtant, elle ne faisait cette fois absolument rien pour ça ! Elle se laissa submerger par la jouissance encore une fois, incapable de résister. Son esprit embrumé réussit à établir la relation entre le soleil et cette gigantesque jouissance. Quand le plaisir décrut, elle pensa attendre le prochain orgasme, mais elle se força à rouler sur le côté pour se mettre hors de porté des rayons lumineux. Elle avait raison ! Le plaisir disparaissait complètement ! Elle allait de nouveau se laisser glisser vers le soleil quand un coup de sonnette retentit au rez-de-chaussée. Elle était très contrariée. Elle voulait jouir de nouveau ! Elle se releva vivement en jurant et jeta un œil rapide par la fenêtre ! Elle recula prestement dès que les premiers picotement inondèrent son bas ventre. C’était sa mère qui avait encore une fois oubliées ses clés ! Pas moyen de temporiser ! En jurant de nouveau, elle se jette sur le peignoir de bain qui traîne sur une chaise. Elle fait une grimace quand la manche du peignoir touche son bras, mais son geste est lancé. Elle ne peut pas empêcher le peignoir de tomber sur ses épaules nues… Ce n’est pas une grimace, c’est un cri qu’elle pousse en lutant pour se débarrasser du tissu éponge. Elle jette le sortie de bain le plus loin possible d’elle. Ses neurones fonctionnent à 200 à l’heure ! Elle ne peut plus s’habiller… Il va falloir aller ouvrir à sa mère… Elle est dans la merde… Néanmoins, elle n’arrive pas vraiment à avoir peur… Le souvenir très présents des orgasmes à répétition l’en empêche…

Excursion[modifier]

Carole commençait à fatiguer, elle aussi. Les enfants en avaient marre… Elle ne s’y attendait pas. Ce n’était pas le première sortie de l’année, loin de la, et les enfants étaient d’ordinaire plus résistants. De plus, la ballade était relativement courte par rapport à d’autres… Elle ne comprenait pas. Les enfants, enfin, certains avaient un comportement bizarre. Plusieurs avaient commencé à se plaindre de douleurs sous la plante des pieds pendant le déjeuné et s’étaient déchaussés. Deux, un garçon et une fille avaient refusé de remettre leurs chaussures quand elle avait donné le signal du départ… Elle avait d’abord cru à un caprice ou à un pari et s’était mise en colère, mais la fille s’était mise à pleurer en disant que ça faisait trop mal et cela avait un peu ébranlé sa détermination. Après s’être concertée avec les trois autres accompagnatrices, elle avait décidé de laisser tomber… Il restait encore plus de deux heures de marche et carole n’était maintenant plus certaines d’arriver avant la nuit… Plus du tiers des gosses étaient maintenant pieds nus. Certains les tenaient encore à la main, mais beaucoup s’en étaient débarrassées en les jetant dans les fossés. Sans vouloir se l’avouer, elle commençait à se sentir un peu dépassée. Le soleil tapait, anormalement pour cette fin d’après midi, et la chaleur la gênait… Elle avait failli s’énerver quand plusieurs garçons avaient jeter leur tee-shirt et avait carrément faillit s’étrangler quand les filles avaient fait la même chose ! Pour couronner le tout, les gamins exigeaient de faire une pause… Carole allait devenir folle… Et cette chaleur ! Cette chaleur ! Ces sales gosses ne voulaient pas repartir… Il fallait prendre une décision… Deux des accompagnatrices redescendraient les enfants qui semblaient se comporter normalement tandis que Carole et Virginie resteraient avec les autres… Carole blanchissait de minute en minute, malgré la chaleur accablante. Elle venait d’entendre Virginie s’indigner bruyamment. Un des garçons venait de se déshabiller entièrement. Il se tenait nu au milieu des autres, le sexe dressé. Avec consternation, elle vit les autres, garçons et filles se dénuder également. Le monde ne tournait plus rond… Elle rêvait, et elle allait bien sûr se réveiller ! Virginie tournait en rond entre les enfants, comme Carole, incapable de croire ce qu’elle voyait. Soudain, il se forma un cercle. Carole se précipita. Un des enfants, Sébastien, était allongé sur le dos et poussait de petits cris plaintifs. Du sperme jaillissait de sa verge et il serrait ses mains contre son ventre… Elle n’en croyait pas ses yeux. Tout près d’elle, une des gamines, Laetitia se laissait tomber dans l’herbe, et Carole s’aperçut que la jeune fille faisait rouler la pointe de ses seins entre ses doigts. En quelques minutes, tous les enfants étaient dans le même état. Le chemin n’était plus qu’un concert de lamentations extatiques. Carole et Virginie reculèrent de quelques pas et se prirent par la main comme pour se rassurer mutuellement. Le spectacle était proprement incroyable, irréaliste. Une quinzaine de jeune entre 13 et 15 ans, des deux sexes, en train de se tordre de plaisir sur le sol herbeux d’un chemin de campagne… Les yeux écarquillés, elles regardaient les corps gigoter, plusieurs jeunes se léchaient les pieds entre eux… Cela resta gravé dans les souvenirs de Carole. Il fallut attendre le couché du soleil pour que les enfants commencent à se redresser… C’est seulement à ce moment là que carole comprit. Le soleil ! C’était le soleil !

Angéline[modifier]

Vivement 17 heures qu’elle puisse partir ! Elle en avait raz le bol ! Du classement, encore du classement, encore du classement… Depuis presque 1 an et demi qu’elle était en contrat d’alternance dans cette entreprise, elle n’avait pas souvent fait autre chose. Alors, elle faisait ses 8 heures sans faire le moindre effort. Cela lui poserait probablement quelques problèmes le jour de l’examen Pour l’instant, elle portait toute son attention à un couple de moineaux qui voletait de branche en branche. On était vendredi… Dans moins de 3 heures le week-end ! Elle se sentait bien, très bien… Elle avait chaud, pourtant, la fenêtre était ouverte depuis le matin. Elle regarda le soleil en clignant des yeux. Elle se demanda si cette chaleur précoce avait un rapport avec les éruptions solaires dont on parlait à la télé, à la radio, dans la presse depuis des semaines… Probablement… Elle se leva, jeta un œil dans le couloir pour s’assurer qu’il n’y avait personne, ferma la porte. Elle se débarrassa prestement de ses chaussures et enleva son collant. Elle serait mieux comme ça ! Il faisait presque 30°C dans le bureau. Elle tassa le collant dans son sac, haussa les épaules, ôta 3 boutons de son chemisier, se contorsionna pour dégrafer son soutien gorges qu’elle fourra dans son sac par-dessus le collant… Elle sourit en reboutonnant vite son corsage. C’était plutôt la tenue de Week-end, ça ! Elle ouvre la porte et retourne s’asseoir. Elle se sent bien mieux, mais quelque chose la gêne encore… Elle sourit en disant à haute voix. « Ne faut quand même pas exagérer ! » Elle sourit encore puis se précipite vers la porte, la ferme doucement et ôtes-en un geste sa culotte qu’elle roule rapidement dans la paume de sa main. Elle rouvre la porte et retourne s’asseoir en glissant subrepticement sa culotte sans son tiroir. Il est temps ! Le patron entre avec une pile de document qu’il pose sur le coin de son bureau. Il ressort en fredonnant un air connu. Il ne lui a même pas accordé un regard. Dommage… Elle adore q’on la regarde quand elle ne porte pas grand chose sur le dos… Aujourd’hui encore plus que d’habitude… Elle est très excitée ! Il faut qu’elle se montre mais elle se rend compte qu’elle est un peu ridicule avec ses chaussures fermées alors qu’elle ne porte plus qu’une bande de tissu appelé « jupe » et un corsage ouvert jusqu’à la naissance des seins. Elle se souvient qu’elle a laissé une paire de mules à talon dans son armoire, l’été dernier. Elle ouvre l’armoire. Dans le fond, elle trouve les mules… Elles sont transparentes et très fines. Les autres chaussures remplacent les mules au fond de l’armoire. Là, elle se sent vraiment bien ! Sans but, elle s’engage dans le couloir… Les bureaux sont ouverts. Elle sait qu’on la regarde, qu’on la déshabille du regard… Elle adore ça… Son plaisir devient presque tangible. Quand elle s’en rend compte, elle est effrayée. Ses seins lui font mal car la pointe frotte désagréablement sur le tissu du corsage. Les semelles de plastique transparent semblent brûler la plante de ses pieds. Ça se calme un peu quand elle passe du côté sombre du couloir… Elle retourne vers son bureau, l’esprit et le corps en feu. Elle se laisse tomber sur le fauteuil, en plein soleil, de nouveau. Elle débarrasse de ses mules et regarde ses pieds nus posés sur le sol. Son petit 37 ne lui est jamais apparu aussi beau ! Elle entrouvre son corsage. Elle est bien… Très bien… Trop bien. Elle ferme les yeux… Le plaisir fouille son ventre, tout doucement… Elle se laisse emporter par la vague… Elle serait mieux nue, mais elle n’ose pas et n’a pas le courage de bouger… Dans sa tête, l’idée vient toute seule… C’est l’équivalent qu quart d’un orgasme… Mais ça ne s’arrête pas ! Elle sent qu’il ne faudrait pas grand chose pour qu’elle se mette à jouir, là, sur son fauteuil ! Ce n’est pas l’endroit ! Pourtant ! Un cri ! Elle sursaute. Ça vient de l’étage en dessous. Elle se lève avec précaution et à regret. Elle essaye de mettre ses mules, mais c’est impossible. Elle avance vers le couloir, puis l’escalier, pieds nus. Ses seins la gêne moins et le plaisir diminue, elle referme 2 boutons du corsage… La jouissance disparaît totalement dans l’ombre de l’escalier et c’est en pleine possession de ses moyens qu’elle arrive dans le hall du bâtiment. Le bâtiment est orienté au Nord et il n’y a pas d’ouverture au sud… Il y a un attroupement dans l’aile gauche… Elle s’approche doucement. Elle n’en croit pas ses yeux ! Deux filles se tordent sur le sol, Aline et Magalie. Elles sont entièrement nues et poussent des gémissements qui ne reflètent en rien la douleur… Magalie enserre son ventre avec ses bras comme pour tenter de contenir le plaisir. Aline pétrit son ventre d’une main tandis qu’elle caresse un de ses pieds nus de l’autre. Horrifiée, elle s’aperçoit qu’elle frotte son pied nu droit sur son pied nu gauche avec plaisir… Elle regagne son bureau… Dès qu’elle est assise au soleil, le plaisir reprend. Elle ne peut plus douter, maintenant… C’est le soleil. Elle rassemble ses affaires et se prépare à partir. Il est 15 heures 30. Impossible de mettre ses mules… Elle quitte le bâtiment par la porte de secours, sans se faire remarquer. Dans la cours, elle marche doucement car le plaisir est de retour. Elle n’a qu’une idée en tête. S’abandonner complètement au plaisir, entièrement nue, dès qu’elle sera rentrée chez elle… Une chose s’inquiète. Va-elle pouvoir conduire sa voiture dans les brumes de plaisir qui l’entoure ?

Bilan[modifier]

On était pourtant certain, cette fois, de ne n’avoir rien oublié ! C’est vrai ! On avait pensé à tout ! Depuis la tempête de 1999, la canicule de 2003, puis le tsunami de 2004, dès qu’il y avait un risque potentiel, même le plus faible, on employait les grands moyens. Le principe de précaution était devenu en quelques années une manière de faire courante. On avait tout prévu, sauf ça ! On avait prévu les tsunamis, les tremblements de terre, les cyclones, les tempêtes, les avalanches, la fonte des glaciers, les canicules, les raz de marrée, les glissements de terrain, les incendies de forêt, les orages, la foudre, la perturbation des ondes électromagnétiques, les pannes géantes d’électricités, enfin tout ! Quoi ! Mais pas… Ça ! Pas que les premières victimes des perturbations électromagnétiques seraient les humains ! Dans tous les pays, de moins ceux ou c’était le jour, c’était une panique indescriptible ! Les standards des hôpitaux, des pompiers, de la police étaient totalement saturés. Les plus sensibles étaient les plus jeunes, du moins pendant les premières heures, car dès la fin de l’après midi, des gens beaucoup plus âgés étaient touchés. On s’aperçut très vite qu’il n’y avait pas grand chose à faire, si ce n’est placer les gens à l’ombre. Mais pas facile de garder à l’ombre des gens qui ne rêve que de retourner au soleil ! Difficile de blâmer ces gens, même les plus jeunes ! Comment auraient-ils pu résister à la promesse d’une jouissance sans cesse plus forte. Néanmoins, en quelques heures seulement, le pays fut complètement désorganisé. Rien de dramatique tant que le rayonnement ne toucha que les écoles, puis les universités. Puis ce fut les accident de voiture en série. Certaines personnes n’eurent pas le temps d’arrêter leur voiture avant que l’orgasme ne paralyse leurs mouvements. On fit très vite le rapport entre la nudité persistante et la durée d’exposition au soleil… Immédiatement, des messages furent diffusés à la radio et à la télévision pour mettre en garde les gens. Sans cesse les ondes invitent les gens à rester chez eux et à se protéger du soleil, à tout prix. Déjà, des milliers de jeunes en Europe ne peuvent plus supporter le moindre bout de tissu, même lorsqu’ils ne sont plus sous l’influence du radiation solaire. Immédiatement, ou dans les heures qui suivirent, des associations se créèrent spontanément. Les unes pour exiger l’interdiction formelle de la nudité et interdire la libre circulation des « nus », les autres au contraire pour garantir la liberté de circulation des personnes atteintes par le rayonnement solaire et ainsi défendre leur droit à disposer de leur corps, c’est à dire leur droit à rester au soleil. Les trois premiers jours furent les plus difficiles… Cette phase solaire devait durer plus de trois mois… Le temps de rendre définitivement nu des millions de personnes.

Aline[modifier]

Aline reprit connaissance dans l’ambulance qui la ramenait chez elle. Le plaisir avait eu raison d’elle. Les souvenirs lui revenaient lentement en mémoire. Soudain, elle sursauta ! Magalie ! Elle tourna vivement la tête et aperçut Magalie sur la couchette de l’autre côté de l’ambulance. Elle semblait encore sans connaissance. Tout était allé très vite, trop vite ! La chaleur, ce lent déshabillage et enfin cet… Cet… Horrible plaisir… Horrible, mais combien délicieux ! Elle sourit toute seule rien qu’à cette évocation. Puis elle pensa à Fred, Frédéric… Où était-il ? Etait-il sensible au rayonnement solaire ? Sinon, comment allait-il prendre la chose ? Elles ne pouvaient plus s’habiller… Elle avait entendu les conversations autour d’elle pendant son transfert dans l’ambulance. Les infirmiers et probablement un médecin ? Si un sujet très sensible était exposé au soleil pendant plus d’une heure, la nudité était maintenue pendant plusieurs semaines, voir plusieurs mois ! Il semblait bien que Magalie et elle soient « très » sensible, à en juger par la violence de leur plaisir. Et le mari de Magalie ? Un mauvais coucheur avec lequel elle n’était visiblement pas heureuse… Il ne lui passait absolument rien… Sa nudité ne serait qu’un prétexte de plus. Un gémissement la tira de ses réflexions. Magalie refaisait surface. Elle se massait le ventre en s’étirant. Puis se fut son traditionnel… – J’y crois po ! – C’est vrai, pourtant ! – J’ai bien cru que j’allais devenir folle de plaisir ! N’importe quoi pour recommencer ! – Pas avant demain… Le soleil va bientôt se coucher… – Tu es certaine que c’est bien le soleil ? – Tu n’as rien entendu quand ils nous ont emmené ? – Non ! la dernière chose que j’ai vu c’est la fille en alternance, là… heu ? – Angéline ? – Oui, c’est ça ! Et bien, elle était pieds nus dans le couloir, la bouche ouverte, les yeux écarquillés ! Des pieds qu’elle a magnifiques, d’ailleurs… Sûrement un petit 37… – Tiens, toi aussi tu t’intéresses aux pieds nus ? – Ben oui ! Pas toi ? Elle fronça les sourcils dans un intense moment de concentration… – Oui… C’est curieux, en effet, termina-t-elle en haussant les épaules. Magalie se redressa et faillit tomber de la couchette. – Merde ! Ma fille ! Je devais aller la chercher à l’école aujourd’hui ! – Stéphane n’est pas là ? – Non, il est en déplacement pour 15 jours… heureusement d’ailleurs ! L’ambulance stoppa brusquement et les portes arrières s’ouvrir. Un infirmier goguenard fit une révérence en disant : « Ces dames sont arrivées… » L’ambulance était arrêtée devant la maison de Magalie, à la campagne. L’ambulancier reprit, agacé – Allez ! Tout le monde descend, terminus ! Magalie descend immédiatement, mais Aline réplique – Ce n’est pas chez moi ! L’ambulancier la regarde d’un air mauvais. – C’est déjà beau que l’on fasse le taxi, alors n’en demande pas de trop ! Je ramasse des filles et des gamins depuis la fin de matinée, alors j’en ai ma claque pour aujourd’hui, OK ? Allez, ouste ! Aline hausse les épaules et saute de l’ambulance pour rejoindre Magalie. Le véhicule démarre en trombe dans un nuage de poussière. Magalie ouvre la barrière et traverse la pelouse en traînant Aline par la main. Elle ramasse la clé derrière le pot de fleur et se précipite à l’intérieur. Le téléphone sonne. Elle décroche. – Oui ! – … – D’accord, merci ! – … – Je viens de rentrer… Je … Je suis… Nue – … – Les votre aussi, même la grande ? – … – Oui, je veux bien, c’est très gentil, encore merci ! Elle raccroche en souriant et se tourne vers Aline. – C’était ma voisine. Elle a pris Cyrielle à l’école. Elle est dans le même état que nous, toute nue… Ainsi que les trois gosses de la voisine… Elle la garde pour la nuit, je le reprendrai demain matin ! – Tu vois, tu avais tord de t’en faire ! – Oui… Tu crois que l’on pourrait accrocher les derniers rayons du soleil si on montait sur la terrasse maintenant ? Elle attrape de nouveau Aline pas la main et l’entraîne dans l’escalier. En effet, on voit encore nettement le soleil… Plus pour très longtemps et ses rayons sont très faibles. Elles se tiennent toujours la main, face aux rayons du soleil couchant. Les pointes des seins se dressent. Aline porte une main du son ventre… C’est très faible, mais c’est là… Elle demande à Magalie. – Tu sens la même chose que moi ? – Dans le ventre, le plaisir… oui ! Elle se tourne vers Aline, la prend par les épaules et la force gentiment à la regarder. Elles n’ont plus besoin de parler. Aline pose ses mains sur la poitrine de Magalie qui pousse un gémissement. Elle essaye d’atteindre les seins d’Aline, les gestes alourdis par le plaisir. Elles glissent toutes deux au sol. Tout naturellement et sans s’être concertées, leurs bouches cherchent les pieds nus de l’autre dans un ensemble parfait. Avec l’aide des dernières lueurs solaires, l’orgasme commun explose immédiatement.

Magalie.[modifier]

Aline et Magalie sont dans la cuisine, le regard terne… Le soleil est couché et le plaisir a déserté leur ventre. La réalité reprend le dessus… Elles ressentent un immense vide. Magalie vient d’essayer de passer un tee-shirt. Elle l’a jeté sur le mur avec rage. Impossible ! Elle revient s’asseoir en face d’Aline. Magalie se passe une main sur la poitrine et pousse un soupir d’aise. Elle dit – Au moins, on n’a pas tout perdu ! – Les pieds aussi sont sensibles… – Qu’est ce qui nous arrive ? Tu te rends compte que l’on ne peut plus s’habiller ? Stéphane va me tuer ! – Merde ! S’écrit Aline en sautant sur ses pieds. Frédo ! Je l’ai complètement zappé ! – Pi je ne peux pas te conduire… La voiture est restée sur le parking de l’usine et Stéphane est en déplacement avec l’autre… Il va faire nuit noire dans moins d’une demi-heure… – Je vais téléphoner chez moi, il y est peut être déjà ! Aline fait son numéro. Elle hoche la tête et s’impatiente. Il n’y a visiblement personne à l’autre bout. Elle marmonne quelques mots et raccroche. – Personne… Il n’est pas encore rentré. J’ai laissé un message sur le répondeur. Il saura au moins ou je suis ! – Tu crois qu’il… Est… – Quoi ? – Ben comme nous, quoi ? Nu ? Aline sourit, les yeux dans le vague… – Je ne sais pas… Mais j’aimerais bien, je crois… – A ton air, je vois bien comment ça finirait… Du bruit dans la rue attire leur attention… Elles vont à la fenêtre. A une dizaine de mètres, sur la route, un groupe de jeunes, filles et garçons, marche en parlant fort. Dans la pénombre, on peut distinctement voir qu’aucun d’entre eux ne porte pas le moindre vêtement. Magalie allume instinctivement la télé. Il va être 20 heures. Après quelques pubs, le journal commence. PPDA a un air de circonstance, à la fois ferme et compassé. Il enchaîne sans transition, un commentaire monocorde sur des images édifiantes. Des dizaines de plans montrent des femmes et des hommes terrasses par les monstrueux orgasmes provoqués par le rayonnement solaire. A la vue de ces images, Magalie se caresse distraitement la poitrine tandis qu’Aline joue avec un de ses pieds nus. Retour au studio et plan rapproché sur l’invité de PPDA, un professeur au nom imprononçable. – PPDA : Ces images nous semblent dramatiques, mais elles sont, semble-t-il, très appréciée des victimes, si nous pouvons les appeler par ce mot. – DS : Oui, en effet. Ce sont là des cas extrêmes de personnes très sensibles au rayonnement. Pour beaucoup d’autres personnes, les effets sont beaucoup moins spectaculaires… – PPDA : Mais ça risque de ne pas durer ? – DS : Oui, encore une fois, le rayonnement mesuré aujourd’hui est faible par rapport à ce qui est prévu dans les prochains jours. – PPDA : Vous voulez dire que plus de personnes encore vont être touchées ? – DS : Absolument ! – PPDA : Des effets secondaires à craindre ? – DS : Bien sûr ! Nous avons constaté qu’après deux heures d’exposition, les sujets étaient incapables de s’habiller. Nous pouvons déjà affirmer que cette nudité forcée durera au moins le temps de cette première éruption solaire, c’est à dire environ 6 semaines. Magalie éteint la télé en disant – Et ben ! On sait au moins à quoi s’en tenir ! A poil pour presque deux mois ! Ce qui me rassure, c’est que visiblement, nous sommes loin d’être les seules… – C’est clair ! Mais… Ben ce n’est pas pour me déplaire… Le soleil me manque… Enfin, le plaisir me manque déjà… Pas toi ? – Bien sûr que si ! J’ai hâte d’être demain main au levé du soleil… Dit, Aline ? Je peux te poser une question ? – Bien sûr ! – Tes pieds… C’est idiot… Mais… Bon ! Tes pieds et même les miens… N’attirent… Pas toi ? Ne te moque pas de moi ! – Je ne vais sûrement pas me moquer de toi alors que je sens exactement la même chose que toi… Aline se lève et se met à genou devant les pieds nus de Magalie. Elle va y poser les lèvres quand 3 coups sourds font résonner la porte. Les filles sursautent, frustrées. Elles se dirigent toutes les deux vers la porte et l’ouvre franchement. D’une seule voix, on entend – Frédo !

Frédérique[modifier]

Le garçon est grand, mince, roux et… Nu ! Sa respiration est rapide, comme s’il avait couru et sa peau est luisante de sueur. Le regard d’Aline s’illumine quand elle pose les yeux sur le corps nu de Frédo. Ce qu’elle espérait est bien arrivé. Frédo est nu ! Elle redoutait un peu ce moment… En effet, en y réfléchissant, comment auraient-ils pu se comprendre autrement. Comment expliquer et faire comprendre à l’autre ce que l’on ressent ! Aline remarque immédiatement les traces de spermes sur les cuisses du jeune homme. Elle constate d’un ton moqueur. – On dirait que tu as eu… Quelques problèmes ? Non ? Au fait, comment es-tu venu jusqu’ici ? – Je pourrais peut-être tu raconter ça à l’intérieur, non ? Magalie semble se réveiller. Si son copain, Stéphane, pouvait être aussi nu que Frédo… ne rêvons pas… Elle s’exclame – Bien sûr ! Entre vite ! Tiens, on va s’installer dans le salon. Le canapé et les fauteuils sont en cuir et ça ne devrait pas trop nous gêner… – Mais il y a ton tapis ! – Non, il est au nettoyage et c’est tant mieux, en effet, car nous n’aurions pas pu mettre nos petits pieds nus dessus ! Aline et Frédo s’assoient dans le canapé. Magalie prend le fauteuil en face. Aline ne se laisse pas distraire. – Alors ? Comment es-tu venu ? – J’ai eu ton message quand je suis rentré. Pour rentrer du boulot, je n’ai pas osé prendre le train à poil… C’est un routier qui m’a pris en stop. Heureusement que notre voisine garde une clé, parce que… pas de poche pour mettre la mienne, termine-t-il en riant et en passant ses mains sur son torse. Magalie remarque une légère crispation des lèvres quand ses mains passent sur ses seins. Aline reprend – Et pour venir de la maison jusqu’ici ? – La voisine m’a prêté un vélo, mais j’ai crevé dans la forêt à plus d’un kilomètre d’ici… Et ça explique… ça… Il essuie machinalement les traces d’humidité sur ses cuisses. Aline hausse les sourcils et demande. – Et ? – Et ne me dites pas que vous n’avez pas les pieds sensibles toutes les deux… Alors, avec les gravillons de la route… J’ai eu deux orgasmes, voilà ! Et toi, comment es-tu arrivé chez Mag ? – On est rentré du boulot en ambulance et le chauffeur m’a largué ici, voilà ! Tu… Tu es attire par les pieds, toi aussi ? – Ben je crois que c’est général. Les pieds et la sensibilité des seins… Magalie se met à rire et déclare – Par moment, je crois bien que j’aie même envie de lécher mes propres pieds nus, c’est idiot, n’est ce pas ? – Pas du tout, répond Fred, je l’ai fait plusieurs fois aujourd’hui ! Et j’ai vu pas mal de fille le faire ! – Ben je ne me retiendrai pas la prochaine fois, alors ! Termine Magalie. Elle se lève et demande – Je suppose que vous avez faim ? Je vais faire un truc vite fait ! Sans attendre de réponse, elle disparaît dans la cuisine. Quand elle revient, le spectacle qu’elle a sous les yeux la met dans un incroyable état d’excitation. Fred s’est installé dans une position mi-tailleur, mi-lotus, Aline s’est couchée sur le ventre et lèche avidement un des pieds nus de Fred. Ses jambes pendent sur le bord du canapé. Magalie pose difficilement le plateau sur la table basse. Son regard est fixé sur les pieds nus d’Aline qui se balancent au rythme de ses coups de langue sur les pieds nus de Fred. Elle est comme hypnotisée par ce balancement et se rend compte qu’elle ne peut pas s’en détacher. Elle pense à ce qu’a dit Fred… et à ce qu’elle a répondu… « je ne résisterai pas… » Elle contourne la table basse, s’assoit sur ses talons face à la plante des pieds nus d’Aline. Elle se saisit d’un pied nu tandis que l’autre, de son balancement naturel, frotte sur la pointe d’un de ses seins… elle ne peut retenir ses gémissements. Le plaisir est presque instantané. Epuisée, Magalie n’a même plus la force de lécher les pieds d’Aline. Elle sent d’ailleurs les jambes de la jeune fille se retirer doucement. Elle s’appuie sur le canapé et ferme les yeux… Elle va dormir… La journée a été tuante. Une main la prend son un bras et la tire vers le haut. Elle se laisse guider, machinalement. Elle se retrouve en position assise sans trop savoir comment. Elle sent deux corps chaud l’entourer, un poids sur un sein, un autre sur le ventre… Elle ouvre un œil. La main qui repose sur son ventre est celle de Fred, celle qui repose sur son sein celle d’Aline. Les pieds nus des deux reposent sur les siens… Elle est très bien…

Linh et Bakari[modifier]

Une voix douce prononce son nom. – Fabien… Fabien… Il a peur. Le soleil est couché depuis longtemps, mais sa nudité est toujours aussi complète ! Que va dire sa mère ? De plus, son excitation à du mal à disparaître et elle est encore très visible ! – Fabien… La voix se rapproche. De toutes façons, il va bien falloir regarder les choses en face. Il ne va pas pouvoir rester éternellement caché derrière ce bar ! il va bien falloir qu’il sorte ! Il est coincé derrière le bar, assit en tailleur. Ses mains jouent avec ses pieds nus, son sexe est encore dressé et à 15 ans, ça commence sérieusement à se remarquer ! L’envie de se lécher les pieds était encore très forte, même si maintenant, il arrivait à la contenir. Soudain, il croit qu’il rêve. Ce ne peut être que ça… là, juste dans l’entré du bar, 4 pieds nus sont sagement posés sur le plancher. Il relève les yeux doucement. Oui, ce sont bien des pieds nus, des pieds de filles, sûr, et des pieds de… garçon… ou de fille, il ne sait pas trop. En fait, ça dépend de l’age du garçon… ce qu’il sait, par contre, c’est que les pieds sont noirs avec seulement une ligne plus claire à la cambrure. Ceux de la fille sont blancs. Il lève un peu plus la tête. Il n’y a pas que les pieds qui soient nus ! Les pieds nus noirs, c’est bien un garçon, pas de doute possible, le sexe est aussi gonflé que le sien. La fille est probablement une eurasienne… aussi belle que ses pieds nus… Le visage de sa mère vient s’encadrer entre le garçon et la fille. Elle sourit ! – Et bien, fabien ? Qu’est ce que tu fais là ? Ho ! je sais… tu ne sais pas ce qui t’arrive ! Tu n’as pas eu idée d’allumer la télé ? tu aurais appris qu’il y a des centaines de cas comme toi ! En voici d’ailleurs deux devant toi, comme tu peux le voir ! Fabien se lève. Il a le réflexe instinctif de cacher son sexe entre ses mains, mais constate immédiatement que c’est inutile. Il sont nus tous les trois et le sexe du garçon est aussi raide que le sien. Sa mère reprend – Je te présente Linh et Bakari. Ce sont les enfants adoptifs de caroline, une copine de boulot. Il y aurait qu’elle, elle les aurait bien gardé avec elle, mais son compagnon ne veut pas entendre parler de nudité sous son toit… Enfin, quand c’est pour toucher les allocs, il est bien là quand même et… Fabien la coupe. Il sait que quand sa mère s’embarque dans ce genre d’explication, il y en a pour des heures ! – Maman ! le pourquoi n’est peut-être pas si important que ça, non ? – Tu as raison, trésor, le principal, c’est qu’ils soient là ! et… je ne pense pas que ça te dérange… – Pas du tout, au contraire. La, il ne ment pas ! Les pieds de Linh le rendent dingue et il doit reconnaître, à contre cœur, que ceux de Bakari de le laisse pas indifférent. Il se demande quand même ce qui rend sa mère si tolérante. Elle est habillée normalement, donc… puis il comprend. Elle est en tong, chose très improbable en temps ordinaire. ‘est toujours escarpins et bas noirs… Il n’a pas le temps d’échafauder d’hypothèse, sa mère reprend la parole. – Oui, je suis touché aussi, pas beaucoup, mais assez pour comprendre certaines choses. L’attirance pour les pieds nus, par exemple. Ce n’est pas trop dur pour toi ? – Pourquoi pour moi ? – Comme si tu ne le savais pas… – Alors tu sais… – Que tu n’as pas attendu aujourd’hui pour aimer les pieds nus ? Bien sûr que oui ! Tu n’as jamais été très discret depuis… 6-7 ans maintenant, n’est ce pas ? Termine-t-elle en riant. Allez, tu ferais mieux d’aider Linh et Bakari à s’installer ! Je vais prendre une douche ! Fabien se tourna vers Linh et Bakari, plus à l’aise, tout d’un coup. – Bienvenue Linh, tu… Tu as des pieds magnifiques… La jeune fille salua et en caressant légèrement le sexe de Fabien, sans aucune retenue. – Je te remercie et je te crois sur parole, ça se voit ! Rouge de confusion, il se tourne vers Bakari. Il n’a pas le temps de parler. Avec un sourire, il affirme – Alors toi aussi tu aimes les pieds nus, enfin, je veux dire, tu les aimais avant le soleil, n’est ce pas ? – Oui, en effet… – Alors, nous sommes deux et je suis content de te connaître… J’aime tes pieds nus ! Fabien rougit puis hausse les épaules. C’est idiot. Il n’a plus rien à cacher ! – Les tiens aussi Bakari, pas autant de ceux de Linh, mais je les aime beaucoup aussi ! Il attrape Linh et Bakari par le coup et les attirent vers lui. Il sent les mains de la jeune fille chercher ses seins tandis que son sexe s’écrase sur la cuisse de la jeune fille et pendant que les pieds nus de Bakari enserrent les siens. Dans un souffle, il arrive à articuler – Pas ici… Il y a trop de tissu, nous serons bien mieux installés au bord de la piscine ! Les trois corps s’enlacent au bord de la piscine, les mains, les bouches et les pieds nus se mélangent. Dans la pénombre, personne ne sait vraiment quel pied nu il lèche…

Carole[modifier]

Il y a longtemps que les secours auraient dû arriver ! Inadmissible. Que s’était-il donc passé ? Et comment faire manger tout le monde ? Comment allait se passer la nuit si personne ne venait à leur secours ? Voilà quelqu’une des questions qui tournaient dans la tête de Carole. Heureusement, les gosses semblaient s’être calmés, enfin, c’était moins tumultueux qu’avant le couché du soleil. Le pire moment avait été quand sa collègue avait ôté précipitamment ses chaussures et chaussettes et déboutonné son corsage. Elle regarda Virginie. La jeune fille était adossée à un arbre dans la nuit tombante. – Allez, Virginie ! Il faut trouver un abri pour la nuit. Ne te laisse pas abattre… Ce n’est pas si grave… – Pas grave ? Je ne suis pratiquement mis à poil devant les gosses ! Quelques minutes de plus, et tu me retrouvais en train de leur lécher les pieds, j’en suis certaine ! Pas si grave ? – Ça va mieux, maintenant ? – Pour les seins, oui, j’ai pu remettre deux boutons, mais pour les pieds… Et en plus je n’en ai pas envie ! – Tu as toujours envie de… – De leur lécher les pieds . Oui ! ça ne passe pas ! C’est pour cette raison que je reste à l’écart. Je ne suis pas sûre de pouvoir me contrôler… – Et les deux qui sont venus te voir tout à l’heure, que voulaient-ils ? – Elles… C’était des filles… Elles trouvent que j’ai de beaux pieds et elles veulent en profiter… Je les ai renvoyer, mais ça me coûte ! – Pourquoi… – Je crois que tu ne peux pas comprendre… Elles ont raison ! J’ai des pieds nus magnifiques, a tel point que moi aussi j’ai envie de les lécher ! – Ne me laisse pas seule ! – Non, il y a une sorte de grotte pas très loin d’ici. Moins d’un kilomètre. Je vais t’y conduire, et après, je m’éclipse ! – Non, reste avec nous ! – Tu veux que je te fasse un dessin sur ce qui va arriver si je reste ? Et je te parle que de cette nuit ! pense un peu au lever du soleil demain matin… – Ok, je vais les rassembler. Tu viens ? – Non ! je reste à distance ! je… C’est mieux, je te dis ! Carole s’approche du groupe de jeunes. Ils ne se rendent pas compte de la gravité de la situation. Deux des filles sont en train de se lécher mutuellement les pieds. Un garçon et une fille se caressent les seins à tour de rôle en gloussant de plaisir. Deux garçons sont en peine discussion. L’un tient le pied nu de l’autre dans ses mains en suivant les contours avec ses doigts. Il commente à l’autre la beauté de son pied nu. Pour Carole, tout cela est irréaliste. Un des garçons, un des plus jeunes, demande. – Dit donc Carole ! Pourquoi tu ne te fous pas à poil, c’est hyper cool ! Et puis j’aimerais bien voir tes pieds nus ! – Ce n’est pas le moment ! il faut trouver un abri pour la nuit ! – Ben on est pas mal, là, m’dame – Virginie connaît une grotte dans le coin et on y va ! – Putain ! Les pieds d’enfer qu’elle a Virginie ! Demain, au soleil, elle va craquer, c’est sûr ! – Bon ! Ok ! Essaye de rassembler tes camarades. On part tout de suite, allez ! Rassemblez vos vêtements en même temps ! Une fille d’une douzaine d’années se leva et dit – Ça, ça ne va pas être possible ! Je ne peux pas les toucher… Et les autres non plus. Et puis, on n’a aucune envie de s’habiller ! – Ok ! Alors venez nus, mais venez ! Carole rejoint Virginie. – Alors, ça passe un peu ? – Pareil ? – Oui ! – Toujours autant envie de te… – C’est bizarre, tu n’arrives pas à le dire, hein ! Me lécher mes pieds ? La réponse est oui ! Alors on y va avant que je sois obligée de passer à l’acte. Virginie s’ébranle. Elle la suit en vérifiant que le reste du groupe suit. Pas vraiment de bon cœur, mais ça suit ! Carole n’a jamais vu Virginie dans cet état. La jeune fille est tendue, agressive. Virginie ne s’est pas trompée. La grotte est là. Elle montre la grotte d’un bras et s’éloigne de quelques mètres. Carole voit que Virginie a de nouveau déboutonné son corsage. Les jeunes s’installent devant l’entrée de la grotte. Un des garçons s’assoit et commence immédiatement à se lécher les pieds. Il est rejoint par trois filles et un autre garçon. Les deux filles s’allongent tête-bêche et recommencent tranquillement à se lécher mutuellement les pieds. Rien que de très normal, semble-t-il ! Carole secoue la tête et va rejoindre Virginie. Dans la pénombre, le visage de la jeune fille est couvert de sueur et un sillon coule entre ses seins – Mon dieu, Virginie ! ça ne va pas ? – Je me retiens depuis trop longtemps… je n’en peux plus, il faut que je le fasse. Virginie ôte son corsage, déchire sa jupe est son slip. Elle est nue, haletante. Soudain, elle regarde ses pieds nus, son visage se crispe et elle porte la main sur son ventre. Elle se prépare à s’asseoir, puis d’un dernier sursaut se reprend. Elle part en courant vers la forêt. Carole entend une voix derrière elle. Elle se retourne vivement. Le garçon de tout à l’heure, celui qui voulait qu’elle se déshabille se tient derrière elle, un sourire béa. Il sourit et déclare, comme si c’était une évidence. – Dans son état, elle ne va pas pouvoir aller très loin… Il se met en route dans la direction qu’a prise Virginie. Carole réagit aussitôt. Elle le dépasse et se met devant lui, lui barrant la route d’un air déterminé. – Tu restes ici ! je t’interdis que quitter le camp ! Le garçon se montre soudain menaçant. Il veut la pousser mais s’aperçoit à temps qu’elle est habillée. Il grogne – Tu es qui, toi, pour vouloir m’empêcher de passer ? Il faudrait une montagne pour m’empêcher de m’occuper de ces pieds nus là ! Dégage ! Carole capitule. D’instinct, elle sait qu’elle n’aura pas le dessus. Son sexe dresse bat contre son ventre. Son excitation est proche de celle de Virginie. Elle s’écarte. Le garçon s’engage dans la direction qu’a prise Virginie. Il se retourne au bout de quelques mètres pour dire – Ne t’inquiète pas ! Nous serons de retour… Tous les deux, avant le lever du soleil… Je ne veux pas rater ce lever de soleil avec tout le groupe. Ça va être le maxi pied ! Carole reste seule, les bras ballants. Seuls les gémissements de plaisir trouent le silence.

Levé de soleil.[modifier]

Aline, Magalie, Fred Aline ouvre brusquement un œil. Quelqu’un gémit tout prêt d’elle. Il fait encore nuit, mais le jour commence à poindre. Une lueur blafarde illumine le jardin. Elle comprend pourquoi elle entend gémir… Machinalement, elle est en train de malaxer le sein gauche de Magalie. Elle se saisit de la pointe d’une de ses propres seins et constate qu’ils sont aussi sensibles que la veille au soir… Elle a faim et a besoin d’une douche. Elle regarde le plateau repas intact de la veille. Elle se lève, laissant Magalie glisser dans les bras de Fred. Elle sourit. Il y a moins de 24 heures, elle aurait pu tuer Magalie pour s’être trouver nue contre le corps nu de Fred… Ce matin, ça n’a pas vraiment d’importance, pas qu’elle n’aime plus Fred, bien au contraire, mais depuis hier soir et avec le plaisir que lui à donné Magalie en léchant ses pieds nus, elle les considère au même rang, alors les voir enlacés ne la dérange pas. Elle hésite entre manger tout de suite et prendre sa douche. Elle opte finalement pour la douche. Fred, les yeux mi-clos, regarde Aline s’éloigner vers la salle de bain. Il n’ose pas trop bouger de peur de réveiller Magalie, pourtant, le contact avec le corps nue de la jeune fille l’excite terriblement. Il n’est pas vraiment en érection, mais il sent, comment dire, des impatiences dans le bas ventre. Il décide de fermer les yeux et d’attendre un peu quand une envie beaucoup plus pressante remplie soudain son esprit. L’envie impérative de lécher ses pieds nus. Il panique un peu car il sait très bien qu’il ne pourra pas résister. Il a essayé hier, et il s’est quand même jeter sur ses pieds nus. Il tente de se dégager doucement mais Magalie ouvre immédiatement les yeux. Elle lui sourit puis s’aperçoit se son air crispé. – Quelque chose ne va pas ? – Non ! Enfin, mes pieds ! J’ai envie… Beaucoup ! Magalie toujours souriante réplique. – Attend ! La jeune femme s’allonge à la place laissée vacante par Aline, lance les jambes et par une adroite rotation les place sur les cuisses de Fred. Instantanément, le jeune homme ne pense plus à ses pieds nus. L’image de ceux de Magalie s’imprime littéralement dans son cerveau. Comme si ce n’était pas suffisant, Magalie lève les jambes et place ses pieds nus à la hauteur de l’estomac de Fred. Cette fois, c’est trop. Fred s’empare des chevilles de Magalie et se met à lécher et embrasser les pieds nus. Le plaisir inonde aussitôt les cuisses du jeune homme tandis que Magalie pousse de petits cris au rythme de la langue de Fred. Aline n’est pas encore sortie de la douche quand Magalie et Fred se redresse. Le jeune homme s’essuie sommairement les cuisses d’un revers de main en riant. Magalie le prend par la main en l’entraîne sous la douche rejoindre Aline. Ils se serrent tous trois dans l’étroite cabine. La douche est vraiment trop exiguë pour se presser à des ébats sérieux, tout juste quelques caresses et quelques gloussements voluptueux. Sans essayer de s’essuyer, ils se rassemblent autour de la table basse et tape dans les sandwichs de la veille. Dehors, le ciel devient laiteux. Les premiers rayons du soleil ne vont pas tarder à apparaître. L’excitation monte et les yeux se mettent à briller. Magalie rassemble ce qui traîne sur la table basse et le jète dans l’évier de la cuisine. De retour dans la salle, elle déclare. – Prêts ? – Tu ne devais pas prendre ta fille chez la voisine ? Dès que le soleil va être levé, ni elle ni toi, pourrez vous déplacer, du moins, pas sur vos deux jambes, demande Aline. – Je sais, mais d’un autre côté, je me rends compte que si elle vient, je risque que de faire des choses… qu’une mère ne devrait pas faire, mais sans pouvoir ne pas le faire… – Comme lécher ses pieds nus, par exemple ? Intervint Fred – Je ne voulais pas le dire, mais oui, c’est ça… J’y pense déjà alors qu’elle n’est pas là, alors… – Elle ne va pas rester éternellement chez la voisine, insista Aline – Je sais bien, mais pour aujourd’hui… Je ne préfère pas… Là, elle est avec des gosses de son age… C’est moins… Choquant, peut-être ? – J’ai bien peur qu’un pied nu soit un pied nu et que nous n’y puissions pas grand chose, conclue Fred… Ils se regardèrent. Tout le monde avait parfaitement comprit. Il serait probablement impossible d’ériger des barrières contre certains comportements instinctifs. Sans un mot, ils s’engagèrent dans l’escalier menant à la terrasse. C’est une question de minutes avant que les premiers rayons du soleil frappent la terrasse. Les radiations sont là, faibles mais elles sont là. L’air est déjà chaud. Frédérique fait le tour de la terrasse. Il baisse la tête vers sa poitrine. La pointe de ses seins vient de se dresser. Il sourit. Ça ne va plus tarder… Magalie s’appuie sur la rambarde. Instinctivement, elle regarde vers la maison des voisins, ceux qui gardent Cyrielle. Le plaisir gonfle dans son ventre et sa vue se trouble. Elle voit les enfants sortir de la maison et courir sur la pelouse. Ils ne courent pas longtemps… Ils sont nus et se tordent sur le sol. Les mains crispées sur la balustrade, elle reconnaît sa fille. Des lames de plaisir de plus en plus longues et de plus en plus fortes traversent son ventre. Elle pousse un hurlement et s’effondre. Ses mains griffent son ventre et ses seins. Elle sent le corps chaud d’Aline contre elle et s’y agrippe et la serre contre elle. Fred veut rejoindre les filles, mais il a trop présumé de ses forces. Ce n’est d’ailleurs pas vraiment le terme, ça c’est sa force qui justement lui joue des tours. Il a fait le premier pas trop rapidement et l’orgasme à faillit exploser. Il sait par expérience (Son voyage depuis la ville la veille au soir) qu’il ne va pas pouvoir retarder l'ouragan très longtemps. C’est une question de secondes ! Il se laisse tomber sur le sol et commence à ramper vers Aline en prenant soin de ne surtout pas se servir de ses jambes. Rien n’y fait. La jouissance continue de grandir dans son ventre. Il est à quelques dizaines de centimètres quand la jouissance atteint le point de non-retour. Il sait qu’il n’y arrivera pas. Le moindre mouvement va déclencher l’orgasme. Même s’il ne bouge plus, c’est d’ailleurs inévitable. Un des pieds nus d’Aline est si près ! Il se redresse en poussant un cri, exactement à l’instant ou l’orgasme inonde son ventre et les carreaux de briques de la terrasse. Il a quand même réussi ! Le pied nu d’Aline est tout contre ses lèvres…

Circulation[modifier]

Angéline[modifier]

Une chance, le parking est à l’ombre et le plaisir se calme. Dans la voiture, premier déboire ! Elle doit se débarrasser du bout de moquette qu’elle pose sous ses chaussures. Ses pieds nus ne la supportent pas. C’est la toute première fois qu’elle conduit pieds nus ! C’est agréable, le contact des pédales sur sa peau nue, les vibrations, la texture du caoutchouc. Pas de problème jusqu’au premier feu. La route est toujours à l’ombre. Elle tourne et prend la rue principale. C’est une véritable catastrophe ! Il y a des voitures dans tous les sens. Elle doit s’arrêter, presque en plein soleil. Immédiatement, le plaisir refait son apparition, piquant ! La pointe de ses seins la brûle et elle doit pratiquement arracher le tissu de son gilet pour calmer la supplice. Elle regarde à droite et à gauche… Personne ne regarde dans sa direction, fort heureusement. La file de véhicules repart lentement. Une voiture est arrêtée à cheval sur la route et la piste cyclable. Elle est obligée de débrayer brusquement. La manœuvre lui arrache une grimace et un grognement. Chaque mouvement un peu vif augment la sensation de plaisir qui campe dans son bas ventre. Elle manœuvre pour dépasser la voiture, et la file s’arrête de nouveau. Cette fois, elle a anticipé et ne pousse qu’un petit gémissement. N’ayant rien d’autre à faire, elle regarde la voiture mal garée sur sa droite. Des vêtements traînent sur le trottoir. Elle se penche un peu pour mieux voir. Deux formes féminines sont allongées sur le goudron. Une femme d’une bonne trentaine et une gamine d’une douzaine d’années. Elles se tordent sur le sol, comme Magalie et Aline tout à l’heure… Sans doute une mère qui revient de chercher sa fille à l’école. Les voir la met dans un état d’excitation épouvantable. Elle doit serrer les dents pour se contraindre à ne pas arracher ses vêtements et se ruer hors de la voiture. Elle est quasiment au bord de l’orgasme quand la file de voitures repart. Chaque mouvement lui demande un effort considérable. Des larmes de frustration et de jouissance troublent sa vue. Elle est terrorisée à l’idée de se retrouver comme la femme qu’elle vient de voir. Heureusement, le passage entre les immeubles en hors de portée du soleil et ça lui permet de reprendre un peu confiance. Malgré la climatisation à fond, elle brûle littéralement et son gilet lui brûle les épaules et le dos, tandis de sa jupe râpe douloureusement ses cuisses et ses fesses. Ses mains sont crispées sur le volant pour la traversée du pont, en plein soleil. Elle doit, il faut qu’elle arrive au feu. Elle se fixe sur cette idée tentant d’oublier tout le reste. Vers le milieu du pont, elle ne tient plus ! Ses épaules lui font mal ! son regard s’obscurcit entre les larmes. Elle lâche le volant et se débarrasse de son gilet sur le siège passager. Le comique de la situation lui traverse l’esprit dans un instant de lucidité… « Je suis en train de me foutre à poil dans ma voiture » Elle a soudain un fou rire nerveux qu’elle ne peut pas calmer. Elle a faillit rentrer dans la voiture de devant et s’arrête in extremis ! L’ombre est la bienvenue… Toute la rue est à l’ombre, jusqu’au rond point. Après… Dans le rond point, c’est l’horreur. Il y a des voitures dans tous les sens. Il y a eu plusieurs accrochages et elle aperçoit des formes nues sur le sol en plein milieu du carrefour. Elle a peur, vraiment cette fois. Il faut qu’elle sorte de là, sinon, c’est elle la prochaine forme sur le sol ! Elle passe la première, braque à gauche pour se dégager de la file, accroche le pare-chocs de la voiture de devant. Sans s’arrêter, elle s’engage dans le rond point à contre sens. Elle accélère… En fait, elle met le pied au plancher ! La force pour maintenant la jambe en demi-accélération est trop grand et menace de faire exploser l’orgasme. Elle vise la rue de gauche. Au passage, elle frotte les portières d’une voiture, se fraye un passage entre deux autres voitures en emportant le par-chocs de l’un d’elles. Enfin, la voie est dégagée et surtout, à l’ombre. Il y a plusieurs filles nues à la limites entre l’ombre et le soleil, elles semblent hésiter… Il lui semble reconnaître sa voisine… Elle entre dans la cour intérieure. Elle est arrivée ! Elle coupe le moteur et s’effondre sur le volant en pleurant. La cour est déserte. Il n’y a que deux locataires et visiblement, sa voisine n’est pas rentrer… C’est elle qu’elle a vue, maintenant, elle en est certaine ! Inutile de remettre le gilet, d’ailleurs, elle le laisse dans la voiture. Elle ouvre la porte de son appartement et apprécie la fraîcheur des tommettes sous ses pieds nus. En quelques mouvements, elle se débarrasse du reste de ses vêtements et pousse un soupir d’aise. Pourtant, à l’ombre et à la fraîcheur de la cuisine, la sensation de plaisir et très faible, mais toujours présente. Maintenant qu’elle se sait à l’abri des regards indiscrets, elle va pouvoir rattraper le temps et le plaisir perdu ! La seule pièce de l’appartement encore au soleil à cette heure est la salle de bain. Elle vérifie la fermeture de la porte et laisse une clé engager dans la serrure pour que son copain ne la surprenne pas. Elle entre dans la salle de bain. La pièce est dans la pénombre car les rideaux masquent l’immense fenêtre aux vitres dépolies. Elle les ouvre d’un geste sec. Immédiatement, une aiguille de plaisir parcourt son ventre. La jouissance prend immédiatement de la force, plus que dans la voiture. Elle regarde le carreau et comprend. Le verre de la fenêtre concentre les rayons du soleil et elle se trouve au milieu du faisceau. En quelques secondes, elle est au bord de l’orgasme. Ses jambes ne la portent plus et elle doit s’accrocher au lavabo pour ne pas tomber. Elle se laisse glisser sur le sol chaud. L’orgasme tend son corps comme un arc avant d’elle soit tout à fait allongée. Elle a le souffle coupé et ne peut même pas évacuer le cri qui empli ses poumons. Quand sa poitrine recommence à se soulever presque normalement, c’est pour laisser passer une sorte de gémissement sans fin. Le soleil va disparaître… Le plaisir décroît lentement… Elle tourne la tête et se voit dans la grande glace qui couvre pratiquement tout le mur… Elle y voit très distinctement la plante de ses pieds nus, légèrement salies d’avoir marcher pieds nus… Elle s’aperçoit qu’elle ne peut en détacher le regard. Elle ne comprend pas ce qu’il se passe. Elle a besoin de quelque chose, visiblement lié à ses pieds nus, mais elle ne comprend pas quoi… La solution apparaît dans son esprit sans qu’elle comprenne par quel miracle. Elle doit, elle a envie de lécher ses pieds nus, de les embrasser, de les sentir contre son visage, contre ses seins, dans sa bouche. Une partie de son cerveau s’insurge contre cette vision, mais son corps ne lui obéit plus. Elle s’empare de son pied nu droit et le lèche avec ardeur. Le plaisir l’emporte de nouveau avec violence et ses dents se plantent dans son talon avec délice. On tape à la porte, des coups forts, brutaux. Elle ne peut pas bouger, c’est trop bon. La microscopique partie de son cerveau qui reste capable d’analyse lui souffle. « Tu te rends compte que tu es en train de prendre ton pied en mordillant ton pied ? Tu es en train de devenir folle ma pauvre fille » Elle hausse mentalement les épaules… Elle attrape son deuxième pied nu de façon à pourvoir les mordiller tous les deux en même temps. On frappe toujours violemment à la porte…

Florence[modifier]

Florence a chaud. Il fait anormalement chaud en cette fin d’après midi. Ce n’est pas normal. Bien entendu, elle sait qu’il risque d’y avoir quelques phénomènes atmosphériques à cause des éruptions solaires, mais elle ne s’attendait à une augmentation de la température… Plutôt à de la houle, du vent, voire une véritable tempête… Mais elle a un bon bateau, et ça ne lui fait pas vraiment peur… Le soleil vient de se coucher et malgré la nuit tombante, la chaleur reste étouffante. Elle s’est débarrassée de son ciré et de son gros pull depuis déjà un bon moment, comme de ses bottes et son pantalon étanche. Elle sourit… C’est la première fois qu’elle se retrouve pieds nus, en tee-shirt et en petite culotte à la barre de son bateau. Cependant, la sueur lui coule entre les seins et entre les fesses. Elle hausse les épaules ! Elle est à des miles et des milles de toute côte, et personne ne risque de la voir ! Elle fait passer son tee-shirt par-dessus sa tête et le jette en direction de la cabine. Après un instant d’hésitation, la petite culotte rejoint le tee-shirt… Elle est assise sur le pont de bois, entièrement nue et elle se concentre de nouveau sur le cap, puis branche le pilotage automatique. Elle reste un moment à savourer la douceur de la brise sur son corps nu. C’est agréable et elle s’étonne de ne pas en avoir profité plus tôt… Elle a du mal à l’admettre, mais ça l’excite terriblement ! Il fait presque nuit et après avoir vérifié une dernière fois, elle décide de descendre dans la cabine pour manger et dormir quelques heures. La cabine est étroite, mais confortable. Comme sur le pont, il fait une chaleur étouffante et elle reste nue… Elle ne se reconnaît pas. C’est aussi la première fois qu’elle se retrouve nue dans la cabine. D’ordinaire, elle ne prend pas le temps de s’arrêter sur des détails, mais là, la pointe de ses seins est dressée, ce qui la surprend. Mais le professionnalisme reprend le dessus et elle s’attaque à une boite de ration. Son sommeil est peuplé de rêves idiots et elle se réveille toutes les 10 minutes. Des rêves idiots mais qui ont tous, un point central commun. Les pieds, toujours nus ! Tantôt elle est au milieu d’une foule et elle a oublié de mettre ses chaussures ou elle est allongée sur une table, et des dizaines de personnes défilent et donnent à haute voix des appréciations sur ses pieds nus… Des rêves idiots, quoi ! A 6 heures, bien avant le levé du soleil, elle est à la barre, sur le pont. Le bateau a un tout petit peu dérivé et elle recale le pilote automatique. Dans quelques heures, elle va traverser une passe dangereuse, pleine de récifs et elle va avoir besoin de tous ses moyens. Elle descend se faire chauffer une tasse de café vers 7 heures alors que l’aube trace une ligne blanche sur l’horizon. En même temps, elle consulte rapidement une carte. Les récifs dans moins d’une heure, si le vent ne change pas. Il fait jour quand elle remonte et les premières lueurs du soleil pointent sur la mer. L’air est déjà chaud, elle transpire déjà abondamment. Machinalement, elle passe une mai sur a poitrine pour s’essuyer et pousse un cri. Elle regarde alternativement sa main puis ses seins sans comprendre. Le geste a provoqué une délicieuse onde de plaisir dans son bas ventre ! Elle touche la pointe d’un sein avec précaution. Elle enlève immédiatement son doigt ! C’est extraordinaire ! Elle pince son sein et se courbe en deux de plaisir. Elle se redresse, déconcertée. Elle attend que le plaisir disparaisse pour tenter une nouvelle expérience, mais il y a un hic… Le plaisir ne baisse pas… On dirait plutôt le contraire… Elle a un moment de panique… Elle ne va pas se mettre à jouir, là, debout sur le pont ! Pourtant, ça en prend bien le chemin ! Les ondes de plaisir sont maintenant régulières et deviennent de plus en plus fortes. Elle s’accroche à la barre pour ne pas tomber. Ce n’est pourtant pas le moment ! Les récifs ne sont plus qu’à quelques brasses. Elle jette un coup d’œil aux voiles. Il y en a trop ! Elle se déplace maladroitement vers le grand mat. La jouissance est de plus en plus vive. Chaque pas lui arrache une grimace de plaisir. Elle aimerait bien s’allonger et se laisser gagner par l’orgasme, mais c’est impossible ! Elle doit tenir… Sa vie en dépend ! La passe est trop dangereuse et elle ne peut pas se permettre la moindre erreur. Beaucoup de marins ont payé de leur vie une trop grande distraction. A chaque mouvement, l’orgasme risque d’exploser. Au prix d’un immense effort sur elle-même pour réprimer son envie de se laisser aller à la jouissance, elle réussit à carguer une partie de la toile de façon à réduire la vitesse de l’embarcation de manière significative. Reste à rejoindre la barre… Elle se retourne un peu vite et comprend immédiatement qu’elle n’y arrivera pas. L’orgasme va se répandre dans son corps et elle ne peut plus rien tenter pour l’en empêcher ! Elle est probablement en train de devenir folle… Ce ne peut être que ça ! Elle glisse le long du mat vers le pont de bois. Ses mains pétrissent son ventre et ses seins, et sa vue s’obscurcit. Elle ne pense plus aux récifs, elle est le plaisir, la jouissance incarnée. Des lames de plaisir déchirent son ventre, brûlent divinement ses seins, agacent délicieusement sa gorge. Entre ses larmes de bonheur, elle aperçoit ses pieds nus posés sur le pont, au bout de ses jambes repliées. Avec une souplesse dont elle ne se savait pas capable, elle se laisse tomber en avant et se met à lécher les talons. Le plaisir envahit son cerveau. Dans un très bref instant de lucidité, elle est certaine d’être en train de devenir folle. Puis la jouissance obscurcit son regard… Elle perd connaissance, le plaisir est trop fort. Elle ne sait depuis combien de temps elle est là ! Tout lui revient lentement en mémoire, le monstrueux orgasme, ses pieds nus. Rien que d’y penser, elle sent le plaisir toujours présent dans son ventre augmenter. L’envie de recommencer à lécher ses pieds nus se fait plus envahissante dans son esprit, mais elle lute pour la repousser… Si elle ne retourne pas rapidement à la barre, elle n’aura pas d’autres occasions de lécher ses pieds… Difficile sous 60 mètres d’eau ! Dès le premier mouvement, elle sait que ce n’est pas gagné. Si elle insiste, l’orgasme la clouera sur le pont avant qu’elle se mette debout. Prudente, elle rampe vers la barre en essayant de se servir de ses jambes le moins possible. Elle s’accroche à la barre avec des bouts de cordes. Elle évite deux gros récifs avant de succomber à un nouvel orgasme. Les heures qui suivent sont à la fois les plus dures et les plus agréables de sa vie. C’est une alternance d’intenses et courts moments d’attention à éviter les récifs entrecoupés d’une multitude d’orgasmes. Ce n’est que dans la soirée, alors qu’elle sort de la passe qu’elle reprend à peu près la maîtrise de son corps. Le plaisir est loin d’avoir déserté son ventre, mais elle contrôle suffisamment ses mouvements pour empêcher les orgasmes de ses déclencher. Une demi-heure sans orgasme, c’est un réel exploit. Elle s’assure de ne plus être dans une zone dangereuse avant de programmer le pilote automatique. Elle se détache et s’éloigne de la barre. Elle va enfin pouvoir se lécher les pieds car l’idée de l’a pas quitter de toute la journée. Dès que sa langue touche la plante, son ventre est parcouru de violents spasmes de plaisir… Quelques temps plus tard, après le couché du soleil, Florence, épuisée, s’endort sur ses pieds nus.

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