Mystérieuse Australie

Voyage

C’est un concours de circonstances énormes qui a rendu cette aventure possible. Qu’il manque un des éléments, et rien de tout ceci ne serait arrivé... Tout d’abord, je suis un garçon de presque 18 ans, blond, d’un mètre soixante-quinze, les filles me trouve plutôt mignon et affublé du ridicule prénom de Alex. Mon père est diplomate en Australie et j’y vis depuis maintenant 5 ans. Je me trouve aujourd’hui devant un effroyable dilemme. Mais n’allons pas trop vite. Un petit retour en arrière s’impose. Je ne m’étais pas adapté très facilement en australie. Mettez-vous à ma place ! Du jour au lendemain, quittez Lyon et ses lumières pour se retrouver pratiquement en plein désert ! Perdre tous mes copains d’un coup ! Si seulement nous avions eu un appartement en ville, mais non ! Un genre de maison coloniale perdu en plein désert ou presque. Ça avait été très dur, les premiers mois. J’allais bien au lycée français de Kalgoorie, mais les soirées et les week-ends étaient d’une longueur épouvantable... Je dis « étaient », car quelques mois plus tard, les choses en changé de manière tout à fait inattendue. J’ai fait la connaissance de Tahlia, au grand désespoir de ma mère qui voyait d’un très mauvais œil que je fréquente les aborigènes, cette sous race. Cette sous race, c’est aussi ce que je pensais avant de rencontrer Tahlia... Plus du tout maintenant. Pour la bonne compréhension du récit, il faut que je précise une chose très importante. J’adore les pieds nus féminins. J’ai toujours adoré les pieds nus féminins, bien avant d’atterrir ici. Vous trouvez peut-être ça n’a pas une grande importance ? C’est que vous n’avez jamais vu les pieds de Tahlia ! Moi, si ! D’ailleurs, je n’ai jamais vu les pieds de Tahlia autrement que nus et c’est, je dois l’avouer, la première chose que j’ai remarquée chez elle. Avec Tahlia, les soirées et les week-ends, les vacances me paraissaient trop courtes... Sauf quand Tahlia disparaissait pendant plusieurs jours, voir une semaine ou deux ! Je passais presque tout mon temps avec elle. Nous nous promenions, nous nous baignions ensemble ! J’adorais les baignades car Tahlia se déshabillaient entièrement sans aucune pudeur et elle venait ensuite se blottir contre moi, sur la plage. J’avais du mal au début puis, je pris rapidement l’habitude de me baigner dans la même tenue qu’elle. Un jour, je n’étais enhardi à caresser un de ses pieds nus et elle m’avait laissé faire avec un plaisir évident. Du coup, je regrettais amèrement de ne pas l’avoir fait plus tôt ! Elle faisait chaque jour des progrès et elle parlait presque français en moins de six mois, mais curieusement, elle devenait muette quand je lui demandais où elle allait quand elle disparaissait pendant plusieurs jours. Nous étions pourtant de plus en plus intime. C’est elle maintenant qui me donnait ses pieds nus à caresser et je ne m’en privais pas ! Aujourd’hui, elle était seins nus... je savais ce que ça voulait dire. Tahlia n’allait pas tarder à disparaître pour quelques jours. Ce jour là, je décidais d’aller plus loin et je donnais quelques coups de langue sur ses pieds nus. J’étais aux anges et ça se voyait, si vous voyez ce que je veux dire. Elle eut une réaction qui ne laissa sans voix. Elle s’empara d’un de mes pieds nus et se mit à le lécher ! Elle poussa un cri et s’enfuit sans prendre la peine de remettre son pagne, nue.

Le secret

Elle avait réapparu une semaine et demie plus tard. Sans une explication. Cette fois, j’insistais, j’étais bien décidé à en savoir plus ! - Tahlia, tu n’as pas confiance en moi ! - Si, Alex ! Et tu le sais bien ! - Ecoute ! Ça fait 4 ans que l’on est ensemble, et tu ne me dis même pas ou tu as pendant des jours ! - Je ne peux pas, c’est interdit ! N’insiste pas ! - Et bien, si, justement, j’insiste ! Je veux savoir ! - Je ne peux pas ! - Tant pis ! J’étais parti sans un mot de plus, la plantant sur la plage. Les jours suivants, je me forçais à rester à la maison, à la grande surprise de ma mère, bien décidé à la faire céder. Elle craqua 5 jours plus tard, et il était temps car je n’en pouvais pas. Ma mère m’appela. Il y avait une jeune fille pour moi. Elle me prit par la main et m’entraîna loin de la maison et dès que ma mère fut hors de vue, elle s’effondra en pleurant dans mes bras. J’eus toutes les peines du monde à la calmer. - Allons, Tahlia, c’est fini... je suis désolé... - C’est moi qui aie fait l’idiote... mais... - Laisse tomber ce secret... ça n’a aucune importance, finalement ! - Si, justement... je vais t’en parler... Mais tu dois me promettre de n’en parler à personne ! - Je n’ai jamais rien dit de ce que je faisais avec toi, Tahlia... Nous étions allés jusqu'à la plage en silence. Là, elle s’était déshabillée entièrement en me faisant signe d’en faire autant. Comme j’allais me diriger vers l’eau, elle me retint par le bras. - Tu ne te baignes pas ? Pourquoi te déshabilles-tu, alors ? - Pour que tu me lèches les pieds ! Elle s’était aussitôt installée sur le sable et m’avait tendu ses pieds nus. J’ai obtempéré avec plaisir. Je léchais les deux plantes réunies avec un plaisir tout à fait visible, le sexe tendu. Elle poussait de petits cris de plaisir. Soudain, elle avait dégagé un de ses pieds et l’avait plaqué contre mon sexe. En quelques mouvements, elle m’avait fait jouir. Les yeux entrouverts, je l’admirais. Elle semblait jouir aussi, sa respiration était courte, ses lèvres serrées et elle se caressait les seins. Je m’allongeais sur le sable à ses côtés et elle se blottit contre moi en tirant sur une de mes jambes pour que mon pied nu se place sur son ventre. - Je suis bien comme ça, Alex... - Comment ? - Avec ton pied sur mon ventre... Je la détaillais et en effet, les pointes de ses seins restaient dressées. - Pourquoi ne l’as-tu pas dit plus tôt ? - Parce que c’est une partie de mon secret... Mais tu n’es pas comme les autres... Tu aimes toi aussi les pieds nus... - Je les adore ! - Je sais... Je vais partir, ce soir ou demain, peut-être plus tôt, à cause de ton pied... - A cause de mon pied ? - Je vais tenter de t’expliquer, mais ce n’est pas facile... - J’ai toujours cru que tu me laissais caresser tes pieds pour me faire plaisir... mais tu es vraiment fétichiste, alors ! - Ho oui ! Et beaucoup plus que tu ne pourras jamais l’imaginer, je crois... En fait, je voue aux pieds nus une adoration sans limite et exclusive. Je suis encore plus « fétichiste », c’est comme ça qu’il faut dire ? Que toi... - Ça, ça m’étonnerait quand même ! Je ne pense qu’à ça ! Mais je suis vraiment heureux d’avoir trouvé une authentique fétichiste en plein milieu du désert ! - Et je suis loin d’être la seule... - Que veux-tu dire ? - Que 60 % des femmes et 20 % des hommes sont comme moi, ici... - Tu plaisantes, là ? - Non, pas du tout ! - Mais je n’ai jamais rien remarqué, sauf avec toi ! - C’est que les autres le cache soigneusement aux blancs... - Mais pourquoi ? - Ne caches-tu pas ton amour des pieds nus aux autres blancs ? - Ben, si... - Tu vois ! Il y a une centaine d’années, peut-être plus, je ne sais pas vraiment, car nous n’avons jamais été très forts pour mesurer le temps, plusieurs familles de notre tribut se sont enfoncées dans le désert à la recherche de nouveau territoire... C’était bien avant l’arrivé des blancs. On ne les a plus revus pendant plusieurs saisons, puis un jour, ils sont rentrés, mais ils avaient changé. Ils faisaient même peur aux autres membres de ma tribu, alors, on les a parqués dans les grottes maudites... - Dans les montagnes rouges ? - Oui, là-bas, mais le mal était fait ! Quand ils sont rentrés au village, 5 de leurs femmes étaient « Transformées » et quelques mois plus tard, une dizaine de mes ancêtres étaient atteints d’un mal identique. - C’est quoi cette « transformation » ? - Je ne vais pas pouvoir t’en dire plus aujourd’hui ! J’ai trop présumé de mes forces et le fait d’avoir gardé ton pied sur mon ventre n’a fait qu’accélérer les choses. Je vais partir, Alex ! - Non ! Reste avec moi... - Mais je ne peux pas ! Je vais me transformer dans quelques heures, sûrement moins ! - Pourquoi ne pas rester avec moi ? - C’est interdit ! Laisse-moi partir ! Subrepticement, Alex avait passé ses bras autour de la taille de Tahlia et la maintenait fermement. Elle commença à se débattre, mais curieusement, ses mouvements manquaient singulièrement de force. - Tu as vraiment envie de partir, Tahlia ? - Non, mais je le dois ! Je t’en pris ! Je ne peux pas me transformer ici ! - Mais où veux-tu aller ? - ... - Dans les montagnes rouges ! C’est ça n’est ce pas ? - Je t’en ai déjà dit trop, je crois... - Pas assez, je trouve... - Je n’ai plus le temps, Alex ! Il faut que tu me laisses partir maintenant ! Au lieu d’obéir, Alex conforta sa prise sur Tahlia. - Tu n’iras nul part sans moi ! - Mais je ne peux pas t’emmener ! Soit raisonnable, je t’en supplie ! - Je ne te laisserais pas partir, Tahlia, pas cette fois ! - Tu es fou ! Tu n’es pas préparer à ce que tu vas voir ! Je veux rester ton amie ! - Tu es beaucoup plus que ça, Tahlia, et tu le sais parfaitement... Comme pour le prouver, il affirma sa prise avec sa jambe libre et dégagea une main qu’il posa sur la poitrine de Tahlia. Doucement, il excita les pointes de seins. A sa grande surprise, le corps de Tahlia réagit immédiatement. Il s’arqua si violemment qu’il faillit lâcher prise ! Ça semblait impossible, mais il venait de provoquer l’orgasme de Tahlia de ce simple petit geste ! Il laissa la jeune fille se calmer. Quand elle ouvrit les yeux, elle le regarda avec une reconnaissance mêlée d’inquiétude. - Je crains bien que tu aies gagné... il est trop tard pour que je rejoigne les montagnes rouges maintenant... Mais je ne peux pas rester ici ! Il faut trouver un endroit calme très proche d’ici ! Mon dieu, que va-t-il nous arriver ? Alex libéra Tahlia. La jeune fille ne chercha pas à fuir. Il déclara. - Il y a une vieille cabane de pécheurs abandonnée à 10 minutes d’ici. je n’ai jamais vu personne dans ce coin... Mais je ne vois pas pourquoi on ne reste pas ici ! - Tu comprendras, enfin je l’espère, dans quelques heures... Tu sais, tu me forces à braver un interdit de plusieurs dizaines d’années, et je n’ai aucune idée des conséquences que ça peut avoir ! - Si seulement tu me faisais confiance ! Mais je te signale que je n’en sais toujours pas plus ! - Tu vas tout savoir, ça je te le promets, de façon un peu brutale... Je ne pourrais jamais marcher jusqu’à ta cabane, pas sans aide... - Ne t’inquiète pas ! je te porterai s’il le faut ! Tahlia se releva péniblement. Alex commença à rassembler ses vêtements et ceux de Tahlia. Elle l’arrêta tout de suite. - Laisse les vêtements ici. Je ne peux plus les approcher, de toute façon ! Alex enfila son short. Tahlia sourit et dit. - Non, non ! si tu tiens à rester avec moi, tu dois rester entièrement nu ! Alex haussa les épaules, fataliste, et se débarrassa de son short. Il prit Tahlia par la taille et prirent la direction du nord. Il se rendit rapidement compte qu’il soutenait de plus en plus la jeune fille tout en appréciant ce contact de plus en plus intime. Ils étaient à mi-chemin, environ, quand Tahlia poussa un cri et s’affaissa complètement. S’il ne l’avait pas maintenu fortement, elle serait tombée. - Je ne vais pas pouvoir faire un mètre de plus par mes propres moyens, je suis désolée. - Tu as mal ? - Ho, non ! bien au contraire ! - Au contraire ? - Je t’expliquerai tout quand on sera à l’abri, enfin j’essayerai ! Alex bascula Tahlia dans ses bras et repris sa progression. Tahlia n’était pas lourde avec son mètre soixante et ses 45 KG ! Elle avait fermé les yeux, et une main caressait doucement son ventre. Finalement, il allait beaucoup plus vite en la portant. La petite cabane, un peu délabrée, apparut au bout de la plage. Il posa délicatement Tahlia sur le sable et ouvrit la porte d’un coup de pied. C’était poussiéreux, mais sec. Il n’y avait qu’une seule couchette en planches disjointes. Il reprit Tahlia et l’installa sur la couchette. - Tu es bien ? Ce n’est pas trop dur ? - C’est parfait ! Tu sais, tu peux encore partir, si tu veux... - Il n’en est pas question ! Et tu vas peut-être m’expliquer maintenant ! - Oui, je pense en avoir le temps... Tu sais, quand ces familles sont rentrées du désert, certaines femmes n’étaient plus les mêmes, elles avaient changé. Et bien, je suis comme ses femmes... - Je le vois bien ! Tu es malade... mais ça semble une bien curieuse maladie... - Je ne crois pas que l’on puisse considérer ce qui va m’arriver comme une maladie, en effet... - Si tu allais droit au but, Tahlia - Oui, tu as raison. Je vais commencer par le début... Tu ne t’es jamais étonné que ne jamais me voir porter de chaussures ? - Les gens de ta tribu n’en portent presque jamais... et je n’en porte pas quand je suis avec toi... - Tu n’en porte pas parce que tu aimes marcher pieds nus, n’est ce pas ? - Oui... disons que ça fait partie de mon fétichisme... - Moi, j’adore marcher pieds nus, comme toi, mais en plus, je ne peux pas mettre de chaussures... ça n’est impossible, je ne les supporte pas. Je n’ai en fait jamais mis de chaussures... - Ok ! Mais je vois difficilement le rapport avec ce que tu as en ce moment ? Sauf peut-être pour la nudité. - Et tu as raison... je ne sais pas trop comment continuer... Qu’est ce que tu dirais si on te proposait de multiplier ton fétichisme pas 10 ou plus et que ça s’accompagne d’un orgasme presque permanent ? - Je serais ravi, mais je sais que c’est impossible... ce n’est qu’un fantasme... - Pas pour moi, Alex, pas pour moi... - Tu n’es pas sérieuse ? - Je ne l’ai jamais été autant... A chaque fois que je m’éclipsais, comme tu dis, tu remarquais qu’un peu avant, je ne me couvrais plus les seins... ne dis pas le contraire, je le voyais dans tes yeux... - C’est vrai... Il y a longtemps que j’avais remarqué ce manège... - Et bien, je ne me couvrais plus les seins, parce que je ne pouvais plus les couvrir... En ce moment, c’est l’étape suivante... je suis incapable de supporter le moindre tissu... je suis entièrement nue... Et dans peu de temps, maintenant, la transformation va commencer... - Et tu vas te transformer en quoi ? En loup-garou, comme dans les légendes pour faire peur aux enfants ? Il voulait être ironique, mais le cœur n’y était pas. Il voyait bien que Tahlia ne plaisantait pas. Sa réflexion réussit quand même à la faire sourire. - Non ! mon apparence ne va pas changer, mais ma chair, ma peau va changer... je vais me mettre à jouir très fort pendant environ deux heures, et pendant ces deux heures, mon corps va se transformer... Un peu de liquide va sortir de mes pieds et de mes seins, et ça va peu à peu gagner tout le corps... - Jouir pendant deux heures ! Alors tu ne plaisantais pas ? - Je n’ai plus le temps de plaisanter... Son visage se crispa, son corps s’arqua sur la couchette improvisée. Elle se détendit et retomba, les mains resserrées sur le ventre. - Je n’ai plus beaucoup de temps... quelques minutes, pas plus... Tu peux encore partir... Tu sais, quand je suis comme ça, il y a un risque de contagion, alors, si tu ne veux pas prendre de risque, ne me touche pas et ne touche pas quelque chose que j’aie touché. C’est pour cette raison que les anciens nous interdisent de nous transformer ailleurs qu’au sanctuaire... - Le sanctuaire ? - Les grottes des montagnes rouges, si tu préfères... Je ne t’en voudrais pas si tu t’enfuis en me regardant pendant la transformation... Non ! Ne dit rien ! Je comprends très bien que ça puisse avoir quelque chose d’effrayant... C’est ce que je voulais éviter en te cachant la vérité... - Tahlia, ça fait des mois, que dis-je, des années que je me pose des questions, ce n’est pas pour fuir comme un gamin ! - Ça peut paraître terrifiant pour quelqu’un qui n’a jamais vu ça ! Mais je sens le plaisir monter ! Une dernière chose, Alex... N’essaye pas de me parler pendant la transformation... C’est inutile, je ne pourrais pas te répondre... je ne me souviendrais même pas de mon nom et je ne saurais pas qui tu es... Son élocution était de plus en plus difficile. Soudain, son regard devint fixe, ses mains se crispèrent sur son ventre et elle poussa un hurlement. Alex la prit par les épaules et la secoua sans ménagement. La jeune fille ouvrit les yeux et le regarda bizarrement. - Tahlia ? Qui est Tahlia ? - Tahlia, c’est moi, Alex ! - Alex ? Elle articula ensuite plusieurs mots dépourvus de sens. Les syllabes se mélangeaient. Elle était en train de perdre la parole après avoir perdu la mémoire. Alex recula de quelques pas, atterré. La jeune fille se mit à onduler sur la couchette au rythme des spasmes qui déformaient sous ventre. Ses mains caressaient son ventre et ses seins. Après cette douche froide, c’était des gestes plus excitants et naturels. Il remarqua soudain que les pieds nus de Tahlia se couvraient d’un genre de sueur. Les pieds de la jeune fille étaient aussi mouillés que si elle sortait de l’eau ! Ses seins se couvrirent de la même humidité. Les ondulations du corps de Tahlia étaient si excitantes que, malgré la présence de ce liquide inconnu, qu’il se rapprocha. De fines gouttelettes de liquide coulaient maintenant sur les pieds de Tahlia et tombaient sur les planches de bois de la couchette, formant des flaques sombres. Il avait déjà vu des gens transpirer, mais à ce point ! Malgré les mise en garde de Tahlia, il passa doucement un doigt hésitant sur la plante d’un pied nu. C’était comme de l’eau, peut-être légèrement plus huileux, collant. Il resta un moment à regarder Tahlia, fasciné, hypnotisé la jeune fille. Comment pouvait-on jouir aussi longtemps ? Il se serait très bien vu à la place de la jeune fille. Le ventre, les bras et les jambes de Tahlia se couvraient de la même substance tandis que les mouvements de la jeune fille se faisaient plus fougueux. Il y même peur qu’elle tombe de la couchette. Sans vraiment réfléchir, n’écoutant que son souci pour le bien-être de Tahlia, il se précipita et l’allongea à ses côtés pour tenter de la calmer ou au moins pour l’empêcher de chuter de la paillasse. Sentir le corps humide de la jeune fille bouger contre le siens ranima l’érection qu’il avait eu rien qu’en la regardant se débattre avec la jouissance. Il en avait presque mal ! Il eut beau serrer la poitrine de Tahlia en ses bras et immobiliser ses jambes entre les siennes, rien ne m’empêchait de remuer rudement. Par contre, le battement régulier de la hanche sur son sexe commençait à produire un effet très caractéristique. Il voulut se dégager, mais dans l’état d’excitation dans lequel il se trouvait, il était déjà trop tard. Alors, perdu pour perdu, il se serra encore plus à Tahlia et se laissa emporter par l’orgasme qui lui arracha quelques gémissements qu’il ne fit rien pour retenir. Les mouvements de Tahlia se faisaient plus doux. Bientôt, elle ouvrit les yeux et sourit à Alex, penché sur son visage, attentif. - Alors, tu as pris le risque, finalement... - Je ne pouvais pas te laisser tomber de la couchette, quand même ! - Et tu ne t’es pas sauvé en courrant... C’est gentil... - Je n’aurais plus jamais pu me regarder en face ! Mais tu vois, c’est fini ! Et tu es redevenu comme avant... sauf ce... liquide ! - Ho, non ! C’est loin d’être fini ! Ce n’est que le début ! Alex se redressa et s’assit sur le bord de la couchette. - Comment ça ! Ce n’est que le début ? - Le plaisir n’a pas disparu, il est seulement plus faible que pendant la transformation... - Tu veux dire que tu jouis toujours ? - Oui, et il n’est pas près de disparaître... - Mais ! Ça va durer combien de temps ? - Une semaine... Une semaine et demie, peut-être... - Non ! Tu te moques de moi, là, hein ! Tu te moques du moi ? - Pas du tout, tu sais... Soudain, Tahlia porta vivement une main sur son ventre. Elle replia une jambe, se saisit d’une cheville et se mit la lécher la plante de son pied nu avec fièvre. Sa respiration était entrecoupée de cris. Par moments, avec une frénésie incroyable, elle essayait de mordre son pied comme si elle voulait le manger. Elle lécha son pied pendant plus de 5 minutes, sous le regard fasciné de Alex. Elle laissa mollement retomber sa jambe et serra son ventre pendant encore près d’une minute avant de pouvoir parler. - Excuse-moi, je n’ai pas eu le temps de te prévenir, mais je vais faire ça une dizaine de fois par jour dans les prochains jours... J’espère que ça ne te choque pas trop ? - Me choquer ? Tu rigoles ? Je suis en plein rêve ! Je peux te le dire en étant sûr que tu ne te moqueras pas de moi, maintenant, mais je lèche très souvent mes pieds nus, moi aussi ! - Alex, tu es vraiment un blanc pas ordinaire, tu sais ? - Et te regarder, m’excite terriblement ! - Ça se voit, figure-toi ! Termina-t-elle en riant. - Et ce liquide, c’est quoi ? - Aucune idée ! Quand la tribu est rentrée du désert, les femmes étaient comme ça. On ne sait même pas ce qui s’est réellement passé dans ce désert... Peut-être que les sages de la tribu le savent, mais si c’est le cas, le secret est bien gardé ! - Et il n’y a que ta tribu qui est touchée ? - Non, il y a une dizaine d’autres tribus. Avant l’arrivée des blancs, les gens qui se transformaient restaient avec les autres. A cette époque là, personne ne s’habillait beaucoup. C’est l’arrivée des blancs qui à apporter les vêtements. les gens ne s’en sont pas aperçu immédiatement car la contagion n’est jamais très rapide. Beaucoup de gens de passage sont rentrés dans leur tribu après avoir touché des transformés. Ils se sont transformés eux-même quelques lunes après. - Tu crois que je vais me transformer ? - Il y a une chance, en effet... Tu as peur ? - Je ne crois pas, franchement... je suis même sûr que je le souhaite ! Mais pourquoi vous cacher dans ces montagnes ? - A l’arrivée des blancs, les anciens ont décidé qu’aucun blanc ne devait connaître notre secret. Ils ont fait aménager les grottes des montagnes rouges pour nous abriter. Dès que les premiers signes de la transformations apparaissent, on doit se préparer à partir pour les grottes... - Et je t’ai empêché d’y aller... - Oui, c’est la première fois que ça arrive... Je ne sais vraiment pas comment les anciens vont prendre ça... - Que peuvent-il te faire ? - Ils peuvent m’interdire de quitter le sanctuaire... Enfin, de toute façon, je n’ai plus beaucoup de temps avant d’y rester définitivement. - Que veux-tu dire ? Rester définitivement dans les grottes ? Mais pourquoi ? C’est idiot ! Quand tu n’es pas transformée ! - Justement, je... Donne-moi tes pieds ! Vite ! - Mais, je... - Fait ce que je te dis, je t’en supplie ! Alex obéit sans poser d’autres questions. Elles ne manquaient pourtant pas ! Il se reversa en arrière et projeta ses jambes en avant. Ses talons atterrirent sur la poitrine de Tahlia qui hurla. Elle laissa un des pieds, posé entre son ventre et ses seins, s’empara de l’autre et le porta à sa bouche. Elle commença immédiatement à le mordiller et à le lécher. Tout allait trop vite pour Alex. Il se contorsionna légèrement pour prendre un des pieds nus de Tahlia. Il se mit à le lécher au rythme qu’imposait Tahlia à son propre pied nu. On ne pouvait pas dire que le liquide avait un goût particulier, même pas celui de l’eau... C’était indéfinissable. Depuis que la jeune fille jouissait, la sécrétion était encore plus abondante et le liquide ruisselait sur le visage d’Alex et coulait dans sa gorge. Il devait avoir un effet aphrodisiaque car son érection déjà honnête devint presque douloureuse. Il n’avait jamais eu une telle envie de jouir, c’était à la limite du supportable. Il crut qu’il allait être obligé de se masturber pour se satisfaire quand il sentit le pied libre de Tahlia se poser sur son sexe, tandis que le liquide tiède inondait son ventre et coulait entre ses cuisses. Le seul contact du pied nu de Tahlia ne porta au bord de l’orgasme. Tahlia ne fit aucun mouvement supplémentaire. Elle se contenta d’appuyer sur son sexe. Il poussa un long feulement de bête fauve quand l’orgasme explosa. Son corps se tendit comme un arc tandis que son sperme inondait son ventre, se mêlant au liquide qui coulait du pied nu de Tahlia. Il n’avait jamais été aussi heureux ! Son mouvement instinctif avait fait lâcher prise à Tahlia qui roula sur le côté, contre le mur. Les pieds d’Alex retombèrent sur le bois mouillé de la couchette. Il resta plusieurs minutes dans un état second, encore étourdi par l’intensité de l’orgasme. Son sexe battait encore légèrement contre son ventre. Il s’assit comme à regret sur le bord de la couchette. Tahlia s’assit en tailleur et le regarda. Il lui sourit et avoua, comme un gamin pris en faute. - Je crois que je n’ai jamais eu autant de plaisir... - Je sais, Alex... J’ai senti... - Tu as... Sentit ? - Oui ! Quand je suis transformé, je sens le plaisir des gens qui sont autour de moi... - Je crois que je ne suis pas au bout des surprises... Tu crois que le liquide qui coule de tes pieds y est pour quelque chose ? - C’est possible... Il arrive souvent que des filles provoquent leur transformation en léchant les pieds d’une personne transformée... - Et tu fais ça souvent ? - Je suis prête à recommencer tout de suite, si tu veux... Mais je vais tacher de me contenir un peu... mais je ne te promets rien... - Tu jouissais avant que tu commences à me lécher les pieds, n’est ce pas ? - Tu as remarqué ça ? Oui, il suffit que j’aie un pied nu sur le ventre ou les seins pour déclencher l’orgasme... c’est le plaisir que les transformés préfèrent... C’est aussi presque le plus fort. - Si je mets un pied nu sur ton ventre maintenant, tu te mets à jouir ? - Oui, immédiatement ! - Et le plaisir dure longtemps ? - Jusqu’à ce que tu retires ton pied... - Alors, ça aurait pu durer beaucoup plus longtemps... C’est vraiment extraordinaire... Et quand tu le fais avec d’autres transformés, ça dure longtemps ? - Mon record et de presque deux heures, avant de perdre conscience ! Mais excuse-moi, je ne voulais pas présenter les choses de cette façon... - Tu cherches surtout à me rendre jaloux, finit-il en riant. Ha ! si je pouvais me transformer tout de suite ! - Moi qui pensais que tu trouverais ça dégoûtant et que tu ne voudrais plus me parler... - Tu es folle ! Je ne te lâcherais plus jamais maintenant ! Touchée, Tahlia se rapprocha de lui et se blottit dans ses bras. Alex accueillit le corps nu et ruisselant avec plaisir. Le contact l’excitait... Le liquide devait vraiment avoir de curieux pouvoir, car il sentit son sexe se remettre à palpiter contre sa cuisse. Incroyable ! Il venait de jouir 3 fois en peu de temps, et ses « réserves » paraissaient intactes ! En serrant la jeune fille encore plus près, il chuchota doucement. - Tu n’as pas répondu à toutes mes questions, avec tout ça... je ne veux pas avoir l’air d’insister bêtement... - Pas du tout... je comprends bien que pour toi, tout ceci soit irréel... Va-y... - Dans l’ordre... Pourquoi devrais-tu rester définitivement dans les grottes des montagnes rouges ? - Je ne vais pas tourner autour du pot... Dans moins d’un an, je ne pourrais plus m’habiller du tout, même pas entre les transformations qui vont devenir de plus en plus fréquentes... Puis, un jour, je me transformerais une dernière fois... Pour ne plus jamais redevenir normale... Voilà... ça répond à ta question ? - Tu veux dire que tu resteras comme maintenant pour toujours ? - Oui... - Avec le plaisir constamment dans ton ventre... - Et mon envie incessante de pieds nus... Oui, c’est ça... - C’est incroyable... La jouissance permanente... Le pied ! Tu n’as pas un peu peur ? - Non ! Au contraire ! Je regretterais un peu la nature, nos promenades, toi... A moins que tu te transformes... - C’est ce que je souhaite le plus au monde... Pour moi et pour rester avec toi ! - C’est gentil... - Et tu parlais du plaisir « presque le plus fort » dans un a un pied nu sur le ventre... Il y a encore mieux ? - Et oui ! Tahlia éclata de rire devant la mine perplexe d’Alex. Elle se sentait bien, détendu et le plaisir qui fouillait en permanence son ventre n’était pas le seul responsable. La présence d’Alex était un réconfort appréciable... Même si elle avait peur de la réaction des anciens... Les moments qu’elle vivait avec lui valaient ce risque... - Tu dis toi-même que le « liquide » a certainement un pouvoir aphrodisiaque... je crois que c’est même plus que ça... Tu vois, au sanctuaire, nous récolte le liquide qui ruisselle sur nos pieds nus dans de petites vasques... et nous le... buvons. Ça donne des orgasmes horriblement bons... - Tu bois le liquide de tes pieds nus ? - Pas le mien, celui des autres transformés... - Alors, c’est comme si tu avais leurs pieds nus sur le ventre... - Oui ! Tu as tout compris ! Tu es vraiment fait pour te transformer, bien que tu sois un blanc ! C’est même beaucoup plus fort, car c’est comme si on avait les pieds à l’intérieur du ventre, au cœur du plaisir... - Je veux boire tes pieds nus ! - Tu vas avoir une bonne semaine pour ça... Après tout, ça provoque bien la transformation des personnes déjà touchées... Peut-être que ça peut accélérer ta transformation... - J’en suis sûr ! - Il y a un autre plaisir très fort aussi... Celui que je préfère... Si un pied nu donne beaucoup de plaisir, deux, c’est mieux... Quatre, encore mieux... Six... En fait, nous avons un endroit spécial pour ça... un genre de cirque. C’est une sorte excavation circulaire. La personne s’allonge au centre, les autres s’allongent sur les côtes et les pieds reposent sur la personne allongée au centre. J’ai eu jusqu'à vingt pieds nus sur moi ! Là c’est vraiment fantastique ! Tu peux tout faire en même temps ! C’est très intense ! En plus, les transformés qui sont avec toi jouissent également puisse qu’ils sont près de toi et leurs pieds nus ruissellent abondamment... Tu commences par prendre une douche, puis un bain. Au bout d’un moment, tu peux même boire le liquide... tu baignes dedans, c’est vraiment le pied ! Rien que dans parler, la jeune fille avait les yeux brillants et le souffle court. Alex dit. - Tu regrettes de ne pas être dans les montagnes rouges, n’est de pas ? - Pour ça, oui... Mais tu n’y serais pas et la fête serait gâchée... Alex se dégagea, s’assit en travers de la couchette, le dos appuyé au mur de planches disjointes. Il força gentiment Tahlia à s’asseoir entre ses jambes, en lui tournant le dos. Quand la jeune fille fut installée, Il replia les jambes, les passa au-dessus des cuisses de Tahlia pour plaquer ses pieds nus sur le ventre de la jeune fille. Immédiatement, elle avait crié, serrant les pieds nus comme pour les faire pénétrer à l’intérieur de son ventre. Son corps ruisselait de nouveau inondant Alex. Malgré les mouvements parfois violent de Tahlia, il réussit à maintenir ses pieds, pendant presque deux heures et cinq orgasmes ! Il n’avait plus de doute maintenant. Le liquide favorisait le plaisir ! Sentir la colonne vertébrale de Tahlia s’agiter contre son sexe l’avait fait jouir cinq fois ! Il avait seulement légèrement dirigé le mouvement en caressant les seins de la jeune fille qui semblait particulièrement apprécier cette caresse. Il s’était dégager quand il avait senti la jeune fille mollir entre ses bras... Elle avait perdu conscience, mais il était certain qu’elle jouissait toujours, car son ventre était toujours parcouru de spasmes et ses pieds ruisselaient toujours autant. Il était sortit prendre l’air quelques minutes. Au retour, Tahlia émergeait lentement. Elle était assise sur le bord de la couchette. Ses pieds ne ruisselaient plus autant, mais elle regardait les gouttes qui tombaient sur le sol poussiéreux. Il s’assit à côté d’elle et demanda. - A quoi tu penses ? - Je pense que cet endroit va rester contaminé pendant des semaines... Si jamais une promeneuse vient se reposer ici, elle va être en contact avec le liquide... - Tout aura sécher depuis longtemps ! - Non... ça reste actif pensant des semaines... - Et bien, cette personne n’aura qu’à te remercier du cadeau que tu lui fais ! J’ai du mal à comprendre pourquoi toute l’Australie n’est pas comme toi ! - Les anciens dissent que nous ne devons pas imposer la transformation, même s’ils reconnaissent que c’est très agréable... - Des bonnets de nuit, tes anciens ! - Peut-être... Tu m’aides à me lever... je voudrais aller faire un tour au soleil... Je pourrais me lever seule dans quelques heures, mais là, j’ai toutes les chances de me mettre à jouir en me levant, même doucement. - Attend ! Alex porta Tahlia et la déposa délicatement sur le sable, le dos appuyé à un arbuste rachitique. Elle le remercia en caressant doucement un de ses pieds nus. Elle dit. - Je pense que tu as encore beaucoup de questions, non ? Elle avait cessé de caresser le pied, mais sa main continuait à le serrer, comme si c’était un geste tout à fait naturel. - Tu te transformes depuis combien de temps ? - Attend que je convertisse mes années et les tiennes... Environ 10 ans... - Tu avais un peu plus de... Six ans !! - Non ! Attend ! Ce n’était pas tout à fait la même chose, au début ! Je n’étais pas obligée d’aller dans les montagnes rouges. Je restais une bonne semaine sans pouvoir approcher un vêtement. La transformation s’arrêtait là ! Mais comme je ne m’habillais jamais beaucoup, de toutes les façons ! Je devais juste rentrer dans la case pour me lécher les pieds toute seule ou avec d’autres filles de mon age, elles aussi en période de nudité. J’étais définitivement pieds nus à 10 ans. Je le sais car la mère me plaquait un tissu sur la plante des pieds après chaque période de nudité, sinon, je n’ai jamais mis de chaussures ! Non, j’ai eu ma première vraie transformation à 13 ans, à peu près... A 10 ans, je sentais un peu le plaisir, mais mon corps ne se transformait pas encore... C’est à 12 ans que ça à commencer à prendre de l’ampleur. Pendant mes périodes de nudité, j’avais de plus en plus de mal à me déplacer sans avoir de petits orgasmes, mais rien de comparable à ce que je sens maintenant. A un peu plus de 13 ans, j’ai eu un orgasme beaucoup plus violent que les autres à la fin de ma période de nudité. La fois d’après, peu être trois mois plus tard, quand je lui ai dit que je devenais nue, elle a regardé à quel point j’étais nue, toujours avec son affreux bout de tissu. Elle m’a dit. « Nous allons demain soir au sanctuaire. ». Le sanctuaire ! J’en entendais beaucoup parler autour de moi, mais je n’avais aucune idée de ce qui s’y passait ! Le lendemain soir, j’étais nue et je commençais à sentir des chatouillements dans le bas ventre quand elle a donné le signal du départ. Je lui ai posé des tas de questions pendant le voyage, comme toi aujourd’hui, mais moi, je n’ai pas obtenu les moindres réponses ! Elle m’a laissé à l’entrée de la grotte, sans un mot. J’ai compris bien vite. Deux filles nues m’ont guidé vers les entrailles des grottes. Elles marchaient lentement, un peu comme moi pendant mes périodes de nudité, et leur corps était mouillé. Puis une des filles s’est brusquement jetée sur mes pieds nus. Elle me les a léchés pendant longtemps en me disant q’ils étaient magnifiques, ce que je savais déjà... Je n’ai pas pu me relever... La transformation avait commencé. Après, il y a deux mois ou je ne me souviens de rien, sauf du plaisir... La première transformation est délicieuse, mais très éprouvante. J’ai complètement perdu la mémoire et la parole pendant un mois... Puis c’est revenu lentement... le reste, tu le sais, maintenant... - Et maintenant, tu te transformes de plus en plus souvent... jusqu’à la transformation définitive... - Voilà, oui ! Dans quelques mois, je pense... - Et c’est pour tout le monde pareil ? - Non... Tiens, regarde la fille de la case à côté de la mienne... Elle ne se transforme qu’une seule fois par an ! Par contre, elle ne supporte rien sur ses pieds ou ses seins... Définitivement ! - Mais au fait ! Tu avais une grande sœur ! Celle qui est partie faire des études à Sydney ! - Elle n’est jamais allée faire d’études... Elle est au sanctuaire depuis 3 ans... Quand tu es arrivé, elle était déjà presque entièrement nue... - Et ta mère ? - Elle n’a jamais été contaminée... Et elle n’aime pas les « transformés. » Elle me s’en cache pas ! Tahlia avait soudain tiré sur le pied nu d’Alex et avait imploré. - Tu mets tes pieds sur mon ventre, s’il te plait... Pour Alex, la grosse semaine qui suivit se passa comme dans un rêve. Dès qu’il touchait le liquide sur la peau de Tahlia, il se mettait à bander ! Tahlia disait que c’était bon signe et elle était sur que c’était les premiers signes de la contamination. Alex voulait le croire ! Puis le plaisir avait peu à peu décru, la peau de Tahlia séchée. L’heure du retour au village avait sonné. Le comité d’accueil n’avait rien de vraiment rassurant, mais pas vraiment hostile non plus. Ils furent conduit dans la case du conseil immédiatement. Là, un vieux sage s’adresse vertement à eux. Tahlia attendit la fin et commença à traduire pour Alex. - Il dit que nous avons fait courir un danger à toute la communauté et que nous devrions être punis, mais aussi que tu t’étais sans doute puni toi-même. - Qu’est que ça veut dire ? - Qu’il pense que tu es contaminé... - Ça, c’est plutôt une bonne nouvelle, mais comment voit-il ça ? - Simple, j’aurais du le voir aussi, d’ailleurs... ton sexe est toujours en demi-érection... - Je pensais que ça allait passer... Le vieux sage reprit la parole et parla plus longuement. Il sourit même plusieurs fois. - Comme tu es un blanc, il ne souhaite pas que tu retournes vers les blancs. Il fera donc tout pour que tu te sentes bien dans la tribu. - Bien, c’est gentil ! - A une condition... - Ha ! Ça, j’aurais du m’en douter ! - Un gage, en quelque sorte... - Ben, vas-y ! - Tu dois faire trois choses pour prouver ton attachement à la tribu et à moi... Tu dois... lécher tes pieds nus devant tout le monde ici... - Oui, et après ? - Embrasser ou lécher les pieds nus de toutes les filles qui sont dans la salle... - Et la troisième ? - Ne plus t’habiller jusqu’à ma prochaine transformation... Si tu réussis, tu pourras me suivre au sanctuaire pour ma transformation... - Il est malin... Nu, il sait que je ne peux pas aller en ville... Dit que j’accepte... Les trois ! Tahlia donna la réponse. Le vieux sage ne répondit pas et indiqua seulement le centre de la salle. - Il veut que tu lèches tes pieds tout de suite... Alex avança sans hésitation au centre de la case. Il s’assit sur le sol, en tailleur, exactement comme quand il léchait ses pieds nus, dans sa chambre ou dans la salle de bain. Il plaça son pied nu droit sur sa cuisse gauche, cala le talon du pied nu gauche contre son sexe, épousseta sommairement la plante de son pied nu et commença à le lécher. D’une main, il se caressa les seins et eu la surprise de voir son érection monter immédiatement. Il atteint l’orgasme avec une facilité déconcertante ! Juste quelques frictions du talon qui comprimait son sexe sur son bas ventre et ce fut l’explosion. Sas attendre, le ventre encore souillé de sperme, il s’attaqua ensuite aux pieds de jeune fille de l’assistance. Pour certaines, c’était juste un baisé, pour d’autre, carrément un léchage en règle. Il termina par Tahlia. - Moi aussi ? S’était-elle étonnée. - Tu n’es pas un des filles de la salle ? Il s’était accroupi devant elle de façon à ce que son sexe soit prisonnier entre ses cuisses. Il avait posé un des pieds nus de Tahlia sur ses cuisses tandis qu’il léchait et mordillait l’autre avec fièvre. Comme il venait de jouir peu avant, il pensait être contraint serrer fortement les cuisses pour provoquer une réaction. Il n’en fut rien. L’orgasme monta presque seul ! Il inonda le pied de Tahlia. Il se demandait d’ou il sortait une telle quantité de sperme. D’ordinaire, quand il éjaculait plusieurs fois de suite, il ne sortait d’un peu de liquide transparent.. là, c’était aussi abondant que s’il n’avait pas jouit depuis plusieurs semaines. Pourtant, avec la semaine qu’il venait de passer, il n’avait pas pu compter les orgasmes ! Quand il fut capable de le faire, il pose le pied de Tahlia sur ses cuisses et porta l’autre, couvert de sperme, à ses lèvres. Il commença à le lécher... Les yeux fermés, il sentit Tahlia bouger mais eut la surprise de sentir soudain une langue contre la sienne. Il ouvrit les yeux pour découvrir la jeune fille léchant consciencieusement son pied nu. Ils finirent de lécher le pied ensemble. Les pointes de seins de Tahlia étaient dresser et la jeune fille dut retenir son orgasme car il la vit serrer les dents plusieurs fois. Il se relevèrent tous deux et firent face au vieux sage qui cria quelques paroles. - Qu’est ce qu’il dit, encore ? - Il dit que tu fais partie de la tribu... -