Mutation

De Lexique du Daingue
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Prologue[modifier]

Ils ont finalement perdu, les défenseurs de la nature de tout poil. Mais le combat était par trop inégal. Comment expliquer aux milliards de gens souffrant de la faim et de malnutrition que ce n’était pas bien de manger des OGM !

En 2010, tout est joué ! Les OGM envahissent librement le marché mondial. On juge les méthodes parfaitement au point, particulièrement celle du transfert indirect, utilisant comme vecteur des bactéries telluriques phytopathogènes, les Agrobacterium tumefaciens et Agrobacterium rhizogènes. Ces micro-organismes sont capables de détourner à leur profit le métabolisme de certaines espèces végétales en faisant produire, aux cellules qu'ils infectent, des molécules nutritives (appelées opines) nécessaires à leur croissance. Il a été ainsi démontré que ce dérèglement cellulaire était dû à une véritable opération de génie génétique. On trouve des OGM dans pratiquement tous les produits de consommation courante.

Plus personne ne fait vraiment attention à ce qu’il a dans son assiette, le principal étant qu’il y ait quelque chose.

Jusqu’en 2005, l’Europe était la région du monde ou l’on organisait le plus la lutte contre les OGM, mais, comment, quand on est assuré d’avoir une assiette toujours remplie, expliquer à un africain ou à un Indien que les produits trafiqués peuvent, peut-être, potentiellement, être dangereux pour la santé ? Surtout quand des dizaines de laboratoires, soi-disant, indépendants, en réalité à la solde des grands groupes internationaux, publient tous les deux mois des tonnes d’études toutes plus rassurantes les unes que les autres.

Pourtant, en Europe, on persiste, particulièrement en France ! Les risques allergiques sont, dit-on, très importants. Mais les Français entrent eux aussi dans le rang. Les intérêts financiers sont bien trop importants et les pressions bien trop fortes. En quelques années, On ne prononce même plus le sigle OGM, car il y en a partout, il n’y a plus que ça…

Entre 2010 et 2020, on trouve de plus en plus de jeune qui n’ont même jamais entendu parler des OGM… Si non, finalement, la vie n’a pas tellement changé en 15 ans. Et si on regarde bien, si presque tout le monde à manger dans son assiette, mais l’introduction des OGM n’a résolu aucun des problèmes économiques et politiques… Si… Les riches sont encore plus riches et les pauvres encore plus pauvres…

C’est en 2021 que débute cette histoire. Une histoire qui sera peut-être la dernière du monde telle que vous et moi le connaissons. On a toujours prédit que l’homme détruirait la planète, mais on s’attendait plutôt à quelque chose de spectaculaire… Pas à ce qui va suivre…

Chute du marché.[modifier]

La salle était silencieuse. Après l’exposé que venait de faire la responsable pour l’Europe, en personne, il fallait digérer… 5000 suppressions de postes, ce n’était quand même pas rien ! Seulement, seulement les chiffres étaient là ! Désastreux, catastrophiques, alarmants.

En 2 ans, l’entreprise avait perdu plus de 50% de part de marché ! Du jamais vu ! En bourse, l’action de la société avait, elle, perdu 80% de sa valeur. Les actionnaires voulaient des têtes… et ils allaient en avoir ! Mais qui avait bien pu porter ce coup fatal à une des plus prestigieuses et prospères sociétés de bas, collant, chaussettes, socquettes. Qui donc avait récupéré les parts de marché !

Et c’est là que plus personne ne comprenait. Personne ! Personne n’avait récupéré ces putains de part de marché ! Les concurrents étaient dans le même état qu’eux ! Les gens n’achetaient plus de chaussettes, c’est tout ! On avait doublé, puis triplé les budgets publicitaires et les ventes étaient toujours en chute libre.

La première année, on avait mis ça sur le compte de la mode… Ce n’était pas la première fois que les chiffres baissaient à cause d’un style de chaussures en vogue que se portaient mieux pieds nus qu’avec des bas ou des chaussettes. Après tout, une baisse de 15% sur un an, si c’était un coup de mode, ce n’était pas la mer à boire. Les ventes allaient remonter en hivers et peut-être même rattraper une partie de ce manque à gagner. Les gens qui n’avaient pas acheté de chaussettes ou de bas en été en achèteraient dès que les mauvais jours arriveraient !

Ça ne s’était pas passé comme ça. En hivers, les ventes avaient continué de baisser. On avait alors lancé des études, des consultations, des sondages ! En bref, on avait tout tenté pour comprendre. On offrait 5 paires pour le prix d’une et on ne les vendait toujours pas. La vente des articles masculins avait baissé de 3% mais celle des articles féminins de 12%.

Aujourd’hui, on était à 5% pour les articles masculins et 45% pour les articles féminins. On ne pouvait plus vraiment croire à une baisse passagère… On s’y accrochait encore, mais le cœur n’y était plus. Il fallait essayer de sauver ce qui pouvait encore l’être, d’ou ces 5000 licenciements.

L’exposé était très clair ! La progression semblait ne pas vouloir s’arrêter. Dans deux ans, à ce rythme là, c’était la disparition de l’entreprise. Ils avaient étudié des dizaines de graphiques, des dizaines de rapports, écouté des dizaines d’experts, visionné des dizaines de reportages de terrain. En plein mois de janvier, on voyait dans la rue des centaines de filles en chaussures d’été, parfois même pieds nus dans les sandales… D’accord, l’année n’était pas froide et les températures étaient largement au-dessus des moyennes saisonnières, mais quand même !

Donc, fermeture de 15 usines en France et réduction des effectifs dans 10 autres ou les chaînes de confection des articles féminins seraient partiellement arrêtées. La veille, une grande fabrique de chaussures avait annoncé des mesures similaires.


Dolorès[modifier]

Dolorès avait mal aux pieds. Ça faisait même plusieurs jours qu’elle avait mal aux pieds ! Elle travaillait dans une grande banque et rentrait à pied et chaque jour, la route lui semblait plus longue. Quelque chose la gênait, sous les pieds, et au bout des orteils, surtout. Pourtant, avec cet hiver doux et ce printemps précoce, elle n’avait même pas sorti les chaussures d’hiver. C’est avec le plus grand des plaisirs qu’elle se déchaussait le soir dès qu’elle franchissait la porte de son appartement.

Une fois pieds nus, ça allait nettement mieux ! Elle avait inspecté plusieurs fois la semelle de ses chaussures, ses pieds, l’intérieur des chaussettes, changé de lessive deux fois… C’était toujours la même chose. Si ça continuait, elle irait voir un pédicure ou même un médecin. Puis, tous les soirs, comme elle restait pieds nus, la gêne disparaissait complètement et elle oubliait ses résolutions. Jusqu’au lendemain, dans la matinée, au moment ou ses pieds commençaient à la faire souffrir.

Aujourd’hui, c’était encore pire que les autres jours, à tel point qu’elle s’en était ouverte à la fille qui partageait le même bureau. - Merde, qu’est ce que j’ai mal aux pieds aujourd’hui, Karine, je ne te dis pas ! - Toi aussi ? C’est curieux ça ! Je pensais qu’il n’y a qu’à moi que ça pouvait arriver ! Mais j’ai trouvé la solution ! Enfin… Provisoirement ! - Ben, c’est simple ! Elle fit pivoter son siège et révéla deux pieds parfaitement nus. - Et voilà ! - Evidemment ! Tu as de la chance, personne ne peut voir sous ton bureau depuis le couloir ! Ce n’est pas mon cas ! Sinon, il y a longtemps de ce serait fait ! - Et alors ? Qu’est ce que ça peut bien faire ! - Ba quand même ! - Je n’en moque ! le principal, c’est que je n’ai pas mal aux pieds ! Mais c’est curieux, ça, qu’on ait toutes les deux le même problème de pied ? Non ? - Ben… A vrai dire, je ne pensais pas que tu pouvais avoir ce problème toi aussi… - Il y a longtemps ? - Quelques jours… Peut-être une semaine… - Pareil pour moi… Je pensais que ça allait passer, mais ça empire ! Je crois que je vais aller voir un toubib ! Ce n’est pas normal quand même ! - Oui, ce n’est pas normal, tu as raison… C’est à la fois rassurant et inquiétant… - Quoi ? Rassurant ? - Oui ! Rassurant de voir que je ne suis pas la seule… et inquiétant… Pour la même raison…


Séverine[modifier]

- Remonte dans ta chambre et va mettre des chaussettes ! - Mais, maman ! Ça ne fait trop mal ! - Ou as-tu vu jouer ça ! Des chaussettes qui font mal aux pieds ? On ne se ballade pas presque pieds nus en plein mois de janvier ! - Mais mes copines ne mettent pas de chaussettes ! - Parce que ça leur fait mal aux pieds, sans doute ? N’est ce pas ? - Parfaitement ! c’est ça ! - Bon ! Quand tu arrêteras de te foutre de moi ! Alors, dans ta chambre immédiatement et… Chaussettes ! Exécution ! Séverine remonte lentement l’escalier qui mène à sa chambre. Comme va-t-elle se sortir de ce coup là ! Pourtant, elle ne plaisante pas comme sa mère à l’air de le croire ! Les chaussettes la gêne vraiment ! C’est comme une brûlure pénétrante ! Jamais elle ne pourra les supporter. Déjà, hier au lycée, elle a failli se trouver mal… Elle envie tellement certaine de ses copines ! Agnès, par exemple qui est venue en tongs ! Bien sûr, elle a eu quelques réflexions des profs, mais elle était à l’aise au moins ! - Alors, Séverine ! C’est pour aujourd’hui ou pour demain ! Bon ! Ben il fallait prendre une décision, maintenant ! Lentement, elle ôta sa sandale droite. Elle enfila la chaussette. C’était les plus fines qu’elle avait trouvé. Immédiatement, elle eut l’impression de tremper son pied nu dans une bassine d’eau trop chaude. D’un mouvement réflexe, elle arracha la chaussette. Bien décider à ne pas céder, elle lança la chaussette dans la chambre et remit la sandale. - Je viens, je viens ! Elle descendit fièrement l’escalier ! - On dirait que tu as des problèmes de compréhension ! Bon sang ! tu as de la veine qu’on a plus le temps, sinon, je te garantie que tu les aurais mis ces chaussettes ! Déjà, des sandales en hiver, alors que tu as au moins de paires de bottines dans ton placard ! - Mais ce n’est pas de ma faute ! je te jure ! - Ecoute, tu m’énerves ! Puisque tu es soi-disant malade, nous passerons voir le médecin en rentrant ce soir ! je te conseille de trouver une bonne explication, sinon, malgré tes 13 ans, tu pourrais bien prendre une bonne correction ! Attend que j’en parle à ton père ! - Tu auras qu’à regarder ! la plupart de mes copines ne mettent pas de chaussettes non plus ! - J’y compte bien ! Pas un mot dans la voiture. Séverine, la tête baissée regarde fixement ses pieds. Bizarre quand même, de ne pas pouvoir supporter les chaussettes… Bien sûr, ses copines sont pieds nus dans leurs sandales, chaussures ou sabots, mais est-ce pour la même raison qu’elle ? C’est la première fois qu’elle se pose vraiment la question. Elle descend de voiture et entre immédiatement dans la cours du lycée. La voiture de sa mère reste un moment. La femme au volant est plutôt perplexe… En effet, plus de la moitié des jeunes filles sont très peu chaussées. Et si ce n’était pas une lubie de sa fille ?


Flavie[modifier]

Flavie en pleurerait ! Un an d’économie pour pouvoir enfin se payer les sports d’hiver, et elle est là, dans le salon de l’hôtel à feuilleter des magazines ! Rageant, non ? Elle était arrivée la veille et la première chose qu’elle avait fait, c’était d’aller immédiatement louer son équipement. C’est là que les choses avaient commencé à se compliquer… Elle avait essayé une dizaine de paires de chaussures de ski, de tailles différentes, de matières différentes et elle ne se sentait bien dans aucune ! Le vendeur commençait à la regarder avec un air agacé, mais dès que son pied s’enfonçait dans la chaussure, elle avait l’impression qu’il pesait une tonne ! Elle ne pouvait pas supporter la chaussure plus de quelques secondes. Finalement, ne voulant pas montrer sa contrariété, elle avait pris n’importe laquelle. Le soir, elle avait fait plusieurs essais dans sa chambre. Même chose que dans le magasin ! Elle avait passé une main à l’intérieur des chaussures pour s’assurer que rien ne dépassait de la fourrure synthétique… Tout semblait absolument normal ! En désespoir de cause, elle avait enlevé ses chaussettes et avait entré un pied nu dans cette foutue chaussure ! C’était encore pire ! Le lendemain matin, elle avait seulement fait le tour de la station, en chaussures de ville, puis était rentrée à l’hôtel. Une semaine à la neige pour passer ces journées à l’hôtel ! Quelle farce ! Mais il y avait pire, ce soir ! Elle avait l’impression de même ses chaussures de ville la gênaient ! Elle sentait des petits tiraillements sous ses pieds, comme si des mains invisibles en touchaient la surface… Pas vraiment désagréable, mais plutôt singulier ! Ça, plus l’impression que ses chaussures étaient trop petites ! Le bout de ses orteils semblait buter contre quelque chose… Elle dîna rapidement, sans grand appétit et remonta dans sa chambre. Il y avait un film pas mal à la télé ! Ce n’est qu’un peu plus tard, qu’elle s’aperçut que, la gêne avait disparu ! Elle regardait le film, qui finalement était un navet, quand elle en prit conscience, presque surprise. Plus aucune impression curieuse ou désagréable, seulement une sensation de bien-être. Le fait d’être pieds nus ne pouvait pas y être étranger ! Délaissant le film, elle se leva et récupéra ses chaussettes dans le sac à linges sales. Elle s’assit sur le lit en en effila une. Presque immédiatement, la sensation de pression revint, encore plus forte. Elle retira la chaussette et la sensation disparut. Elle répéta l’opération plusieurs fois pour s’assurer qu’elle ne rêvait pas. Ses pieds refusaient bel et bien le contact avec les chaussettes ! Prise d’une sorte de panique, elle se précipita vers ses chaussures et les enfila… ça allait ! Un instant, elle avait eu peur de ne plus pouvoir les mettre ! Mais se balader pieds nus dans ses chaussures en plein mois de janvier, ce n’était quand même pas ordinaire ! Elle éteignit la télé et se décida à se coucher. Elle recommença à paniquer quand elle s’aperçut que quand elle laissait ses pieds trop longtemps dans la même position, la sensation était la même qu’avec les chaussettes... Elle ralluma la lumière et inspecta soigneusement la plante de ses pieds nus. Rien ! Qu’est ce que c’était que cette histoire de fou ! Elle passa ses doigts sur toute la surface et sursauta violemment en poussant un cri. C’était comme si quelqu’un lui avait chatouillé le pied ! Elle recommença doucement pour un résultat identique. La plante de ses pieds était d’une sensibilité extrême… La plante, mais aussi les orteils, entre les orteils, surtout ! Ce n’était pas seulement une sensation de chatouilles… C’était plus que ça ! Une chose indéfinissable qui remontait dans son bas ventre. Mais que pouvait-elle bien avoir aux pieds ? Le pire, c’est que ce n’était pas désagréable du tout !


Aurélien[modifier]

Aurélien est sur un petit nuage ! Il fait bon sur le vieux port et il a même ressortit les tongues du placard. On ne se croirait assurément pas au mois de janvier. La vie est belle, quoi, et pour plusieurs raisons. Depuis toujours, il ne se souvient pas qu’il en fut un jour autrement, Aurélien aime les pieds nus ! Mais attention, pas comme on aime porter de beaux vêtements ou la glace au chocolat ! C’est vraiment une passion qui occupe beaucoup de son temps. Quand il croise une fille dans la rue, son premier regard est pour ses pieds, nus ou pas ! l’été, c’est un véritable supplice ! Il voudrait pouvoir les lécher, les embrasser, les serrer contre lui… Quand la fille est presque pieds nus, il doit faire très attention que ses réactions ne se voient pas trop, car son sexe se dresse jusqu’à lui faire mal… Seulement, Aurélien a un autre problème de taille… Il est qu’une timidité maladive ! Rien que le fait de penser aborder une fille la panique complètement, alors de la à lui parler de ses pieds… Il souffre en silence… Quand la pression est trop forte, il est obligé de s’isoler pour se masturber… Seul le plaisir réussit à la calmer un peu. Il travaille sur le port depuis qu’on lui a fait comprendre qu’il était inutile qu’il perde son temps à l’école. Ce n’est pas bien fatigant et il ne faut pas trop réfléchir. Il peut se consacrer à sa passion. Il a des albums entiers de photos de pieds nus féminins. Il passe plusieurs heures le soir à les découper, les classer et à écrire des commentaires. Quand l’excitation l’oblige à arrêter, c’est pour se masturber en léchant ses pieds nus. Il y a longtemps qu’il lèche ses propres pieds nus, des années ! Il ferme les yeux et rêve qu’il lèche les pieds nus des filles des photos, des filles qu’il a croisées dans la journée… Certaines reviennent plus souvent que d’autre… Zoé, par exemple, la fille de la boulangère… Elle a des pieds magnifiques, les plus beaux de la terre… Il aimerait en avoir des comme ceux-là… Seulement, il est incapable de lui dire bonjour sans perdre ses moyens et balbutier lamentablement. La vie d’Aurélien est simple, finalement… Quelques corvées sur le port à l’arrivée des navires qui rentrent de la pêche et le reste consacré aux pieds nus. Mais depuis quelques jours, quelque chose a changé… quelque chose qu’il n’arrive pas à comprendre et qu’il ne cherche d’ailleurs pas à analyser… Quand il lèche ses pieds nus, les pieds nus des filles par procuration, il n’a presque plus besoin de jouer avec son sexe pour avoir du plaisir. C’est nouveau et c’est délicieux. Si ça continu comme ça, il n’aura même plus besoin d’y toucher du tout. Sa langue sous ses pieds nus sera suffisante. C’est comme si soudain, ses pieds nus étaient devenus plus sensibles… Il en use et abuse sans retenue. Il y pense toute la journée et attend avec impatience le soir… Quand sa langue parcourt les plantes de ses pieds nus, c’est comme si on le chatouillait, mais en beaucoup plus fort. Il lâche quelque gloussement de rire immédiatement remplacé par un cri de plaisir. Il n’avait jamais entendu dire que l’on pouvait se chatouiller tout seul… Il croyait même se souvenir que c’était pratiquement impossible ! Il s’endort de plus en plus tard, car un orgasme ne lui suffit plus… C’est tellement facile de jouir qu’il le fait maintenant plusieurs fois chaque soir… Il a même envie de le faire dans la journée ! Il l’a d’ailleurs fait ! Aussitôt après avoir croisé Zoé, cette après midi… Il a trouvé un coin tranquille entre deux conteneurs, s’est déshabillé rapidement et les a léchés en imaginant ceux de Zoé… Sans doute parce que la jeune fille avait, elle-aussi sortis ses tongues… D’habitude, elle attendait le mois de mai pour montrer ses pieds…


Astrid & Christa[modifier]

Voilà ce que c’est quand on se croit plus forte que les autres ! Quelle idée, aussi, de partir en randonnée avec des chaussures neuves ! Déjà qu’à cette époque de l’année, Astrid n’était pas très chaude… En plus ce matin, elle ne pouvait pas remettre ses chaussures ! Même les grosses chaussettes lui faisaient mal aux pieds ! Il n’était pourtant pas envisageable de continuer la randonnée pieds nus… Tout le monde allait se foutre d’elle, et ils auraient raison ! Quand elle avait retiré ses chaussures hier soir, elle était persuadée de trouver des ampoules partout sur ses pieds et elle avait été très surprise de n’en trouver aucune. Seulement, la douleur et la gêne étaient bien là ! Même le tissu du sac de couchage l’avait gêné toute la nuit. Comme allait-elle faire ce matin pour reprendre la route ? Si seulement, elle avait pris d’autres chaussures, mais pour ne pas se charger, elle était partie avec celles qu’elle avait aux pieds… Ou plutôt, qu’elle en pouvait plus mettre ! Les autres dormaient dans les tentes à côté. A droite, Pierre puis Julien, à gauche, Christa, sa meilleure amie, depuis des années. Il allait pourtant falloir qu’elle sorte de cette tente ! Elle ouvrit la fermeture. Les garçons préparaient déjà le café sur le réchaud à gaz. Pas de trace de Christa pour l’instant. Elle sortit de la tente, pieds nus… Sa dernière tentative pour au moins mettre les chaussettes ayant échouée. - Tu ne devrais pas rester pieds nus ! La terre est froide le matin ! Lança Pierre. - Ça va… ça repose un peu mes pieds, je crois… - Ce n’est pas trop le moment, car on va pas tarder à repartir ! Précisa Julien. Dès que Christa fait surface, on y va ! - Ben, justement, je crois que j’ai un problème avec mes chaussures. Je n’ai pas encore pu les enfiler… Je n’aurais pas du prendre de chaussures neuves… - Ce n’est rien, dit Pierre. Après une bonne marche, les pieds ont tendance à gonfler un peu… Ben, pourtant, ça en a pas l’air, termina-t-il en regardant les pieds d’Astrid. On entendit la fermeture de la dernière tente s’ouvrir et Christa sortit, elle aussi pieds nus. - J’ai entendu… j’ai les mêmes problèmes… Et mes chaussures ne sont pas neuves, loin de là ! j’ai bien peur que ça n’ait pas grand chose à voir avec la qualité des chaussures… - C’est aussi ce que je me suis dit, mais ça paraît tellement idiot ! - Idiot ou pas, même le contact du tissu du sac de couchage me gêne… - Toi aussi ? - Tu vois qu’il n’y a pas que les chaussures ! - Ça veut dire quoi, en bref s’impatienta Julien. - Tout simplement que l’on va devoir continuer… Pieds nus… - Vous vous moquez de nous, avait lancé Julien en haussant les épaules. Allez, on part dans 5 minutes ! Astrid et Christa s’étaient regardé quelques secondes. Visiblement, les garçons ne les prenaient pas au sérieux. Elles prirent le café, assises dans l’herbe tandis que les garçons repliaient les tentes. - Ils croient qu’on plaisante ! Murmura Christa. - J’ai bien peur que oui… Mais qu’est ce qui nous arrive ? - Je ne sais pas… Doucement, elle rapprocha un de ses pieds nus de ceux d’Astrid et le caressa avec ses orteils. Astrid retira précipitamment son pied en gloussant. - Ça fait pas mal, là, demanda Christa avec un sourire malicieux - Non, ça chatouille plutôt ! - Mais il n’y a pas que ça, n’est ce pas ? Il y a un peu plus que des chatouilles… - Oui ! Là ! Tu es contente ? Mais ça ne change rien, Christa ! Je n’aime pas les femmes, alors ce n’est pas la peine d’insister ! Nous étions bien d’accord là dessus, non ? - Excuse-moi, je suis désolée… Mais tu as essayé de passer tes doigts sous tes pieds comme si tu te chatouillais toute seule ? - Non ! Pourquoi ? - Tu devais essayer ! - Je ne vois vraiment pas le rapport ? - Essaye ! Tu verras bien s’il n’y a pas de rapport ! Astrid haussa les épaules, posa son café dans l’herbe écarta les jambes et ramena les pieds nus vers elle, les plantes offertes. - C’est vraiment pour te faire plaisir, dit-elle. Elle recourba légèrement les doigts et attaqua la plante de ses pieds nus. Elle passa plusieurs fois les ongles sur la peau, retint un gloussement de rire puis se plia en deux en poussant un cri étouffé. - Qu’est ce que c’est encore que ça ? Murmura-t-elle. - Ça, comme tu dis, se passe de commentaire, non ? - Et c’est pour ça que tu voulais me… Chatouiller les pieds ? - Oui… Pour aller, plus loin, beaucoup plus loin que ce que tu viens de sentir… - Tu crois que c’est possible ? - J’ai réussi cette nuit… Toute seule, ce n’est pas facile, mais j’ai réussi… - Mon dieu ! Nous sommes en train de devenir folles toutes les deux ! C’est complètement idiot ! Ce n’est pas possible ! On n’a jamais entendu parler d’un truc pareil ! - Peut-être pas, mais c’est pourtant comme ça ! Astrid regarda longuement Christa dans les yeux… Puis sont regard se porta sur les pieds nus de la jeune fille et enfin sur les seins, qu’elle caressa d’un doigt prudent. Finalement, elle sourit. Le cœur de Christa fit un bon dans sa poitrine ! Ce n’était pas encore gagné, mais elle venait de briser une barrière… malgré une situation incompréhensible…


Séverine - 1[modifier]

Nettement mieux que la veille quand même ! Pieds nus dans ses sandales, elle n’avait l’impression que ses chaussettes lui dévoraient les orteils ! Cependant, il y avait encore une petite ombre au tableau… Si ses orteils étaient à l’aise, la plante de ses pieds nus se comportait d’une dôle de façon. Elle avait l’impression, par moment, que quelqu’un lui touchait le dessous des pieds ! Impression troublante, mais pas désagréable ! En colère, ce matin, elle avait affirmé que toutes ses copines étaient pieds nus dans leurs chaussures ou sandales… En fait, elle n’avait pas vraiment fait attention ! Maintenant, aujourd’hui, elle regardait de tous ses yeux ! Elle n’était pas loin d’avoir raison, finalement ! C’était bientôt l’heure de la sortie, son regard errait sous les bureaux et un bon tiers des filles ne portait pas de chaussettes dans des sandales ou des chaussures de ville très légères, un autre tiers environ, de fines chaussettes dans des sandales, et le tiers restant était chaussées de bottes, bottines ou autres chaussures que l’on s’attend à trouver au mois de janvier. A la pose de 15 heures, il s’était produit un incident qui la laissait rêveuse… Elle était assise sur le mur, près de la cours des petits quand Anaïs s’était approché d’elle et sans prévenir, elle avait passé un doigt entre la semelle de sa sandale et la plante de son pied et s’était mis à la chatouiller ! Elle avait d’abord commencé à rire, surprise, puis le rire s’était changé en gloussement, puis elle avait arrêté la main d’Anaïs ! Ça chatouillait toujours un peu, mais il y avait autre chose, autre chose qui ressemblait un peu à ce qu’elle ressentait quand elle mettait ses doigts dans son sexe, le soir, avant de dormir… Mais là, s’était les pieds qu’on chatouillait ! Pas le sexe ! Elle maintint le poignet d’Anaïs et la fixa dans les yeux ! Cette dernière fit son plus beau sourire et lança. - Je voulais seulement m’assurer que tu ressentais le même genre de truc que nous sous les pieds… - Et ? - Visiblement, Oui ! Tu ne veux vraiment pas que je continue ? Séverine eut un instant d’hésitation ! Machinalement, elle faillit remettre la main d’Anaïs sur son pied nu… Mais ce n’était sûrement pas ni le moment, ni le lieu ! - C’est que… Dit-elle en regardant à droite et à gauche… Pas ici ! - Tu as raison… Si tu veux, je passe chez toi ce soir ? - Si tu veux, mais pas trop tôt, s’entendit-elle répondre ! Anaïs s’éloigna en faisant un clin d’œil. Séverine n’en revenait pas ! Elle venait de donner rendez-vous à une fille, chez elle, pour se faire chatouiller les pieds ! Elle haussa les épaules ! Aller ! Pas d’hypocrisie ! Elle en avait vraiment envie, il fallait le reconnaître ! Sa mère l’attendait devant la porte, dans la voiture. - Qu’est ce que tu fais là ? - Je t’emmène chez le docteur ! - Ce n’est pas la peine, tu sais, ça va très bien ! - Je veux en avoir le cœur net ! je ne te croyais pas ce matin, mais au bureau, c’est aussi la grande mode pieds nus ! Et autre chose, ta sœur semble atteinte de la même chose ! Ton père m’a téléphoné ce matin ! Elle, c’est carrément les chaussures qu’elle ne veut plus mettre ! Il n’a pas pu la mettre à l’école pieds nus quand même ! - J’ai rendez-vous à quelle heure ? - Tout de suite ! je te dépose et je vais faire deux trois courses. Je te reprends après ! - Ok ! La salle d’attente était vide. A peine assise, la porte s’ouvre et une voix féminines lance, « Entre, Séverine, et ferme la porte derrière toi ! ». Elle entre, referme la porte, et s’approche du bureau. La femme lui montre une chaise. - Assois-toi ! Alors qu’est ce qui t’amène ? - Ben, ma mère veut que je vienne parce que je ne peux plus enfiler mes chaussettes… - Ho ! Toi aussi ! j’aurais du m’en douter ! Bon depuis quand ? - Ben, depuis ce matin seulement… Avant ça allait ! - Mais il y a combien de temps que tu as ressortit les sandales du placard ? - Ça, ça doit faire une semaine, environ… Qu’est ce qui se passe, Rachel ? - Je ne sais pas exactement, mais ce que je sais par contre, c’est que tu es loin d’être la seule dans ce cas ! Bon, je suppose que tes pieds sont très sensibles aux chatouilles… - Ben, oui… comment le savez vous ? - Pour deux raisons… La première, c’est que cela semble être le cas chez toutes mes patientes. Et la seconde… Là voilà, la seconde ! Le jeune médecin venait de reculer sa chaise et de poser deux pieds nus sur le bureau, à quelques dizaines de centimètres de son visage. Elle trouva soudain les plantes magnifiques, malgré leur grande taille. Elle fit bouger les orteils quelques secondes puis cacha de nouveau ses pieds sous son bureau. Elle poursuivit - Je suppose que tu t’es déjà aperçu que ces chatouilles avec quelque chose d’un peu particulier… - Ben je crois que oui… - Bon, je ne vais pas te retenir plus longtemps ! - Pas de traitement, qu’est ce que je vais dire à ma mère ? - Je vais lui parler, tu es ma dernière cliente… Mais pour ton information, je peux te dire que d’après mes collègues à l’hôpital, il y a déjà des filles qui sont obligées de marcher pieds nus… Je ne sais pas si ce sera ton cas… Ou même le mien… Tu vois, j’ai beau être médecin, je ne suis pas plus avancé que toi ! - D’accord ! Et je vous dois combien, Rachel ! - Pour toi, c’est gratuit ! Elle fit une pause, puis elle poursuivit… - A une condition… Enlève vite tes sandales. Séverine obéit machinalement. Le médecin se trouva soudain avec ses pieds nus entre les mains, et sûrement pas pour les examiner. Elle se mit à en griffer doucement la plante avec ses ongles. Séverine commença à rire, puis son rire s’étrangla dans sa gorge. Elle murmura plusieurs fois : « Non, non ! » En déboutonnant son chemisier pour libérer ses seins. La sonnerie du téléphone rompit le charme. Rachel avait les yeux brillants. Elle ne put résister à l’envie de déposer un baiser sur chacun des pieds nus de séverine. Elle se leva et retourna derrière son bureau et disant au passage. - Dis ! Tu devrais refermer ton chemisier, c’est sans doute ta mère et je vais la faire entrer… Sauvée par le gong, finalement ! - Oui… dommage ! S’entendit-elle prononcer ! - Ce sera pour une autre fois ! Et ta mère ? Aucun signe de nudité des pieds ? - Ho ! Non ! Elle m’a fait une scène ce matin ! Et elle porte ses grosses bottes, celle avec de la fourrure partout ! - En effet ! ça aurait été plus simple ! Bon, je vais tâcher de lui expliquer… Quoi, j’en sais encore rien, puisque je ne sais pas moi-même ce que j’ai, mais je vais bien trouver un truc pour qu’elle te lâche un peu ! - Oui ! surtout que j’ai une copine qui doit venir me voir ce soir… - Ha ! Ok ! Et ce n’est pas pour faire un devoir en retard, je présume, termina-t-elle en riant ! Elle décrocha le téléphone, écouta quelques instants et raccrocha. Se tournant vers Séverine. - Ta mère arrive, mais on a juste le temps ! - Le temps ? - Oui ! Rachel passa de nouveau devant le bureau, mais cette fois, elle s’assit sur le sol et dégrafa sa blouse dévoilant son corps nu. Elle leva les jambes et posa les talons sur les genoux de séverine. - A toi ! Tu n’en as pas envie ? Séverine était presque hypnotisée par les immenses pieds nus si près d’elle. Ses doigts se refermèrent instinctivement et elle commença à lacérer la surface des plantes avec ses ongles ! Mon dieu ! C’était presque aussi agréable que de se laisser chatouiller… Différent, mais délicieux ! Elle se sentit horriblement frustrée lorsque les pieds disparurent et que ses doigts fouettèrent le vide. Rachel venait de se relever précipitamment et refermait sa blouse. Elle eut juste le temps d’enfiler ses mules avant que la porte s’ouvre. Elle se pencha quand même vers Séverine et murmura. - Je suis sûre que l’on aura l’occasion d’aller jusqu’au bout très bientôt ! J’arrange ça ! Sa mère entra. Elle embrassa Rachel sur les joues. Séverine n’arrivait pas à imaginer que Rachel et sa mère avaient été dans la même école ! - Alors, c’est quoi ces pieds nus ! - Et bé ! Tu es directe ! Je vois que tu ne changes pas !


Dolorès - 1[modifier]

Elle avait finalement suivit les conseils de Karine. Etre pieds nus sous le bureau était vraiment très agréable. Elle appréhendait seulement le moment ou il faudrait remettre chaussettes et sandales… A la pause, elle n’était même pas sorti du bureau ! Karine était allée chercher des sandwichs au distributeur dans le hall, pieds nus ! Dolorès s’était écriée. - Tu ne vas quand même pas y aller comme ça ? - Pourquoi pas ? A cette heure-ci, il y a presque personne dans la boutique ! Et puis, tant pis ! Je suis trop bien pieds nus ! Et elle était partie, le plus naturellement du monde ! Dolorès avait préparé de l’eau pour faire un peu de café dans le minuscule réduit sans fenêtre qui leur servait de salle de repos. Elle aussi était restée pieds nus, mais dans ce placard à balais, personne ne venait jamais. Il y avait une table haute et trois tabourets de bar. Quand Karine revint, elle était assise et ses pieds nus reposaient sur l’anneau à un tiers du siège, environ. Elle n’avait pas entendu la jeune fille approcher… - Tu sais que tu as des pieds magnifiques, Dolorès. Là, j’ai une vue magnifique sur tes plantes et elles sont vraiment superbes ! - Tu m’as fait peur, je ne t’ai pas entendu entrer, mais c’est vrai que pieds nus, c’est normal ! Mes pieds ? Beau ? - Ne fait pas l’innocente ! Je suis certaine que tu en es parfaitement consciente ! - Je les trouve trop grands ! - Oui, mais quelle cambrure ! Et comment trouves-tu les miens ? Curieusement, Dolorès n’était par vraiment surprise. Ce matin, quand Karine avait montré ses pieds nus, elle les avait admirés… Et elle avait même été sur le point de la complimenter… Mais, on complimente rarement quelqu’un pour la beauté de ses pieds dans une conversation courante. Pourtant, elle en avait eu envie… Visiblement, les règles étaient en train de changer. D’abord cette envie d’être pieds nus, ensuite cette gêne à porter des chaussettes et des chaussures fermées, enfin, cette sorte d’attirance pour les pieds nus… Qu’est ce que ça cachait ? Mais, ça ne coûtait pas de lui dire qu’elle avait de beaux pieds… D’abord, c’était vrai, et elle avait envie de lui dire… Alors… - Ba ! Ils sont un peu sales, mais ils sont magnifiques ! Tu n’as rien à m’envier, tu sais ! - C’est vrai, ils sont un peu sales, mais je suis pieds nus depuis ce matin… Mais finalement, je les aime bien comme ça… ça met leurs courbes en valeur… Tu ne trouves pas ? - Si ! Mais c’est ça que je ne comprends pas ! Karine, te rends-tu compte de ce que l’on est en train de dire ? Nous sommes toutes les deux pieds nus alors que nous ne devrions pas l’être, en train de discourir tranquillement sur la beauté de nos pieds nus ! A part cela, tout va très bien ! Mais oui ! Tes pieds nus sales sont très beaux, et… Et j’adore les regarder ! Voilà, c’est dit ! - Merci, ça me fait très plaisir, même si, pour te rejoindre, je ne pensais pas qu’un jour, je serais heureuse qu’une femme me complimente sur mes pieds, mais c’est pourtant le cas ! ça me fait vraiment plaisir de l’entendre, c’est presque… Excitant ! Je sais que tout cela n’a pas l’air très normal, mais franchement, je m’en fou ! Je suis bien pieds nus et j’aime que l’on me dise que j’ai de beaux pieds ! Bon, mais pour toi, c’était jambon ou fromage ? - Tu as sans doute raison… profitons de l’instant présent… Jambon, je crois… - Voilà, en même temps, je sers le café… Karine servit le café et s’installa en face de Dolorès. Elles mangèrent un moment en silence. Dolorès se sentait très bien, sans en comprendre vraiment la raison, puis elle comprit. Elle était tout simplement en train de frotter doucement ses pieds nus l’un contre l’autre… Elle se demandait si Karine ressentait les mêmes choses… - Tu sais, Karine… Moi aussi j’aime qu’on me dise que j’ai de beaux pieds… - J’en étais sûre, tu sais, il y a des expressions qui… La jeune fille ne termina jamais sa phrase. Elle eut un hoquet et reversa son café qui coula sur la table et sur son pied, celui que Dolorès venait de chatouiller avec ses orteils. Avant qu’elle put dire quelque chose, Dolorès s’écria. - Ho ! Je suis désolée ! Ne bouge pas ! Dolorès sauta de sa chaise et s’empara d’un bout de papier essuie-tout, s’accroupit devant le pied nu de Karine. Elle commence par enlever le café et en profite pour prendre le pied nu dans sa main. Elle voudrait pouvoir parler, s’expliquer, mais c’est impossible, l’envie de caresser, chatouiller ce pied nu est trop forte ! Ses doigts se mettent seuls à s’activer sur la plante de Karine qui essaye de se dégager. Sa main libre s’empare aussitôt de la cheville pour retenir le pied nu ! Karine s’agrippe à la table et serre les dents ! Elle a une horrible envie de rire. Involontairement, elle laisse échapper quelques gloussements révélateurs. Puis son rire se bloque dans sa gorge ! D’un geste sec, elle arrache les boutons de son chemisier pour libérer sa poitrine. Dans le même geste, elle essaye de se débarrasser de sa culotte ou au moins de l’écarter de son sexe. Le réflexe « chatouilles », ce réflexe qui contracte les muscles et provoque le rire est en train de la mener droit à l’orgasme. Si elle ne fait rien, elle va se mettre à hurler de plaisir ! Elle a envie de se laisser faire, mais elle a peur de la force que ce qui monte dans son ventre ! D’une secousse désespérée, elle arrive à se dégager, déséquilibrant Dolorès qui tombe en arrière. Karine se laisse glisser le long du mur et se met en position fœtale, respirant lentement. Dolorès vient de prendre une douche froide ! Elle est frustrée, mais finalement heureuse d’échapper à la sorte de folie qui s’était emparée d’elle. Elle se précipite vers Karine. Elle lui caresse les cheveux. - Pardon ! Excuse-moi ! Je ne sais pas ce qui m’a pris ! - Ne t’excuse pas ! C’est ce que j’ai envie de faire depuis ce matin, mais je n’ai pas osé… Toi, oui ! Mais il ne faut pas faire ça ici, c’est trop fort ! - Tu en as envie aussi ? Avec mes pieds ? - Pourquoi crois-tu que je t’ai dis que tu avais de beaux pieds ? - Décidément, je ne suis pas très fine, aujourd’hui ! Karine s’assit le dos au mur. Elle inspecta sa tenue et considéra d’abord la culotte déchirée. - Bon, ça ce n’est pas grave, ça ne se voit pas ! Elle considère maintenant les boutons arrachés de son chemisier. - Ça, c’est plus ennuyeux, termine-t-elle en riant.


Flavie - 1[modifier]

Bon ! Ben, inutile de rester à la montagne si elle ne peut pas faire de ski ! Autant renter chez elle ! Facile à dire… C’est qu’en deux jours, les choses sont allées très vite ! Impossible d’enfiler les chaussures de ski ! OK ! Puis, impossible de mettre des chaussettes ! Encore OK ! Mais maintenant, elle ne supporte plus les chaussures de ville non plus ! Elle les a enfilés la dernière fois pour aller acheter une paire de mules en plastique, genre sorti de bain, vous savez, avec les petits picots qui massent la plante du pied ! Elle en voulait avec une semelle plate, mais il n’y avait plus que ça ! A entendre le vendeur, il avait épuisé son stock en 3 jours. Seulement, impossible de marcher longtemps avec ça ! Et dans la neige, en plus ! Impossible d’aller jusqu’à la gare comme ça et elle ne se voyait pas pieds nus dans la neige ! Ho ! Elle les avait essayées ces mules ! Plusieurs fois ! C’était parfait pour rester dans la chambre ou dans un endroit isolé, mais pas question de se balader en ville avec ! Après l’achat, elle avait été heureuse de se débarrasser des chaussures de ville et elle avait jeté les chaussures dans la première poubelle venue. Elle regretta quelques centaines de mètres plus loin ! Malgré le froid, elle eut la surprise de croiser quelques filles en tongues ou en sandales, pieds nus, comme elle. Finalement, ça la rassurait un peu. Marcher avec ses mules étaient vraiment très agréable. C’est vrai, ça massait délicatement la plante des pieds. C’était très bon ! Une dizaine de mètres plus loin, elle dut s’arrêter précipitamment. C’était beaucoup trop bon ! A chaque pas, elle avait l’impression que des milliers de doigts caressaient la plante des ses pieds. Très vite la sensation de chatouilles s’était transformée en autre chose et cette autre chose, elle n’avait pas mis longtemps à comprendre ! Chaque pas la rapprochait d’une inéluctable et improbable orgasme ! Même arrêtée, les picots qui entraient tendrement dans la peau de ses plantes maintenaient une excitation certaine. Elle ne pouvait pourtant pas rester indéfiniment plantée au milieu du trottoir ! Il fallait bien qu’elle rentre à l’hôtel ! Elle avait ouvert son manteau pour pouvoir éloigner son tee-shirt de la pointe de ses seins et le contact de sa culotte sur son sexe était extrêmement désagréable. Elle progressait lentement, mètre après mètre, et s’arrêtait dès que le plaisir devenait trop fort, avant le point de non-retour. L’autre solution était naturellement de finir pieds nus, mais le sol était vraiment gelé ! Elle soupira d’aise quand elle put enfin se déchausser, dans le hall de l’hôtel. Il était désert ! Evidement, à cette heure, tout le monde était sur les pistes ! Elle monta les escaliers et s’enferma dans sa chambre. Elle s’effondra dans un fauteuil et tenta de faire le point. Ce qui lui arrivait était extraordinaire et jamais elle n’avait entendu aucune histoire ressemblant à la sienne ! Il fallait qu’elle en ait le cœur net ! Dans la douceur de la chambre, elle ôta son manteau, son tee-shirt, son pantalon, et surtout sa maudite culotte ! Nue, elle s’approcha des mules « magiques » qu’elle avait laissé dans l’entrée. Elle les enfila et commença à marcher de long en large dans la chambre. L’impression de chatouilles ne tarda pas à l’assaillir ! Elle se mit à pouffer en continuant de marcher et de tordre les orteils, exactement comme on le fait quand on cherche à éviter les doigts chatouilleurs ! Puis la sensation gagna son ventre, comme dans la rue tout à l’heure. Mais là, rien ne la gênait ! Rien sur les seins, rien sur le sexe, elle était nue ! Elle insista, serrant son ventre avec ses mains. Elle voulait absolument voir jusqu’ou cela allait la mener ! Et elle vit… Ses pas se faisaient de plus en plus courts, elle serait les dents mais elle ne savait plus vraiment si c’était pour ne pas rire ou pour ne pas… Jouir ! Soudain, elle sut que l’orgasme allait exploser. Elle put encore faire deux pas ! Le dernier lui arracha un cri. Elle se lassa tomber sur le planché. Heureusement, sa chute fut amortie par le bord du lit. Ses pieds s’agitèrent frénétiquement pour se débarrasser des mules. Elle se recroquevilla en position fœtale, les coudes serrant son ventre et ses mains jouant avec la pointe de ses seins. Elle gémissait doucement, incapable de proférer de vrais cris. Elle mit plus d’un quart d’heure avant de pouvoir se relever ! Sa décision était prise ! Elle rentrait à Marseille. Mais impossible de rentrer par le train, elle venait d’en avoir la preuve ! Sans s’habiller, elle décrocha le téléphone et demanda à louer une voiture et qu’on lui prépare la note pour le lendemain matin, de bonne heure. Elle s’offrit un autre « chatouille-orgasmes » avant de descendre dîner, pieds nus. Elle releva également deux fois dans la nuit pour la même raison. La voiture l’attendait devant la porte et elle était encore à la phase de rire quand elle atteignit la portière. Elle se débarrassa des mules immédiatement. Conduire pieds nus est assez excitant ! Elle prit la route, prudemment. Machinalement, elle ouvrit la radio. Une chanson qu’elle n’aimait pas ! Elle mit le poste en recherche automatique. Il crachouilla pendant une bonne minute avant d’accrocher une station audible. Là, elle entendit les mots « pieds nus », « catastrophe nationale », « Apprenti sorcier »… Elle haussa le son ! Nous recevons donc Monsieur Gilles PERUCHON, de l’institut de veille sanitaire… Alors, PERICHON, la situation est-elle aussi dramatique que l’on veut bien le dire ? Je crois que le temps de la langue de bois est passé et qu’il faut dire ce qu’il en est vraiment… La vérité, voyez-vous, c’est que nous ne savons pas grand chose en fait… Que voulez-vous dire ? Il faut rassurer les centaines de personnes qui sont obligés de marcher pieds nus ou presque ! Je voudrais bien pouvoir faire ce que vous dites, mais, à l’heure actuelle, c’est impossible de faire des prévisions sur l’évolution de cet incident.. Vous parlez d’incident, mais pour les centaines de personnes qui sont atteintes, c’est un peu plus que ça ! Les gens attendent des réponses ! Je vais essayer de résumer la situation, mais je crains que ça ne soit pas clair pour tout le monde. Nous nous heurtons à une maladie génétique induite dont nous ne pouvons pas prévoir l’évolution... Mais que pouvez vous faire concrètement pour ces femmes, ces enfants même ! Suivre l’évolution de la maladie… C’est tout ! Vous comprenez, l’homme joue avec la nature depuis des dizaines d’années et il semble que la nature ait décidé de se venger... En obligeant les gens à marcher pieds nus ? Voyez-vous, cette nudité est provoquée par un afflux d’endorphine. Ce qui provoque cette production anarchique d’endorphine et un organisme que nous connaissons très bien, une bactérie, pour être précis, puisqu’elle est utilisée depuis 20 ans pour intervenir sur le patrimoine génétique des plantes que nous mangeons. Il s’agit de l’Agrobacterium rhizogènes. Alors que se passe-t-il avec cette bactérie et pourquoi ne pas l’éradiquer si nous la connaissons si bien ? Ho ! C’est très simple. J’ai bien peur que cette bactérie fasse maintenant de notre patrimoine génétique... Je ne suis pas sur de bien vous suivre... Et bien pour être plus clair, je ne pense pas qu’il faille à proprement parler de maladie, je parlerais pour ma part de... Mutation. Mais encore ? Sans le savoir, il y a 30 ans, les généticiens ont écrit cette page de notre histoire. La consommation massive d’OGM, mais beaucoup maintenant ne savent même plus ce que c’est... Cette bactérie servait à insérer ou à remplacer des gènes dans les espèces végétales comme le maïs, la betterave, le tabac. Je pense qu’elle a fini par apprendre à infecter des cellules humaines à travers les OGM Mais que va-il se passer ? Il va falloir des années pour décoder ce nouveau génome ! En attendant, nous n’avons aucune idée du « programme » écrit dans ces cellules mutantes. En bref, vous nous dites qu’il peut arriver n’importe quoi dans les jours qui suivent aux gens « infectés » par cette bactérie ? Je pense que l’infection va toucher tout le monde et pas seulement les quelques milliers d’individus à travers le monde ! Les derniers chiffres sont en nette augmentation ! Et ça ne va pas s’arrêter là ! Tout le monde pieds nus dans 2 ans, 5 ans, 10 ans, plus ? C’est ce que vous voulez dire ? Entre deux et cinq ans, je pense. Et vers quelle évolution, vous avez bien une idée ! Je crains hélas que la nudité des pieds ne soit que la partie émergée de l’iceberg. Le témoin qu’un changement de comportement plus profond. On parle en effet, sous le manteau, de manifestations sexuelles assez curieuses... Pour terminer... Un conseil à donner aux personnes atteintes ? Oui, si nous revenons dans le domaine clinique, je serais plus à l’aise. Pour commencer, même si elle en a très envie, il faut éviter à tout prix de marcher pieds nus. Cela semble accélérer les effets, nous dirons « sexuels » de la mutation. Il faut impérativement prohiber ses effets sexuels, à savoir, l’extrême sensibilité des pieds et des seins... La stimulation de ces nouvelles capacités provoque une augmentation notable de la production d’endorphine et la mutation d’un plus grand nombre de cellules ! Ce qui veut dire, un risque que la nudité ne se limité pas aux pieds. Bien, je vous remercie de votre présence sur ce plateau ! Flavie éteint la radio. Elle n’en revenait pas ! Alors, elle n’était pas malade ! Elle était une mutante ! Et à chaque fois qu’elle utilisait ses mules « magique » pour s’envoyer en l’air, elle devenait un peu plus nue… Enfin, si elle avait bien compris !


Astrid & Christa - 1[modifier]

Les tentes pliées, il avait bien fallu y aller ! La terre était froide, mais c’était préférable à la gêne des chaussettes ! Les garçons marchaient plus lentement mais pestaient depuis le départ ! On perdait du temps à cause de lubies de filles ! Marcher pieds nus en pleine montage au moins de janvier ! Heureusement que l’année était clémente, sinon, il y aurait eu 20 centimètres de neige et de glace ! On aurait vu… ce qu’on aurait vu ! Ils grognaient, mais ils les attendaient ! Le rendez-vous avec le reste de la troupe devait avoir lieu en milieu d’après-midi, un groupe d’une dizaine de mecs. En fait, Astrid et Christa avaient l’impression qu’on les avait emmenées uniquement parce q’on ne pouvait pas faire autrement. La rencontre eut lieu avec une heure de retard. Finalement, à part quelques petites égratignures, les filles ne s’en sortaient pas si mal ! Les pieds sales, certes, mais en assez bon état. Astrid s’était rapproché de Christa. - Christa, est ce que tu sens la même chose que moi ou je rêve ? - Quoi ? - Ben, sous les pieds ? J’ai l’impression qu’on me chatouille par moment et j’ai du mal à me retenir de rire ! Je me retiens uniquement parce que j’ai peur qu’ils finissent par croire qu’on se fout vraiment de leur gueule. - Nous, tu ne rêves pas ! Mais ce n’est que le début de ce que je t’ai dit ce matin ! Tu verras ! La troupe était en vue ! Plus de quelques centaines de mètres encore. Les garçons avaient déjà posé leur sac et discutaient. Soudain, un des garçons se détacha du groupe et revint vers elle un sac à la main. Il jeta le sac à leurs pieds. - C’est ici que nos routes se séparent ! N’avancez plus ! - Ho ! Julien, tu es tombé sur la tête, ça ne va pas ! Demande Astrid, incrédule. - C’est vous qui êtes malades les filles ! Alors, restez à distance ! - Qu’est ce que c’est que cette histoire ? - Les gars ont tout entendu à la radio. C’est pour cela que vous ne pouvez plus mettre de chaussures. Comme personne ne semble savoir ce que c’est et comme on ne sait pas non plus si c’est contagieux, nous ne voulons prendre aucun risque ! - Mais enfin ! On se connaît depuis des années… - Inutile d’insister ! Aucun d’entre nous n’a envie d’être obligé à marcher pieds nus comme vous, non merci ! - C’est incroyable ! Vous n’allez quand même pas nous planter là, toutes seules ? - On va se gêner ! Vous n’avez pas entendu ! Nos routes se séparent ici, là, maintenant ! Salut ! Julien retourna vers la troupe qui leva immédiatement le camp. Astrid se tourna vers Christa. - Q’est ce qu’on fait ? On les suit ? - Tu rigoles ! Remontés comme ils sont, ils vont nous jeter des pierres ! Au moins, maintenant, on va pouvoir compter nos vrais amis… Bande de sales machos ! - Bon, on fait demi-tour, alors ? - Oui ! Je sais comment redescendre, mais par la route qu’on a suivie. - Au moins, ils nous ont laissé une tente, et une tente avec chauffage, c’est toujours ça ! - Oui… On se met en route maintenant ? - C’est le mieux qu’il nous reste à faire. On s’arrêtera avant la nuit ! Avec un peu de chance, demain soir ou après demain matin, on pourra reprendre le train pour Marseille ! - Pieds nus ? - S’il le faut ! On trouvera peut être des tongs ou des sandales ! Astrid se chargea du sac contenant les quelques provisions et Christa du sac contenant la tente. Elles marchaient lentement, regardant bien ou elles mettaient leurs pieds nus. Le soleil commençait à peine à baiser quand Astrid donna le signal de la halte. Christa demanda. - Déjà ? - Je suis fatiguée et… - Et ? - Rien ! Christa déplia la tente, choisissant un endroit sec. Elle omit volontairement d’installer le tapis de sol… L’herbe raz ferait très bien l’affaire. L’endroit était d’ailleurs idéal car il coulait un petit ruisseau à une dizaine de mètres de la tente. Astrid était en train de s’y laver les pieds. Christa sourit et la rejoignit. - Elle est froide ? Demanda-elle. - Elle doit être glacée, mais je la trouve bonne ! Christa plongea ses pieds nus dans l’eau et ses pieds reprirent leur couleur naturelle, un délicieux jaune foncé, presque safran. - Si on allait se les réchauffer dans la tente. Il va faire bon. Comme il y a encore un peu de soleil, les panneaux solaires vont fonctionner et recharger la batterie. - Je crois que je n’attends que ça depuis ce matin, murmure Astrid. Elles regagnèrent la tente en courant. A passage, Christa vérifia le positionnement des petits panneaux solaires. Il faisait bon dans la tente. Sans attendre, Christa se déshabilla entièrement. Astrid hésita un instant, puis l’imita. L’espace entant relativement exigu pour deux personnes, Christa entrouvrit la tente et jeta les vêtements à l’extérieur. Elles restèrent un moment à se détailler. Christa se lança. - Astrid. Est-ce que tu as déjà été attiré par une femme ? - Non ! Jusqu’à aujourd’hui, non ! - Moi non plus… C’est même un truc que je ne comprenais pas encore hier… Mais comment expliquer ce j’ai envie de toi à ce point, de te serrer contre moi, de tes seins, de… De tes pieds nus ! - C’est. C’est la même chose pour moi, je crois… Tu crois que ça à un rapport avec la nudité de nos pieds ? - Ça me parait évident ! Tiens ! tu vas voir ! Cette nuit, toute seule, j’ai mis plus d’une heure, mais à deux ! Comme elle, Astrid était assise en tailleur. Christa posa ses mains sur les pieds nus d’Astrid et commença à griffer délicatement les plantes. Astrid réagit aussitôt en dégageant ses pieds nus ! - Non ! ça chatouille vraiment de trop ! mes pieds sont trop sensibles ! lança-t-elle en riant - Il faut tenir le coup un peu ! tu vas voir ! - Pas facile ! tu es toute seule et j’ai l’impression que j’ai des milliers de doigts sous les pieds ! Christa fit plusieurs tentatives, avec le même résultat. Astrid serrait les dents, éclatait de rire et finissait pas gigoter dans tous les sens pour se libérer des mains de Christa. Soudain, le visage de Christa s’illumina. - Attend ! je crois que j’ai une solution ! Elle ouvrit la tente et sortit, nue. Elle entra presque une minute plus tard avec deux ceintures à la main. Astrid la regarda, un peu surprise en secouant la tête, mais un sourire sur les lèvres. - Tu ne crois pas que tu exagères un peu, la ! Allez prendre les ceintures des jeans pour m’attacher ! Tu pousses un peu quand même ! Ou tu lis trop de revues ! - Astrid, est ce que tu crois un instant que je pourrais te faire du mal, franchement ? - Bien sûr que non ! - Alors, fais-moi confiance ! - Ok ! tu as gagné ! Christa attacha les chevilles de d’Astrid, toujours assise en tailleur. Elle se contorsionna ensuite pour lui attacher les mains dans le dos. Les ceintures n’étaient pas du tout serrées, mais empêchaient efficacement Astrid de bouger ! - Je suis à ta merci, dit-elle en souriant - Je crois bien que, oui, répondit Christa, et je suis certaine que tu ne vas pas le regretter ! Ha ! une chose quand même, avant ! C’est à charge de revanche ! Ok ? - Ok ! C’est promis ! Sans plus attendre, Christa reprit le supplice. Là, les rires d’Astrid résonnaient dans la tente de plus en plus fort ! Elle tirait de toutes ses forces sur les ceintures, mais elle n’avait quasiment aucune latitude. Le sourire sur le visage de Christa devenait presque carnassier ! Les rires d’Astrid devenaient des cris et des supplications ! Elle implorait Christa d’arrêter, presque en sanglotant. Quelques rires émaillaient encore ses plaintes. Soudain, ses rires se firent plus rares, ses gestes moins violents et différents. Ses cris devenaient gémissements, ses ruées, ondulations. Elle se laissa tomber en arrière, seulement retenue par un des montants de la tente. Son ventre était parcouru de frissons, ses gémissements de plus en plus cours. Soudain, son ventre se contracta, son corps se cabra et elle poussa un long hurlement, un hurlement qui en aucun cas ne pouvait être confondu ave un hurlement de douleur ! Ce cri de pure jouissance rendit Christa complètement folle de désir. Ses mains continuaient leurs mouvements frénétiques sur les pieds nus d’Astrid, mais s’égaraient de façon désordonnée, vers le ventre, les seins, les côtes et vers sa propre poitrine, son ventre, son sexe et même ses propres pieds nus ! Elle ne savait plus depuis combien de temps elle suppliciait Astrid. Elle se rendait compte qu’elle perdait complètement contrôle d’elle-même, son envie de jouir devenait intolérable, exacerbé par la vision des pieds nus, du corps nue d’Astrid ! Elle plaqua un de ses pieds nus sur son sexe et le talon pénétra de quelques millimètres. L’orgasme explosa brutalement, déchirant son ventre.

Elle tomba sur le côté, les mains crispées sur son ventre. Dès qu’elle fut capable de bouger, elle débarrassa Astrid des ceintures, l’allongea et se lova contre elle. Astrid semblait avoir du mal à récupérer. Une de ses mains était plaqué contre son sexe, l’autre restait serrée contre son ventre. Christa se serra un peu plus contre elle et elle sentit le corps d’Astrid répondre au sien. Presque machinalement, elle se mit à jouer avec les pointes des seins d’astrid. Au bout de quelques secondes, le corps de la jeune fille se tendit comme un arc et elle poussa un nouveau hurlement ! Elle dut passer ses jambes autour de la taille de la jeune fille pour réussir à la maintenir ! Elle réussit à poursuivre un peu les caresses mais dut finalement arrêter. Elle ne voyait plus que le blanc des yeux d’Astrid. Elle la laissait reprendre ses esprits en lui caressant les cheveux. - Alors, Astrid ? - Tu, tu peux m’attacher quand tu veux… tout de suite même si tu veux ! J’ai cru que j’allais mourir de plaisir ! - J’ai vu ! Mais souviens-toi de ta promesse ! - Je n’oublie pas ! - Tu sais ce que l’on va faire ? - … - On va manger un peu, pour se donner des forces, et tu vas me chatouiller ! Ok ? - Le programme me plait… Mais il y a une chose que je voudrais faire… - Tout ce que tu veux ! - Ben… je voudrais lécher tes pieds nus ! - On va faire beaucoup mieux ! Un 69 rien qu’avec les pieds ! Ça va être vraiment le Pied, dans tous les sens du terme ! Le soleil était au zénith, le lendemain quand, trop épuisées, elles sombrèrent dans un sommeil réparateur.


Aurélien - 1[modifier]

Pour Aurélien, les journées étaient de plus en plus longues. Il avait conscience que son amour pour les pieds nus augmentait dans des proportions inquiétantes. Il ne pouvait plus rester plus d’une ou deux heures sans lécher ses pieds nus, même dans la journée ! Il avait aménagé sa petite planque au milieu des conteneurs et s’y réfugiait dès que l’envie était trop forte. Il ne cherchait pas à résister, ni même à comprendre. Il profitait du moment présent. Ce matin, trois de ses employeurs habituels n’avaient pas voulu lui donner de travail et l’un d’eux lui avait même interdit l’accès à son bateau ! Il n’avait pas vraiment comprit pour quelle raison. Il était question de ses pieds… Il se demanda un instant si quelqu’un l’avait vu dans sa cachette en train de lécher ses pieds nus, entièrement nu. Finalement, en fin de matinée, il tomba sur un journal de la veille et en parcouru la première page. Il déchiffra péniblement le titre. «Syndrome Pieds Nus ! Une nouvelle maladie ? » Alors qu’il s’attaquait à la première ligne de l’article, il sentit une présence derrière lui et se tourna vivement. Son cœur manqua un ou deux battements. Zoé se trouvait à moins d’un centimètre. Pour ce donner une contenance, il déclara, en tendant le journal. - C’est quoi, ça ? - Ben, il parait que nous sommes malades. Et je pense que c’est exact. Ce n’est sûrement pas pour le plaisir que tu es pieds nus ? - C’est que mes tongues me gênaient ce matin, alors, je ne les ai pas mis ! Mais je trouve ça très agréable et c’est un plaisir ! - Oui, en effet, je me suis très mal exprimé, tu as raison, c’est bien un plaisir de marcher pieds nus, mais je veux dire que tu ne peux plus mettre de chaussures. - Ça fait au moins une semaine ! - Je sais, ça fait une semaine que je t’observe. Tu sais, on voit très bien le port depuis la fenêtre de ma chambre. Je ne suis décidé quand j’ai vu que tu étais pieds nus ce matin. J’ai laissé mes sandales à la maison et je suis venue ! - Et pourquoi ? Je… Je… Comme d’habitude, Aurélien était paralysé par la trouille. Tenir une conversation avec une fille, surtout avec Zoé tenait de l’exploit. - Laisse-moi parler ! Je vais t’aider. Voilà, je t’ai vu regarder mes pieds plusieurs fois cette semaine et j’ai vu que mes pieds nus ne te laissaient pas indifférence… Comme en ce moment ! Une bosse important était en train de se former son le jogging d’aurélien. Zoé continua. - Alors, je voudrais toucher tes pieds nus et que tu touches les miens. Aurélien n’en revenait pas ! Elle annonçait ça comme ça, naturellement, comme si c’était une évidence ! - Tu ne réponds pas ? - Si ! Si ! Mais je crois que je suis en train de rêver. Je vais sans doute me réveiller ! - Je pense que ça va te réveiller plus vite encore. Zoé tenait le sexe dressé du garçon dans sa main et imprima deux ou trois mouvements de va-et-vient ! Aurélien fit une horrible grimace et serra les dents ! - Non ! Supplia Aurélien. Tu n’aurais pas du faire ça ! Je ne vais pas pouvoir me retenir ! - Chez toi ? Moi avec mes parents, ce n’est pas possible. - Oui, mais très vite ! Je ne vais pas tenir très longtemps ! Aurélien attrape Zoé par la main et l’entraîne avec lui. Il se demande s’il arrivera chez lui, mais ne veut pas utiliser la planque, pas avec Zoé ! De toute façon, il n’y a pas de place pour deux ! On entend leurs pieds nus frapper le sol sèchement. Enfin, Aurélien franchit le seuil de la caravane améliorée qui lui sert de logement. Il claque la porte derrière Zoé. Il se débarrasse de son tee-shirt et de son pantalon. Son sexe dressé palpite doucement. Zoé se débarrasse de sa robe en un seul geste. Elle ne porte rien dessous. Péremptoire, elle intime l’ordre à Aurélien de s’allonger sur le sol. Elle s’assoit sur le lit et pose un pied nu sur la poitrine d’Aurélien et l’autre sur son visage. La langue d’Aurélien s’active immédiatement sur la plante de Zoé ! Il pousse des gémissements gourmands. Son bassin ondule sur le sol et son sexe vibre rapidement. Zoé se laisse tomber en arrière. Son ventre se contracte régulièrement et elle respire de plus en plus vite. Aurélien pousse un cri. Il s’empare des chevilles de Zoé pour plaquer les deux pieds nus sur sa bouche ! Il lèche, suce, embrasse, mordille les pieds de Zoé. La jeune fille se met à geindre doucement en caressant sa poitrine. Son corps s’arque soudain et elle griffe son ventre. Elle crie. Le ventre d’Aurélien se gonfle il gémit plus fort, un gémissement rauque, profond. Ses mains se crispent sur les chevilles de Zoé. Son sexe gonflé expulse des jets de spermes qui inondent son ventre, la poitrine et les pieds nus de Zoé. Le plaisir a été fort, profond, complet. Aurélien en a encore l’empreinte dans le ventre et en conserve le souvenir le plus longtemps possible pour le faire durer. Il sent Zoé bouger. Il sent la forme de son corps chaud épouser le sien, il sent bientôt la langue de la jeune fille sur ses orteils. C’est presque brutal. Il sent le plaisir de Zoé monter en suivant l’intensité des morsures qu’elle fait subir à ses pieds nus. Il ne va pas tarder lui non plus ! Il pousse un cri tandis que le talon disparaît entièrement dans la bouche de Zoé ! Elle serre les dents, elle jouit silencieusement, la bouche crispée que le pied nu. C’est suffisant pour ranimer l’orgasme à peine éteint d’Aurélien. Ils sont assit par terre, adossés au lit, à moitié enlacés. Zoé murmure. - Je ne sais pas ce que nous avons, mais c’est formidable ! J’avais une envie folle de lécher tes pieds nus depuis plusieurs jours ! Quel pied ! C’est le cas de le dire ! La timidité d’Aurélien semble s’être évaporée. Il parle clair ! - Moi, j’ai toujours aimé les pieds nus, mais depuis quelques jours, c’est une véritable obsession ! je ne pense qu’à ça, surtout les tiens ! - C’est gentil ! - Dis, Zoé… Je peux te poser une question ? - Bien sûr ! Tant que tu laisses tes pieds nus à ma disposition, je ne peux rien te refuser ! Vas-y ! - Ben, tu, tu as déjà léché tes pieds nus ? Les tiens ? - Il y a une semaine, je me serais sans doute demandé si tu ne te foutais pas de moi, mais pas aujourd’hui… Mais non, je ne l’ai jamais fait, mais j’y ai songé, c’est vrai… - C’est dommage, tu sais… - Pourquoi, le fais-tu, toi ? - Ben oui ! - Mais je suis bête ! je comprends ! C’est pour ça que tu dis que tu as toujours aimé les pieds nus ! et timide comme tu es… Ou était, plutôt, c’est vers les tiens que tu te portais ! C’est ça ! - Oui, et c’est dernier temps, j’étais obligé de les lécher plusieurs fois dans la journée.. - Et tu préfères les tiens ou les miens ? - Les tiens, bien sûr, mais ça ne m’empêche pas de penser au miens quand même, tu sais ! - Tu as vraiment du plaisir en léchant tes propres pieds nus ? Autant qu’avec les miens ? - Ce n’est pas la même chose… Pas facile à expliquer ! Mais le plus facile, c’est que tu essayes ! Je suis sur que je vais adorer te voir faire ça ! D’accord ? - Oui ! Mais je ne sais pas si je vais y arriver… - Je suis sur que oui ! Je vais d’aider ! Aurélien se plaça en face d’elle et pris délicatement une de ses jambes, par la cheville et le genou. Il remonta doucement, sans forcer, le pied nu vers la bouche de Zoé. Il n’était plus si sûr d’être capable d’aider efficacement Zoé à lécher son pied nu. La proximité du pied lui donnait des envies et il sentait son sexe palpiter contre son ventre. Pourtant, il tenait absolument à ce que Zoé goûte au plaisir de lécher seule, ses pieds nus. Il serra les dents. Le pied nu était à moins d’un centimètre des lèvres de Zoé. - Tu as peur ? - Non, mais je suis un peu intriguée… - Tu vas voir ! Tu ne le regretteras pas ! Fait comme si c’était mon pied ! Zoé loucha presque sur son pied un moment, puis sortit la langue. Aurélien sentit immédiatement le corps de la jeune fille se contracter. Zoé mit moins d’une minute à atteindre l’orgasme. Il n’avait plus à maintenir le pied nu. La jeune fille le serrait elle-même contre ses lèvres. Et en effet, il aimait le spectacle, à tel point qu’une irrésistible envie le précipita vers ses propres pieds nus ! Quand il se calma, Zoé lui caressait les cheveux. La jeune fille murmura à son oreille. - Je comprends pourquoi tu aimes tes pieds nus. Je pense que maintenant que j’y ai goûté, je ne pourrais plus m’en passer non plus ! - Tu vas rentrer chez tes parents ? - Non ! Je reste avec toi, si tu n’y vois pas d’inconvénients… - Bien sûr que non ! Qu’est ce qu’il raconte le journal sur ce que l’on a ? - Ho ! Très clair ! C’est une sorte de mutation dont les effets sont, semble-t-il, irréversibles ! J’ai lu tout ce que l’on pouvait lui là-dessus ! Tiens, ce que je voudrais essayer, c’est que tu me chatouilles, particulièrement les pieds nus… Des pieds, qui d’après ce journal, précisément, vont rester définitivement nus !


Evolution[modifier]

On ne pouvait plus faire semblant d’ignorer le phénomène « pieds nus », ce que dans certains milieux, on commençait à nommer, « la grande mutation » ou « la mutation finale ». Depuis que les médias avaient repris le terme « Mutation », il s’était instauré une véritable psychose dans la population. Le mot « Mutant » était beaucoup trop chargé de mystère ! Depuis des décennies, les auteurs avaient utilisé ce mot pour annoncer les pires catastrophes ! Comme dans les plus mauvais films de série B, la chasse aux mutants menaçait de s’ouvrir. Déjà, sur la vitrine de beaucoup de magasin on pouvait voir des affiches interdisant l’entrée aux mutants ! Dans le milieu médical, on commençait à comprendre ce qui se passait. Le vecteur, cette bactérie, qui avait rendu d’immenses services à la science dans le domaine de la génétique était en train de reprendre sa liberté. Après près de 50 ans de bons et loyaux services, il semblait qu’elle ait décidé de vivre sa vie. Se pouvait-il qu’elle ait acquit une certaine autonomie ? Pendant des années, on avait dressé ces bactéries à faire un travail d’une extrême précision ! Modifier l’ADN des plantes ! Apparemment, les bactéries ne se limitaient plus à l’ADN des plantes, mais attaquaient les personnes qui mangeaient les plantes, les humains ! Pour la plupart des chercheurs, c’était évident, mais si jusqu’ici, ils avaient parfaitement contrôlé la façon dont l’ADN des plantes devait être modifié, ils se trouvaient complètement dépassés par la nouvelle autonomie de la bactérie. Parmi eux, beaucoup rouvrirent les dossiers d’archives du début de l’introduction des OGM dans l’alimentation humaine… Les avertissements des écologistes de l’époque étaient pourtant clairs ! Mais ils n’étaient qu’une minorité, et personne ne les avait pris au sérieux. Pourtant, une des possibilités qu’ils avaient décrit était bel et bien en train de se réaliser ! On retrouvait des traces de la bactérie dans le sang de toutes les personnes qui présentaient une intolérance au tissu, alors que le sang des autres n’en contenait pas. On remarqua aussi immédiatement que la présence de la bactérie était accompagnée d’un taux d’endorphine particulièrement élevé. On établit rapidement également que plus le taux d’endorphine était important, moins le sujet supportait le tissu sur ses pieds. Dans le cas des plus forts taux enregistrés, le sujet ne supportait plus ni chaussures, ni chaussettes, ni même le contact avec le tissu. Une étude beaucoup plus officieuse mit en évidence le fait que le taux d’endorphine était également proportionnel à la sensibilité de la peau des sujets, notamment aux chatouilles sous les pieds, une sensibilité qui dépassait tout ce qui avait été observé jusqu’à ce jour ! Ce groupe de chercheurs avait d’ailleurs été sévèrement réprimandé pour avoir effectué des expériences sur des êtres humains. Néanmoins, c’est grâce à ces études que l’on s’aperçut que les chatouilles apportaient des orgasmes violents si elles étaient pratiquées assez longtemps, produisant une augmentation du taux d’endorphine qui, à son tour provoquait une augmentation de l’intolérance au tissu. En bref, plus vous vous faites chatouiller et plus vous devenez nu(e) et sensible… Un cercle infernal exponentiel ! Impossible de faire des prévisions d’évolution à long terme. La bactérie faisait ce qu’elle voulait. Potentiellement, la totalité de la population mondiale était susceptible d’être un jour touché par cette mutation. Tout le monde mangeait des OGM depuis des dizaines d’années ! Beaucoup de gens étaient d’ailleurs porteurs de la bactérie bien que ne présentant pas de signe clinique, pas encore. Il semblait bien que cette épidémie un peu particulière allait prendre des proportions jusque là inconnues.


Madame Koo[modifier]

Madame Koo était troublée. Pour de multiples raisons. Depuis quelques jours, elle avait l’impression que le monde, son monde ne tournait plus rond. Tout d’abord, cette nouvelle maladie ou mutation dont elle était hélas une des victimes. Pour les autres, c’était une gêne ou un plaisir, pour elle, cela avait une signification et des implications beaucoup plus profondes. Madame Koo, depuis plusieurs années avait fait des pieds nus sa spécialité. A Marseille, en France et même à l’étranger, dans certains milieux, elle était connue comme une experte incontestée dans le domaine des tortures et chatouilles de pieds nus. Personne mieux qu’elle ne connaissait aussi parfaitement la plante des pieds nus. Elle en connaissait chaque millimètre et savait très exactement l’endroit qu’il fallait stimuler pour provoquer un type de réponse bien précis. Madame Koo était le fruit d’une lignée vieille de plusieurs siècles. De mère en filles, on se confiait le secret de certains emplacements et combinaisons d’emplacements qui pouvait plonger la suppliciée dans le plus profond extase ou dans le pire des tourments. Bien sûr, de nos jours, avec la vie moderne, sa famille n’avait plus le pouvoir qu’elle avait eu le siècle précédent, mais madame Koo gardait quand même un pouvoir étonnant et démesuré sur ses contemporains. Six femmes étaient à son service et auraient donné sans hésitation leur vie pour elle. Madame Koo n’exerçait plus son art du fond d’un donjon. Elle avait su évoluer avec son temps et même en profiter. Elle possédait une des plus prestigieux hôtels particulier de la vieille ville et rien n’indiquait ce qui se passait à l’intérieur de l’édifice. Pourtant, cet endroit était un des plus connus, bien qu’il ne figure pas dans les guides touristiques, du moins pas pour sa fonction, peut-être pour son architecture… Pour madame Koo, les pieds étaient la partie la plus noble de l’individu. Depuis son plus jeune age, on lui avait appris à aimer et respecter les pieds nus. A l’age de 6 ans, elle était déjà entourée d’une multitude de femmes qui s’occupait religieusement de ses pieds nus. A douze ans, elle fut initiée. A quinze, sa réputation dépassait déjà celle de sa mère et son aura s’étendait bien au-delà de la ville. Madame Koo avait les plus beaux pieds que l’on puisse imaginer. Vraiment gâtée par la nature ou des générations de sélection, disaient certains, elle consacrait chaque jour plus de deux heures à leur entretien. Elle, d’ailleurs n’y touchait pratiquement jamais, mais deux des femmes de sa suite ne faisait que ça. Ses chaussures étaient faites sur mesure et ses pieds n’avaient pas la plus petite marque. De vrais bijoux précieux. Il fallait s’il prendre à l’avance pour avoir la chance de participer à une des soirées de Madame Koo. Il est évident qu’elle n’était pas la seule à officier et généralement, toutes les salles de la vieille demeure étaient occupées. Madame Koo et ses filles acceptent toutes sortes de scénarii, se réservant toutefois de refuser ceux ayant risqué de provoquer la mutilation ou risquant la vie des « victimes » consentantes ou non. Ça va de la volontaire qui vient se faire chatouiller à l’extrême à la fille qu’on amène de force pour lui offrir un « baptême de chatouilles » en passant par la fille que l’on veut punir… Vous vous en doutez, les filles de madame Koo sont toutes des spécialistes chevronnées. Madame Koo les a choisie avec le plus grand soin. Elles sont toutes, obligatoirement fétichistes des pieds à un niveau largement supérieurs à la moyenne des fétichistes. Pour travailler pour Madame Koo, il ne suffit pas de prétendre être fétichiste, il faut le prouver ! La plupart des filles ont été recruté très jeune par le clan Koo's Tickling Brigade, quelquefois même enlevées à leur parent quand leurs pieds semblaient entrer vraiment dans les critères de beauté définis par le clan. Elles ont été éduquées dans un univers dont les pieds nus étaient le centre. Elles n’ont le droit de porter des chaussures que pour leur douzième anniversaire, après une cérémonie d’initiation ou elles doivent prouver leur attachement au culte des pieds nus de toutes les façons possibles définies par les règles ancestrales du clan. Madame Koo regrette l’époque pas si lointaine ou le Koo's Tickling Brigade (l’équipe de chatouillement de Koo) rivalisait avec Red Feather Gang, (le Gang de la plume rouge). Elle n’en a connu que la fin, mais elle en garde un vif souvenir. Plus personne d’ailleurs, dans aucun des deux clans ne se souvient de l’origine de ce combat ! Madame Koo avait 10 ans lors d’un des derniers combats. Le clan avait capturer une fillette de son âge, peut-être un peu plus vieille… sa mère lui avait « donné » pour s’amuser ! A cet âge, elle vivait pratiquement nue tout le temps et elle n’aurait le droit de mettre des chaussures que dans deux ans… Elle obligeait d’ailleurs les filles qui étaient à son service à adopter la même tenue qu’elle. Elle avait entièrement déshabillé la fillette et avait pendant deux jours durant exercé tout son art sur les pieds nus de la fillette. Madame Koo n’avait jamais eu l’esprit mauvais, pas plus aujourd’hui qu’à 10 ans. Tous ses gestes étaient orientés vers le plaisir. La jeune fille n’était jamais repartie. Elle n’était d’ailleurs plus vraiment la même non plus. Le plaisir avait ouvert ou cassé quelque chose dans son esprit. Les deux jours passés sous les mains de celle qui allait devenir la grande Madame Koo, avaient laissé des traces profondes et indélébiles. Le plaisir avait été si fort et prolongé qu’il avait créé une sorte d’accoutumance. La jeune fille errait encore aujourd’hui dans les salles de l’hôtel particulier à la recherche de l’orgasme perpétuel. Elle était devenue ce que les psy appelle à présent une nymphomane. Elle était devenue la mascotte de la maison et personne ne lui refusait les caresses dont elle avait besoin. En quelques années, Madame Koo avait redorer le blason des Koo's Tickling Brigade. Les soirées coûtaient fort chers et on pouvait affirmer sans risque que madame Koo était très fortunée… Ce qui permettait aussi de comprendre pourquoi la maison n’avait jamais été inquiétée par la police… On disait même que c’était le lieu de rendez-vous des notables de la ville et que certaines épouses trouvaient avec les filles de madame Koo le réconfort qu’elles ne trouvaient pas avec leur mari… Mais ce ne sont bien sûr que des rumeurs… Pourtant, aujourd’hui, la belle assurance de Madame Koo était chancelante, pour ne pas dire complètement bouleversée. Déjà le fait qu’elle ne puisse plus enfiler ses bottines vertes la déstabilisait. Dans le cérémonial dont elle avait l’habitude, elle apparaissait toujours vêtue d’une robe verte assez légère où s’enroulait un dragon jaune, chaussée et gantée de vert. Ça faisait partie de sa légende. Ce soir, les seules chaussures qu’elle supportait étaient une paire de tongs ! D’accord, elles étaient vertes, mais ça ne faisait pas vraiment sérieux ! Elle avait attrapé cette putain de maladie ! Ce qui la préoccupait le plus, c’était les informations confidentielles qu’elle avait soutirées au directeur de l’hôpital de la Timone. La sensibilité des pieds des personnes atteintes devenait, paraît-il, extraordinaire. Toute sa force reposait sur le fait qu’elle était capable de créer des sensations que personne ne pouvait reproduire… Si tout le monde devenait hypersensible, c’était peut-être la fin de sa carrière ! C’est vrai qu’elle l’avait constaté sur elle-même. Elle l’avait également remarqué sur certaines de ses filles, pas par la nudité des pieds, car la plupart des filles étaient toujours pieds nus, mais pour la sensibilité aux chatouilles. Il fallait y aller ! C’était l’heure et les salles commençaient à se remplir. Aujourd’hui, une de ses victimes étaient la fille d’une des femmes les plus influentes de la ville. C’était en fait le cadeau d’anniversaire de la jeune fille et Madame Koo avait décidé de faire les choses en grand ! Madame Koo respira un grand coup et entra dans une salle qui était la réplique parfaite de l’ancestrale salle du donjon familiale. Rien que le fait d’entrer dans cette salle l’excitait. Elle était pieds nus, c’était quand même plus crédible que les tongs. La fille était bâillonnée et attaché au mur par des anneaux au fond de la salle. Pour cette soirée exceptionnelle, elle avait souhaité que les servantes, au nombre de 8, soient entièrement nues. Elle connaissait parfaitement les penchants lesbiens de la jeune fille et savait qu’elle y était très sensible à la vue de la nudité. Etre pieds nus lui ôte un peu de son assurance. D’un signe péremptoire, elle intime l’ordre aux servantes de déshabiller entièrement la « victime » et de l’enchaîner sur la table principale. Les gestes paraissent brutaux, mais le sont sans exagération. Campée sur ses pieds nus, Madame Koo assiste à la scène, impassible. La jeune fille est maintenant nue. Les filles la traîne à la table sans ménagement. Ses mains et ses pieds nus sont bientôt immobilisés dans des lanières de cuir larges, le bâillon est arraché. D’un autre geste, Madame Koo ordonne le début de la préparation de la suppliciée. On apporte des vraies torches que l’on dispose autour de la table. Sous la lumière chancelante, les pieds nus de la jeune fille sont magnifiques et madame Koo en est troublée. Elle doit se reprendre et ne pas laisser paraître ses émotions ! Les filles commencent à « chauffer » la victime qui pour l’instant est visiblement aux anges. Les filles tournent autour de la table lentement. Selon un balai visiblement bien réglé, les mains passent sur le corps de la jeune fille. Celle-ci commence à rire et se trémousse dans tout les sens. Ses rires deviennent rapidement hystériques. Ce n’est pas normal, ça va trop vite et Madame Koo est intriguée. Il fait un signe discret à une des filles et lui murmure quelques mots à l’oreille. La fille nue sort de la pièce. Elle revient quelques secondes plus tard, s’incline devant Madame Koo et prononce quelques phrases. C’est bien ce que madame Koo craignait. La fille était malade. Comme elle, c’était une mutante. Dans le vestiaire ou elle s’était débarrassée de ses vêtements, il n’y avait pas de chaussures. La fille était venue pieds nus. C’était maintenant la phase deux de la séance. Les filles autour de la table se rapprochaient de la victime et la narguait en la caressant avec leur poitrine. Elles passaient leurs seins sur son front, sur sa bouche, sur sa propre poitrine. Un autre imprévue survint. Deux des filles durent sortir précipitamment de la ronde infernale, leurs poitrines trop sensibles pour administrer les caresses. L’une d’elle s’éloigna en continuant à se caresser seule les seins. Elle s’arrêta derrière un pilier se laissa glisser à terre et se mit à jouir. En temps ordinaire, cette attitude eut été inqualifiable. Coûte que coûte, le « spectacle » devait continuer ! Les filles reculèrent de deux pas. Madame Koo avança lentement vers la table. Elle en fit lentement, très lentement le tour plusieurs fois en ôtant ses gants verts. La fille, sevrée brusquement de caresses était désorientée. Le corps de la fille était couvert de sueur et son sexe semblait déjà trempé. Trop tôt ! Beaucoup trop tôt ! Elle était presque sur que la fille avait déjà jouie une ou deux fois. Le premier gant tomba sur le sol. Il n’y avait pas que les pieds qui étaient bien entretenus chez Madame Koo, il y avait aussi les ongles, des ongles d’une longueur démesurée dont elle était très fière. C’était ses instruments de travail ! Étant plus jeune, elle avait essayé beaucoup d’accessoires, mais finalement, rien n’était mieux que ses ongles. Le seul accessoire dont elle se servait encore occasionnellement était les plumes. Elle fixe la jeune fille dans les yeux, sans rien dire, la mine sévère ! Elle recule, sans quitter la fille des yeux pour se placer à l’extrémité de la table. Sans regarder, elle frôle de ses ongles démesurés deux ou trois points sensibles des plantes de la jeune fille. Elle sursaute violement ! Ça confirme les craintes de Madame Koo. Les plantes de la fille sont d’une sensibilité incroyable. Elle n’aurait du que vaguement esquisser un sourire sous cette caresse. Elle doit faire attention ! Le souvenir de la fille du Red Feather Gang reste très présent dans son esprit. Elle sait que son art à le pouvoir de transformer les gens, le pouvoir de les enfermer dans un univers de plaisir dont ils ne pourront jamais sortir. Elle le sait si bien qu’elle s’en est servie volontairement plusieurs fois. En temps ordinaire, elle doit y prendre garde. Vu l’état de la jeune fille, elle ne sais plus du tout ou sont les limites. Elle songe à laisser tombé, puis pense à sa réputation. Elle a été payée, beaucoup ! Ravalant ses craintes, ses ongles commencent un balai diabolique. La fille éclate d’un rire profond ou se mêle déjà des plaintes et des supplications. Immédiatement après, elle se met à hurler et son corps s’arque boute sur la table, menaçant de rompre les liens. Madame Koo sait qu’elle devrait mettre un bémol, mais ses doigts sont animés d’une vie propre. Le corps de la jeune fille retombe lourdement sur la table pour s’arquer de nouveau avec violence. D’un signe de tête, Madame Koo donne un ordre. Quatre filles viennent se placer de part et d’autre de la table et maintiennent la jeune fille. Les liens sont trop lâches et elle risque de se blesser. Les hurlements deviennent presque inhumains, mais les spasmes qui déforment le ventre de la fille et animent ses hanches attestent que ce ne sont pas des cris de douleur. Les doigts de Madame Koo s’agitent toujours, trouvant instinctivement les endroits les plus sensibles. En fait, madame Koo ne se maîtrise plus vraiment. Son esprit lui dicte d’arrêter avant que la fille ne perde la raison, avec la mutation, il est même peut-être déjà trop tard, on ne voit plus que le banc des yeux de la fille, mais son corps refuse d’obéir ! Et pour une raison très simple ! Madame Koo va jouir… Bien sûr, Madame Koo prend toujours beaucoup de plaisir à chatouiller ses victimes jusqu’à l’orgasme, quand la victime est capable de l’atteindre, mais habituellement, c’est un plaisir plus cérébral ! Là, ce sont bel et bien les prémisses d’un orgasme qui envahissent le ventre de Madame Koo. Sa robe là gêne et elle s’en débarrasse d’un tour de main. Les servantes n’en reviennent pas. Elles n’ont jamais vu la maîtresse nue dans la salle des supplices ! Sa respiration s’accélère. Sur la table, les servantes ont toutes les peines du monde à contenir les ruades de la jeune fille. Son cri est désormais ininterrompu, ses yeux sont blancs et un peu de salive coule de ses lèvres ouvertes. Une flaque de liquide mouille la table à hauteur se son sexe. C’est l’orgasme absolu, peut-être même celui dont on ne revient pas, celui qui rend dépendant… Madame Koo tombe à genou, les pieds de la fille à hauteur de ses seins. Elle frotte ses mamelons sur les plantes et mordille les orteils. Ça non plus, les servantes n’ont jamais vu. Autant madame Koo est prête à tout avec ses servantes en privée, que jamais elle ne se permet le moindre écart pendant une cérémonie comme celle là ! Elle se met à gémir à l’unisson avec sa victime. Chaque mouvement de ses doigts sur la peau de sa victime provoque des ouragans de jouissance dans son ventre. Son corps se tétanise ! Soudain, elle se met à hurler ! L’orgasme lui déchire le ventre. Sa vue se trouble, son sexe brûle mais elle récupère enfin sa liberté de mouvement. Elle se jette sur les pieds nus de sa victime et les tiens serrés entre son ventre et sa poitrine, de toutes ses forces. Jamais elle n’a connu d’orgasme aussi fort, aussi monstrueux, sauf peut-être quand sa mère l’initiait à l’art des chatouilles en démontrant ses théories sur ses pieds nus. Elle croit que le plaisir ne va jamais s’arrêter et craint un moment d’en perdre la raison. Enfin, le plaisir la libère, lentement, comme à regret. Elle lâche les pieds nus de la fille et tombe sur le sol. Elle n’a même pas la force d’amortir sa chute. Heureusement, une des servantes adoucit la réception de son corps. Madame Koo récupère lentement. Quand elle se lève, c’est soutenu par deux servantes. Le souvenir de l’orgasme la domine encore. La fille sur la table ne crie plus, elle ne bouge plus. Au signe de tête de madame Koo, une servante répond par un autre signe de tête. Oui, la fille respire. Plus tard, madame Koo apprend que la séance a en fait duré 3 heures. Mon dieu ! Dans quel état va-t-on retrouver la fille. Même si elle n’avait pas été touchée par la mutation, 3 heures auraient laissé des traces, alors là ? Madame Koo ne punit pas la jeune servante qui a failli à sa mission. Elle comprends que les règles viennent de changer et que si le clan des Koo's Tickling Brigade veut garder la maîtrise de l’art des chatouilles, il doit se remettre rapidement en question. Mais c’est un défi que madame Koo est prête à relever ! La fille ne sera plus jamais la même, c’est maintenant certain. Son regard reste lointain. Elle sourit et parait très calme. Mais contrairement à ce que craignait Madame Koo, elle n’est pas folle. Elle déclare elle même qu’elle se sent très bien, libérée que tous les tabous, les inhibitions, les interdits de toutes sortes. Elle le prouve d’ailleurs très simplement, sans le chercher vraiment. Elle se masturbe quand elle en a envie, sans aucune retenue, naturellement. De la même façon, elle enlace une ou l’autre des servantes et l’embrasse à pleine bouche avant de lui caresser la poitrine ou de lui lécher les pieds. Elle entraîne plusieurs filles sur les tapis pour qu’elles s’occupent d’elle. Pour elle, tout est si naturel et pur que c’en est vraiment attendrissant et qu’au bout de quelques jours, tout le monde vient à l’envier. Deux servantes ont déjà demandé à Madame Koo de leur faire subir le même supplice de la jeune fille. Cette dernière à découvert la fille des Red Feather Gang, jadis « transformée » par Madame Koo, enfant. Les deux filles ne se quittent pratiquement plus. La maison reste fermée plusieurs semaines. Madame Koo veut faire le point avec son clan et préparer des nouvelles règles pour conserver la suprématie des Koo's Tickling Brigade ! Qui sait ? Avec cette mutation, une aire nouvelle allait probablement s’ouvrir ! Et avec cette nouvelle aire, les gangs allaient pulluler et une nouvelle guerre des gangs éclaterait forcement ! Madame Koo en avait des démangeaisons dans les doigts, ce qui était habituel quand elle était excitée, mais aussi dans les pieds, ce qui l’était beaucoup moins !


Liste des personnages[modifier]

Dolorès Taille 170 Poids 59 Pointure 40 Cheveux Noir Sexe Féminin Race D’origine espagnole Profession Employée de banque Famille Célibataire Age 26 ans Peau Matte



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Karine Taille 172 Poids 59 Pointure 39 Cheveux Châtain Sexe Féminin Race Française Profession Employée de banque Famille Marié Age 23 ans Peau Blanche



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Séverine

Taille 160 Poids 45 Pointure 35 Cheveux Brune Sexe Féminin Race Française Profession Lycéenne Famille Aînée de 3 enfants Age 12 ans Peau Blanche



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Flavie

Taille 168 Poids 57 Pointure 38 Cheveux Blond foncé Sexe Féminin Race Française Profession Secrétaire Famille Fiancé Age 21 ans Peau Blanche



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Aurélien

Taille 180 Poids 70 Pointure 42 Cheveux Châtain clair Sexe Masculin Race Française Profession Petit boulot sur le port de Marseille Famille Célibataire Age 19 ans Peau Blanche



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Anaïs

Taille 169 Poids 60 Pointure 38 Cheveux Brune Sexe Féminin Race Française Profession Lycéenne Famille Fille unique Age 14 ans Peau Blanche





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Rachel

Taille 169 Poids 60 Pointure 38 Cheveux Brune Sexe Féminin Race Française Profession Lycéenne Famille Fille unique Age 14 ans Peau Blanche





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Tableau





Glossaire

 Mutation Modification ou altération d’un gène, qui peut survenir naturellement ou être provoquée par des agents chimiques ou par génie génétique  Génie génétique Ensemble de techniques permettant d’introduire dans une cellule un gène qu’elle ne possède pas ou de modifier l’expression d’un gène déjà présent dans la cellule.  Génome Ensemble des gènes d’un organisme présent dans chacune de ses cellules (= patrimoine génétique).  Code génétique Code universel par lequel les gènes commandent la production de protéines dans les cellules  ADN (acide désoxyribonucléique) L’ADN est le support moléculaire de l’information génétique. Cette information définit toutes les protéines synthétisées par l’organisme

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