Fantasme brut

De Lexique du Daingue
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Avertissement[modifier]

Ce récit est celui d’un fantasme. Ne cherchez pas dans sa lecture d’autres implications. Elles seraient sans aucun fondement. Néanmoins, je peux concevoir que ce récit puisse choquer certaines personnes et cela mérite quelques explications préalables. En effet, ce récit met en scène des personnages plutôt jeunes. Ce fantasme est né quand l’auteur, moi-même, avait l’age des personnages. Je n’ai pas trouvé souhaitable de transposer l’histoire à un age plus raisonnable et cela pour garder au fantasme toute sa fraîcheur et toute sa spontanéité. Seul concession à cette règle, l’introduction qui suit. En effet, certaines personnes ont besoin d’un support logique, d’un cadre pour se situer dans l’histoire. L’histoire originale ne comporte naturellement pas ce cadre. Cette histoire de terroriste et de mutation n’est la que pour fixer l’attention des lecteurs les plus cartésiens. Si vous êtes capables d’appréhender le fantasme directement, vous pouvez aisément sauter ces chapitres. Ils n’apportent rien au fantasme. Les personnages et les lieux ont vraiment existé. Guillaume B, Jean-Marc S, Pierre P, Franck R, Franck P, Guy M, Jean-Michel V, ... Et bien entendu, Jean-Luc, sont sûrement encore vivants. Leur participation au récit est bien sûr complètement involontaire, puisque ce fantasme n’a jamais dépassé, jusqu’à aujourd’hui, les frontières de mon esprit. Les fantasmes délirants d’un gamin de 8/12 ans. Encore une fois, n’y chercher pas d’autres implications du genre de celles qui font la une de la presse en ce moment. En règle générale, il n’y a pas d’interaction entre les générations, comme il n’y en avait pas dans le fantasme original. Ce fantasme n’est pas né en un jour. Il est le fruit de plusieurs années de rêveries et il doit être également la cause de bon nombre de mes mauvaises notes  Comme d’habitude, à l’imagination, rien d’interdit ! Bonne lecture !

Prologue – J -1[modifier]

L’ultimatum n’allait pas tarder à arriver à son terme. Les gens réunis dans la grande salle de la préfecture se taisaient, gênés. On leur demandait de prendre une décision sur une question qu’aucun d’entre eux ne prenait réellement au sérieux. Ha ! Bien entendu, il y avait ce fameux principe de précaution... Mais on avait fait de sacrées conneries au nom de ce principe ces dernières années ! Le représentant du gouvernement rompit le silence pesant. - Je n’y crois pas ! C’est du bluff ! - Oui, mais il existe quand même un risque potentiel non négligeable et... - Ho ! Ne vous gargarisez pas avec de grande phrase, monsieur le préfet. Ce n’est rien de plus qu’un canular ! Je vois d’ici les titres de la presse, dans quelques jours... Sans compter les élections au début de l’année prochaine ! - ... - Allons ! Messieurs ! Vous savez comme moi que l’on est capable de provoquer des mutations sur des végétaux, des cellules, mais rien n’a jamais été aussi loin que le dossier que j’ai sous les yeux ! - Mais le principe de précaution veut... - Non ! Laissez ça ! Si vous saviez l’argent que l’on a perdu avec ce fameux principe ! Toutes les sommités internationales dans le domaine de la génétique que nous avons contacté sont formelles. Impossible dans l’état actuel de nos connaissances... Peut être dans 100 ans, ou plus ! Alors ! Où est le risque ? - C’est que cet exposé semble fort bien documenté, se défendit le préfet. - Allons, allons ! Vous plaisantez ! C’est de la science fiction, oui ! Une mauvaise série Z ! Comment voulez vous provoquer une mutation sur 500 000 personnes ! - C’est pourtant ce que les « terroristes » affirment ! - Oui ! Et demain, je vous invite à déjeuner sur la lune ! - Monsieur ! - Il n’y a pas de Monsieur qui tienne ! Il nous reste deux heures pour prendre une décision. Je vote contre satisfaire les exigences de ces pseudos terroristes ! Point. Barre ! - Comme vous voudrez, monsieur, nous allons passer au vote, dans ce cas. Dix voix contre, deux voix pour. Tout était dit ! le représentant du gouvernement se leva. - Bon, messieurs, puisque tout est réglé, je dois être à Paris ce soir ! J’ai un meeting ! Voilà comment se termina la réunion qui engagea le gouvernement dans une des plus grandes décisions jamais prises dans l’histoire.


Exécution de la menace - J[modifier]

A 9 heures précise, un avion de tourisme décolla de l’aéroport de Valence, Drôme. Il y avait à son bord quatre hommes et trois valises de matériel. A 10 heures, la première capsule fut diffusée dans l’atmosphère. Pendant l’heure qui suivit, quarante capsules identiques furent dispersées. L’un des hommes commenta. - Je ne croyais pas que le patron allait aller jusqu’au bout ! - On voit que tu le connais mal ! Il a perdu et il n’aime pas perdre ! - Oui, mais c’est gratuit ! Des milliers de personnes vont en subir les conséquences et il n’y a pas un sou à y gagner ! - Il ne m’appartient pas de discuter les décisions du patron. Et toi non plus, d’ailleurs. Est-ce que je me fais bien comprendre ? Tu es payé, c’est le principal, non ? - Ok ! Ce que j’en disais... - Justement, tu ne dis plus rien ! A partir de maintenant, je ne veux plus entendre un mot sur le sujet. Il ne s’est rien passé, vous entendez ! A 11 heures 15, l’avion se posait à Rouen. L’homme bavard ne rentra jamais à Paris. Pour une raison inexpliquée, sa voiture avait quitté la route. Il était mort sur le coup. Deux autres hommes étaient morts le même jour, mitraillés à l’entrée d’un grand restaurant parisien. Fichés au grand banditisme, il n’y eut pas de réelle enquête. Le dernier homme se jeta par la fenêtre de son luxueux appartement. Juste avant ce geste fatal, il avait eut le temps de poster une disquette décrivant toutes les phases de l’opération. Son appartement fut fouillé de fond en comble, mais on ne retrouva jamais la disquette. Le « patron » offrit un million d’euros à qui remettrait la main dessus. Le pilote de l’appareil se tua bêtement le lendemain, lors d’une démonstration. La disquette, elle, n’était pas perdue pour tout le monde... Elle atterrit 3 jours plus tard sur le bureau du chef de cabinet du ministre de la santé La poste, c’est plus ce que c’était !). Etant un homme scrupuleux (et oui, il en existe encore) Il la transmit au CNRS, au département génétique humaine. Bien que n’étant pas féru de sciences, notre chef de cabinet savait lire et comme le mot génétique était inscrit presque à chaque page du document... Le professeur Riau, chef de service du département « génétique humaine » n’en croyait pas ses yeux ! Il avait d’abord cru à un canular... C’était pire que ça ! Sa peau se décolorait à chaque ligne. Et sa fille était en vacances près de Roman, dans la Drôme ! Il convoqua tout le service pour le lendemain matin et intima au ministre de la santé d’être présent. La situation l’exigeait.

J’aime mes pieds nus – J+4 – lundi 28 avril.[modifier]

J’ai toujours aimé les pieds nus, enfin, je ne me rappelle pas d’une période de me vie ou ils n’aient été présents. A mon âge, pas facile de fantasmer sur les pieds des autres, alors, tout naturellement, je ne suis beaucoup rapproché des miens. Mais pas de manière exclusive et fermée, non, bien au contraire ! Bien que m’occupant de des miens, ça ne m’empêche nullement d’admirer ceux des autres et bien entendu, de transposer sur les miens ensuite. Donc, si vous me suivez, quand je lèche mes pieds nus, ce n’est pas toujours vraiment les miens que je lèche... (Déjà largué(e) ? Attention, ça ne fait que commencer !). Alors, comme j’ai beaucoup (trop) d’imagination, je ne peux pas me contenter de prendre du plaisir avec mes pieds sans mettre en scène un véritable scénario, avec un début, un milieu, et pas toujours de fin, d’ailleurs. Une histoire qui se termine, c’est un peu le rêve qui s’éteint, non ? Bon, ben assez de parlottes et passons au plat de résistance ! (Tu as tout suivi ?) J’ai presque chaud. Je n’aurais pas du mettre cette foutue veste, mais ma mère a tellement insisté. Il paraît qu’il fait froid, le matin. Et bien moi, je te le dis tout net, après 12 kilomètres en vélo (et ça monte pour y aller), tu n’as jamais froid ! il fait drôlement bon pour un début avril. J’espère que ça va durer. Je n’aime pas l’hiver. Je suis en avance. Je vais pouvoir parler avec mes copains ! Je suis externe parce que je n’habite pas très loin. Il y a beaucoup de pensionnaires à XXXX. XXXX, c’est mon école ! C’est une école de garçon, que des garçons ! L’école des filles, c’est quelques kilomètres plus loin, en suivant la même route. Je range mon vélo et je descends dans la cours. Tout de suite, Guillaume. J’aime bien Guillaume. Disons que j’ai une nette préférence. Il a du arriver de chez lui hier soir ! Il ne rentre pas toutes les semaines et il n’est arrivé de l’inviter à passer le week-end à la maison. Il n’a d’ailleurs invité une fois chez lui... mais c’est une autre histoire... Pour l’instant, il semble préoccupé. - Salut, Jean-Luc ! - Ça va, Guillaume ? - Oui ! Sauf que j’ai mal aux pieds ! - Qu’est ce qui t’arrive ? - Ça ne fait pas vraiment mal, mais ça me gêne beaucoup. J’ai l’impression d’avoir du poil à gratter dans les chaussures ! - C’est peut-être le cas, dis-je en rigolant. - Penses-tu ! Ça fait trois fois que je regarde ! - Tu n’as qu’à faire comme moi et mettre des sandales ! - Je n’aime pas trop, mais si ça continue, je vais être obligé ! Sur ce, il s’assoit sur le muret, enlève une chaussure, puis la chaussette. Son pied nu est rouge et un peu enflé. Pris d’une inspiration, je lance. - Ta mère n’aurait pas changé de lessive, des fois ? - Ben, c’est idiot ! Il n’y a que les pieds qui me gênent ! - Vouai, tu as raison... - C’est que je commence à plus rire. Je vais aller voir à l’infirmerie tout à l’heure... La cours commence à se remplir et la cloche ne va pas tarder à sonner. Je pers Guillaume de vue un moment. Je me tâte pour une partie d’osselet, mais finalement, je renonce. J’ai toujours été mauvais à ce genre de jeux et il n’y a aucune raison pour que ça s’arrange en ce lundi matin. La cloche sonne. Dans le rang, je me trouve à côté de Guillaume. - Tu es allé à l’infirmerie ? - Nan ! - Tu n’as plus mal aux pieds ? - Nan ! J’ai enlevé mes chaussettes. Ça va beaucoup mieux. - Mais tu devrais y aller quand même, ce n’est pas normal ! - Laisse ! Ça va ! Mêle-toi de ce qui te regarde ! J’étais presque vexé ! Ça ne lui ressemblait pas de m’envoyer sur les roses de cette façon. Il se reprit immédiatement. - Excuse-moi ! Mais je ne peux pas tout te dire… pas maintenant ! je ne sais pas si je peux le dire un jour à quelqu’un… Mes propres pieds nus avaient commencé à me faire quelques soucis un peu avant la récré. Des démangeaisons. Sur le dessus des pieds, d’abord, puis sous la plante. Là, beaucoup plus dur à gratter discrètement. Je m’y employais pendant la récréation sous le regard presque amusé de Guillaume. En plaisantant, je lui lançais. - Tu as du me refiler tes puces, ma parole ! - Peut-être... on verra si ça te fait le même effet ! - Quel effet ? - Rien ! Tu verras bien ! Dans l’après midi, mes pieds me faisaient presque souffrir. Je me promis de ne pas mettre de chaussettes ! D’habitude, j’attendais le mois de mai pour être nus pieds dans mes sandales, mais là, c’était vraiment désagréable. Visiblement, je n’étais pas le seul à avoir des problèmes. En plus de Guillaume, Jean-Marc, Guy et Franck n’arrêtaient pas de se trémousser sur leur chaise. Jean-Marc avait enlevé une chaussette et grattait son pied nu avec force. A la pause de l’après midi, nous en avions parlé. Guillaume était toujours sur la défensive. Assurément, il savait une chose que nous ne savions pas. J’essayais de le pousser dans ses derniers retranchements, mais doucement. Je me souvenais trop de ce qui s’était passé le matin. - Mais, ça te gratte depuis quand ? - Ça a commencé un peu vendredi soir... Mais comme je suis resté pieds nus pratiquement tout le week-end, je ne m’en suis vraiment aperçut qu’en rentrant ici dimanche soir. - Tes parents ne disent rien quand tu marches pieds nus, intervint Jean-Michel. Moi, c’est la guerre à chaque fois. Et « ne marche pas pieds nus » par ci, et « va mettre tes chaussons » par là ! Ça n’en fini pas ! - C’est un peu pareil pour moi, appuya Guy. Et c’est dangereux, et c’est sales, il y a toujours une excellente raison ! - Et, pieds nus, on ne sent plus rien, demandais-je - Non, ça disparaît au bout de quelques minutes, mais... - Mais ? - Non, rien ! C’était foutu ! Il s’était fermé comme une huître. Je n’obtiendrais plus rien aujourd’hui. La dernière heure de cours fut un véritable calvaire. Et pas seulement pour moi ! Le plus touché restait sûrement Guillaume. Il transpirait à grosses gouttes et son visage était blanc comme un linge, comme s’il allait tomber dans les pommes d’une minute à l’autre. Quand la cloche sonna la fin des cours, je ne demandais pas mon reste. Je ne m’occupais de personne et filait directement au garage à vélo. Dès que je fus hors de vue de l’école, je me débarrassais avec plaisir des sandales des surtout des chaussettes dans la sacoche. Guillaume avait raison. Toutes traces de démangeaisons disparurent en quelques minutes. En pédalant, j’aimais sentir le vent sur mes pieds nus. Toute la vallée à descendre. J’avais remis mes sandales, sans les chaussettes, juste avant d’arriver à la maison. Une fois dans ma chambre, les sandales avaient atterri sous la commode. Presque pas de devoir ! je m’y attelais tout de suite. J’avais horreur des tables de multiplication ! A bout d’un moment, je m’étais aperçu que je frottais mes pieds nus l’un contre l’autre avec plaisir. Ça m’excitait. Je sentais mon sexe gonfler. C’était nouveau ! Mais délicieux. Les tables de multiplication terminées, j’avais comme d’habitude coupée l’herbe pour les lapins. Une corvée, mais je n’avais pas, pour une fois, attendu qu’on me le demande, ce qui m’avait permis d’y aller pieds nus. Ce n’était pas la première fois que je marchais pieds nus dans l’herbe, mais je n’y avais jamais pris autant de plaisir. Pour un peu, j’aurais coupé deux fois trop d’herbe. Après, le repas, passage par la salle de bain ! Ma mère avait remarqué que la plante de mes pieds était sale ! Seul dans ma chambre, je frottais mes pieds nus l’un contre l’autre, cette fois volontairement. Comme un peu plus tôt dans la soirée, l’effet ne s’était pas fait attendre. J’enlevais le pantalon de pyjama pour le laisser s’exprimer librement. Comment frotter mes pieds nus pouvait-il produire cet effet ? Et surtout, comme ne m’en étais-je jamais aperçu ? Comme souvent le soir, j’avais envie d’avoir du plaisir. J’avais découvert ça quelques mois plus tôt et je ne m’en lassais pas. Je prenais mon sexe entre le pouce et deux doigts et en quelques mouvements, le plaisir envahissait mon ventre. La première fois, j’avais même crié ! Je ne regrettais qu’une chose ! C’était que ça ne dure pas plus longtemps. Alors, je continuais les mouvements et parfois, pas toujours, le plaisir venait une nouvelle fois, presque immédiatement. Parfois même deux ou trois fois. La technique de Guillaume était différente. Nous avions échangé notre expérience sur ce sujet. C’est pour cette raison que je ne comprenais pas très bien sa réserve de ce matin. Lui, il emprisonnait son sexe entre ses deux mains, à plats, et frottait ses mains l’une contre l’autre, comme pour se réchauffer. J’avais essayé, mais j’étais très vite revenu à ma méthode. Par contre, Guillaume avait adopté la mienne. Ce soir, j’étais un peu désorienté. Rien ne se passait comme d’habitude. Si je continuais, j’étais persuadé que le plaisir viendrait seulement en frottant mes pieds ! Pour être plus à l’aise, je me débarrassais de la veste du pyjama. Je posais un de mes pieds sur une cuisse et me mit à la caresser, d’abord doucement, puis un peu plus fort, en frottant la plante avec mes ongles. Mon sexe se tendit et se mit à palpiter, comme quand le plaisir ne va pas tarder à arriver. Il ne manquait plus grand chose ! Je trouvais la réponse avant même d’avoir fini de poser la question ! Je me penchais et me mit à mordiller le talon et la cambrure de mon pied. Le plaisir vint presque immédiatement. Je sentais le liquide qui sortait de mon sexe dans ces moments là couler sur ma cuisse. C’était bon ! Je mordillais et léchais mon pied de plus en plus vite. Pour une fois, le plaisir ne semblait pas vouloir s’arrêter ! Bien sûr, je ne comptais pas, mais il me semblait que j’avais dépassé largement le temps de plusieurs plaisirs. Je dus lécher mon pied pendant un quart d’heure, ce soir-là. J’étais épuisé ! Je n’entendis pas immédiatement les coups frappés à la porte. Dans un état second, je renfilais le pyjama et ouvrit la porte. Ma mère se tenait sur le seuil. - Je t’ai déjà dis 100 fois de ne pas t’enfermer ! Téléphone. C’est Guillaume. Tu devais lui dire que ce n’est pas une heure pour téléphoner ! Je prenais le combiné, presque inquiet. - Oui ? - Excuse-moi, mais peux-tu me rendre un service ? - Je t’écoute. - As-tu une paire de sandales à me prêter ? - Ben oui, je pense. - Tu peux l’apporter demain matin ? - Oui, sans problème ! Qu’est ce qui t’arrive ? - Rien ! Enfin, je t’expliquerai demain matin ! - A demain, alors ! Ma mère demanda. - Qu’est ce qu’il voulait ? - Rien ! Enfin, une question sur les tables de multiplication ! - N’empêche que ce n’est pas une heure pour téléphoner ! De retour dans ma chambre, je verrouillais la porte, malgré les recommandations précédentes. Je préparais la paire de sandales pour Guillaume, ôtait le pyjama et m’allongeais sur le lit. D’où venait cette envie d’être nu ? Je tentais de faire le point sur cette soirée. Au bout de quelques minutes, je dus m’avancer pour que les talons de mes pieds ne touchent pas la couverture. Je sentais les démangeaisons revenir. J’avais quand même compris une chose. Le fait que Guillaume n’ait envoyer sur les roses le matin ! Quelques heures plus tôt, je l’aurais pris pour un fou ! Le seul fait de regarder mes pieds nus ranima mon sexe. Sans me poser de question, je me saisis d’un pied et me remis à le lécher. Le plaisir vint encore plus rapidement et, dans une position plus confortable que la première fois, je pus le faire durer beaucoup plus longtemps. Je ne savais pas ce que nous avions, mais moi non plus je n’irais pas à l’infirmerie demain matin...

Nous aimons nos pieds nus – J+5[modifier]

J’arrivais à l’école avec une bonne demi-heure d’avance. Pas de Guillaume dans la cours ! Il devait être encore au dortoir. Malgré l’interdiction faite aux externes de monter dans les dortoirs, je grimpais les marches quatre à quatre. Guillaume était assis sur son lit. Je sortais les sandales de mon sac et lui tendis. - Merci, Jean-Luc ! Tu es mon sauveur. - Je ne suis pas sûr de tout comprendre... Mais j’ai compris ce que tu ne voulais pas dire hier ! - Ha ! Dit-il en souriant à pleines dents. Tu as... - Léché... - Tes... - Pieds nus ! - Alors tu comprends pourquoi je ne voulais rien dire ! - Tout à fait ! Mais pourquoi les sandales ? - Je ne peux plus supporter mes chaussures et cette nuit, j’ai du dormir les pieds en dehors du lit ! Alors, c’était comment ? - Délicieux ! Je l’ai fait avant de venir aussi ! - Moi aussi, mais ici, c’est la galère ! - Ça va les sandales, - Oui, elles sont un peu grandes, mais il vaut mieux ça que le contraire... mais ça me gêne encore ! - Moi, je n’ai même pas essayé de mettre de chaussettes aujourd’hui. - Tant mieux ! Ce serait dommage de cacher des pieds aussi mignons ! - Tu es sérieux, là, Guillaume ? - Comment ? Ne me dit pas que tu ne t’intéresses pas aux miens ! Je rougis jusqu’aux oreilles. J’aurais eu du mal à affirmer le contraire. Je ne faisais que ça depuis que j’étais entré dans le dortoir. Je m’étais même demandé si ça produirait le même effet si je léchais les siens plutôt que les miens ? Ils étaient si beaux ! - Je... C’est vrai... - On ressent les mêmes choses ! Inutile de faire des cachotteries, maintenant, non ? On se dit tout ? - D’accord, on se dit tout. - Alors, je commence ! J’aime tes pieds nus... et j’ai très envie de les lécher... - Ici ? Maintenant ? - Non, bien sur ! Mais tu pourrais t’arranger pour... m’inviter ce week-end... - C’est un grand week-end, tu sais, il commence jeudi ! Mais je vais demander à mes parents. - J’ai hâte d’être à jeudi... Mercredi soir, même ! - Puisqu’on se dit tout, j’ai très envie des tiens également... - Je sais, et tu as du mal à le cacher ! - Ça se voit autant que ça ? - Tu ne les quittes pas des yeux et regarde ton pantalon, termina-t-il en riant franchement. Je regardais le dit pantalon. En effet, une bosse très voyante le déformait et il y avait même une petite tache d’humidité. - Allez ! Dit-il et passant une main hésitante sur la dite bosse. Réserve-toi pour le week-end. On dirait que tu vas te mettre à jouir seulement qu’en les regardant ! - Jouir ? - Avoir du plaisir ! - Ha ! OK ! - Ne t’inquiète pas ! Je suis comme toi, mais le pantalon est plus épais et ça se voit moins, dit-il en riant et en mettant en évidence la grosseur qui déformait son propre pantalon. On descend, il va être l’heure ! A midi, mon sexe me faisait mal. Guillaume était assis juste devant moi et je n’avais pas cessé de regarder ses pieds. Quand je tournais la tête, c’était ceux de Jean-Marc qui entraient dans mon champ de vision. Un vrai calvaire ! La maîtresse m’avait rappelé à l’ordre plus de deux fois ! Rien à faire, je ne pouvais pas regarder ailleurs ! Je commençais à m’inquiéter un peu. A la cantine, c’était aussi insipide de d’habitude. De toute façon, je n’avais pas très faim. Jean-Marc s’était lancé. Il avait lui aussi léché ses pieds nus. Il faut dire que Guillaume l’avait un peu aidé. Jean-Marc était assis en face de lui et il avait carrément posé un de ses pieds, débarrassé de la sandale, sur ses genoux. Jean-Marc n’avait pas pu cacher son trouble. Il avait renversé son verre, puis mon verre en voulant éponger. Guillaume s’était amusé un moment. - Alors, Jean-Marc, qu’est ce qui t’arrive ? - Tu le sais très bien, avait-il répondu, hargneux. - C’est mon pied qui produit cet effet ? - ... - Pourquoi le cacher ? Nous sentons tous la même chose, n’est ce pas ? Je suis sûr que Guy, Jean-Michel et même Franck, les deux, sont d’accord avec moi ! Il avait bien calculé son coup. A la table, il n’y avait tous les garçons qui semblaient avoir le plus de problème pour supporter les chaussures. Je l’avais déjà remarqué en classe. Guy enlevait ses sandales systématiquement dès qu’il s’asseyait. Les deux « Franck » passaient leur temps à les mettre et à les enlever et Jean-Michel, qui était seul à un bureau, repliait les jambes et posait ses pieds nus sur la place libre. Il passait son temps à les tripoter. Franck, le brun, tomba dans le panneau immédiatement. Mais ça aussi, je pense que Guillaume l’avait prévu. Il n’avait aucune finesse et parlait bien souvent sans réfléchir. - Quoi ? Vous aussi, vous lécher vos pieds nus ? C’était sorti d’un coup, spontané et direct. Comme d’habitude, il avait réalisé après. Il était devenu rouge et avait plongé le regard vers son assiette vide. Guillaume avait laissé le silence faire son œuvre quelques secondes, puis avait répondu. - Bien sur, Franck ! N’est ce pas Jean-Luc ? Celle-là, je ne l’avais pas vu arriver ! Je ne répondis pas, mais j’acquiesçais de la tête de manière affirmative et évidente. Il poursuivit son tour de table, après s’être assuré d’un regard que le surveillant était trop loin pour entendre. - Et toi, Jean-Michel, tu le fais aussi, n’est ce pas ? - Bien sûr, c’est normal, non ? Là, il s’était fait avoir, Guillaume ! Jean-Michel l’avait gentiment contré. Jean-Michel savait toujours dans quel sens soufflait le vent. Mais finalement, ça n’avait aucune importance car il allait dans son sens. Après ces trois aveux, les autres acquiescèrent sans réticences. L’atmosphère autour de la table se détendit franchement. Jean-Michel mit même un de ses pieds nus sur un de ses cuisses et le caressa sans se cacher. Ses pieds étaient très petits, tout comme sa taille. Il avait un visage volontaire, le menton carré et les cheveux taillé en brosse courte brune. Ses orteils étaient très courts ce qui faisait ressortir l’amplitude de la cambrure. Les pieds de Jean-Marc étaient d’une pâleur impressionnante. Blanc ! Mais ses plantes étaient d’une couleur orange soutenue, presque safran. C’était très agréable à regarder. Il était plus grand que Jean-Michel, mais pas tellement. C’était les pieds de Franck, le brun, qui surprenaient le plus. Il n’avait rien de vraiment extraordinaire, sauf cette cambrure vertigineuse. Le milieu des pieds de Franck ne touchait jamais le sol tellement la cambrure était profonde. Il avait à peu près la taille de Jean-Michel, mais en plus sec et nerveux. Franck était toujours en mouvement. Il était incapable de rester 2 minutes sans bouger. Son visage était gracieux, mais perpétuellement crispé, soucieux. L’autre Franck, le blond, avait une allure très aristocratique. Il était sensiblement plus grand que la moyenne. Ses yeux étaient d’un bleu presque transparent ce qui lui donnait un curieux regard. Des petites veines bleues courraient sur ses tempes. On retrouvait les mêmes petites veines sur ses pieds nus, pas aussi blancs que ceux de Jean-Marc, mais pas loin. Il était très calme et ne disait jamais un mot plus haut que l’autre. Guy était un peu enveloppé. Pas gros ! Ses pieds étaient bien dessinés, mais un peu enveloppés, eux aussi. Cette allure, un peu pataude, était sauvée par un remarquable bronzage, même sur les pieds. Guy ne se coiffait jamais. Ses cheveux, châtain clair, se plaçaient tout seul et il n’y pouvait rien. Une mèche rebelle, juste au-dessus du front le faisait ressembler à Tintin. Rien ne pouvait rivaliser avec les pieds nus de Guillaume. Ils étaient parfaits. La plante jaune-foncé, une cambrure délicate, des orteils réguliers et fins, en faisait un délicieux ensemble que je ne me lassais pas d’admirer. Il était un peu plus petit que moi. Il avait d’épais cheveux blonds dorés et un bronzage qui n’avait pas grand chose à envier à celui de Guy. Les miens de pieds ? Et bien, j’ai quelques scrupules à en parler, car je risque de manquer d’impartialité. Je les adore et je les trouve très beaux... Mais ce sont les miens, n’est ce pas ? Quoi que, la manière dont les autres les regardent me laisse penser qu’ils ne sont pas si mal que ça ! En fait, Guillaume avait atteint son but ! De deux dans la confidence, nous étions maintenant sept ! Il donna le signal de la sortie. Nous avons reporté notre plateau à la cuisine. Guillaume se paya le luxe d’y aller pieds nus. Il ne remit ses sandales que quand il repassa devant la table, en sortant. Le surveillant avait quand même tiqué. Il avait haussé les sourcils et je m’attendais à ce qu’il épingle Guillaume, mais il se contenta de hocher la tête d’un air compatissant... Compatissant ? Sitôt sorti du réfectoire, Guillaume se dirigea vers le coin le plus reculé de la cours, derrière le terrain de volley, juste avant la forêt. Là, nous serions tranquilles, même si le surveillant n’aimait pas trop nous voir dans ce coin. Il n’y avait pas de barrière, et rien ne nous empêchait de nous enfoncer dans la forêt. Guillaume avait fait sauter ses sandales d’un geste rageur et s’était assit en tailleur, pour immédiatement rectifier la position. Le contact avec son pantalon lui avait arraché une grimace. - Demain, je vais comme Jean-Michel ! Je mets un short ! Tout le monde s’était assis en arc de cercle autour de lui. Tout le monde avait également ôté ses sandales. Jean-Marc, avec quelques réticences, mais il avait fini par se laisser tenter. Il crut bon de s’en expliquer. - C’est que quand j’étais petit, j’ai marché une grosse épine et on a dû m’opérer pour l’enlever, alors, depuis, je fais très attention. Je n’avais jamais reposé mes pieds nus sur le sol depuis ! - Je crois qu’il va falloir t’habituer, déclara Jean-Michel. - Comment ça ? demanda Jean-Marc - Regarde les pieds de Guillaume. Les lanières font des traces comme faisait mes chaussettes il y a deux jours... ça veut dire qu’il a du mal à supporter les sandales, n’est ce pas Guillaume ? - Oui, c’est vrai... C’est de plus en plus difficile. Je ne sais jamais quand je les enlève si je vais pouvoir les remettre ? - Qu’est ce qui nous arrive ? Demanda Franck R, le blond, d’une voix douce, toujours aussi calme. Guillaume haussa les épaules. Je l’imitais involontairement. Franck P, le brun, crispa un peu plus le visage. Sa jambe n’arrêtait pas de bouger. Les autres regardaient leurs pieds nus posés devant eux, dans la poussière. Franck R reprit. - Jean-Marc ! Ton père est médecin, n’est ce pas ? C’est ce qu’il en pense ? - C’est que je ne l’ai pas beaucoup vu... Il est très occupé. Pour être franc, je ne tiens pas tellement à ce qu’il s’en rende compte... - Il va pourtant falloir qu’on se décide à en parler, non ? Bientôt, Guillaume ne pourra plus supporter les sandales... Il faudra qu’il s’explique ! Et si nous suivant le même schéma, ce qui semble être le cas, notre tour à tous ne tardera pas à arriver ! Franck P, toujours incapable de maîtriser ses émotions, lança. - Pourquoi, tu as envie qu’on empêche de lécher tes pieds nus ? Il se rendit compte, qu’encore une fois il avait peut-être parler un peu vite, mais fataliste, il haussa les épaules. C’est Jean-Marc qui lui vint en aide. - Finalement, je crois que Franck vient de dire tout haut, ce que tout le monde pense tout bas... - C’est vrai ! S’exclama Jean-Michel. Je n’avais jamais rien senti de plus merveilleux ! - Tu ne t’étais jamais masturbé ? S’étonna Guillaume ? - M’étais quoi ? - Ok, d’accord ! Tu n’avais jamais connu de plaisir proche de celui que tu sens en te léchant les pieds ? - Ben, non ! - Tu le fais depuis quand ? - Depuis hier soir... - C’est tous neuf ! Moi depuis vendredi ! - Peu importe, s’écria Franck R. j’avais peur d’être le seul, mais puisque nous sommes si nombreux, ça ne change rien au problème, mais ça semble moins grave... Et puis, regardez dans la cours... Nous ne sommes que le 15 avril, et plus de la moitié des garçons sont déjà en sandales ou pieds nus dans leurs chaussures ! Parler de nos pieds nus de cette façon m’excitait terriblement. Machinalement, je cessais de caresser mon pied pour poser la main sur le pied de Guillaume et le presser gentiment. Guillaume ne fit pas un mouvement pour se dégager, au contraire. Il posa une main sur la mienne comme pour m’empêcher de l’enlever. Les yeux de Jean-Marc s’agrandirent. Doublement surprit, le Jean-Marc ! Il n’en revenait pas que j’ose poser la main sur le pied de Guillaume et que celui ci approuve et il était paralysé par le pied nu de Jean-Michel qui venait de se coller au sien. Franck R allait porter son pied nu à sa bouche quand la cloche se mit à sonner. Il était temps, car autrement, je ne sais pas ce qui aurait pu se passer. Nous étions tous tellement excité. Le tissu du short de Jean-Michel menaçait de se rompre et des traces d’humidité étaient réapparues sur mon pantalon. Ma mère m’attendait devant la porte ce soir là. - C’est ce que tu as encore fait ! Nous sommes convoqués chez le directeur demain après midi ! - Ben rien ! je te jure ! Discrètement, je téléphonais à Guillaume. Il ne voyait pas ce que je voulais dire, mais il allait téléphoner à ses parents et me rappellerait. Je restais près tu téléphone en réduisant la sonnerie au minimum. Il rappela 10 minutes plus tard. - Pas de problème ! Ils sont convoqués aussi, et d’après ce que j’ai compris, tous les parents sont convoqués demain ! Je raccrochais, rassuré. Mais devais-je être vraiment rassuré ? Etait ce vraiment rassurant que tous les parents soient convoqués ?

Ils aiment leurs pieds nus – J+6[modifier]

Il avait plu dans la nuit et le sol était encore mouillé ce matin-là, mais Guillaume ne portait plus mes sandales. Avant que je pose la moindre question, il s’expliqua. - Pas pu les mettre ce matin ! Impossible ! - Merde ! Comment vas-tu faire ? - Je ne sais pas... on verra bien ! Nous étions entrés en classe et la maîtresse ne pouvait pas ne pas avoir remarqué les pieds nus de Guillaume. Elle avait soupiré, mais n’avait pas dit un mot. J’étais de plus en plus intrigué ! Déjà hier, au réfectoire, l’attitude du surveillant m’avait surprise. Lui qui ne manquait jamais une occasion... Guillaume s’était retourné vers moi et avait fait un mimique signifiant. « Et ben, tu vois ! Tout se passe bien ! » Suivi d’un geste très explicite « Qu’est ce que tu attends pour enlever les tiennes ? » Il avait fallu qu’un des autres la ramène. Un de ceux, de plus en plus rares, qui portaient encore chaussettes et chaussures. - Dites, madame, pourquoi Guillaume se balade pieds nus dans la classe ? La maîtresse ne répondit pas immédiatement, visiblement très embarrassée. Elle s’en tira finalement par une piètre pirouette. - Il n’y a aucun règlement qui interdit d’être pieds nus en classe, Gérard ! - Ha bon ! Alors, je peux enlever mes chaussures, moi aussi ? Elle réfléchit un instant et répondit. - Si tu veux ! S’il n’y a que ça pour te faire plaisir ! Le « Gérard » s’était rassit en bougonnant, mais c’était bien garder d’enlever ses chaussures. Il avait fait le geste de se boucher les narines, comme si l’odeur des pieds de Guillaume l’indisposait. Vraiment con ! Des deux, il n’était pas difficile de savoir lequel des deux sentait des pieds. Celui qui les laissait à l’air ou celui qui les enfermait dans des chaussures ? A votre avis ? A la cantine, notre table était pleine ! Le fait que Guillaume soit pieds nus attirait les autres. Guillaume, qui commençait à sérieusement s’amuser de la situation, avait opéré une sélection. Il demandait systématiquement à l’arrivant s’il léchait ses pieds nus, comme ça, directement, sans prendre de gants ! N’obtenant que des réponses positives, la table due refuser bientôt du monde. Les éconduits ne s’étaient pas laissés contrarier. Ils avaient déplacé une table pour la mettre au bout de la notre. Une fois encore, le surveillant, qui en temps normal, aurait piqué une vraie colère, n’intervint pas. Les mêmes mots revenaient dans toutes les conversations. « Pieds nus. » Chaque garçon voulait tout savoir des impressions de l’autre. Et combien de fois il léchait ses pieds nus, depuis combien de temps, quand avait-il enlevé ses chaussettes, Comment trouvait-il ses propres pieds nus, et les seins... il les aimait ? Le dessous de la table était une véritable farandole de pieds nus. Beaucoup de garçon appuyait leurs propos de gestes très éloquents, comme des caresses non équivoque sur les pieds du voisin ou du garçon d’en face. C’était complètement irréel ! De sept, nous étions maintenant dix-neuf autour de la table. Sous les tables des autres classes, je remarquais également beaucoup de pieds débarrassés provisoirement de leurs chaussures. Nous avions plus ou moins l’intention de terminer le repas de façon aussi intime que la veille, mais la présence dans la cours des parents qui arrivait pour assister à la réunion nous en dissuada. Vu la tournure qu’avait failli prendre la rencontre, ce n’était pas prudent ! J’étais quand même un peu préoccupé. Comment mes parents allaient–il prendre le fait que Guillaume soit pieds nus ? et puis, l’attitude étonnante du surveillant à la cantine... Il n’avait pas pu ne pas entendre nos conversations ! Et l’attitude de la maîtresse pour les pieds nus de Guillaume. Ça commençait à faire beaucoup ! Je m’en ouvris à Guillaume. Il répondit, fataliste. - Ecoute, depuis ce matin, j’ai décidé de ne plus me poser de question ! Je prends les choses comme elles viennent ! Sauf que si nous ne pouvons pas passer le week-end ensemble, j’en serais très contrarié... Il se mit à caresser un des mes pieds nus avec ses orteils. - Et toi aussi, je pense, non ? - Tu sais bien que je n’attends que ça ! Je l’avais presque crié. Je repris, plus bas. - Mais tu n’as pas peur que puisque tes parents sont là pour la réunion, ils te demandent de repartir avec eux ? - Aucun risque ! Ils sont pris tous les deux tout le week-end ! C’est, ou je rentre avec toi ou je reste ici ! La réunion avait fini tard. La sortie en était spectaculaire. D’ordinaire, les parents parlaient fort et plaisantaient, riaient... là, rien ! Mais rien de chez rien ! ils avaient tous des mines lugubres. Juste quelques poignées de mains timides. Je crus même voir certaines personnes sortir un mouchoir. Ça réussit même à entamer la confiance de Guillaume. Il alla dire au revoir à ses parents et revint un peu rassuré. - Apparemment, il n’y a rien de changer. Je ne répondis pas, car les miens avançaient vers moi. Aucune allusion à la réunion, rien. Directement. - On prend Guillaume dans la voiture ! Toi, naturellement, tu rentres en vélo. Ouf ! Pour un peu, j’aurais sauté de joie ! Alors que la voiture disparaissait, j’enfourchais mon vélo, après m’être débarrassé de mes sandales, naturellement. J’arrivais à la maison peu de temps après eux. J’avais battu des records ! Mes parents s’excusèrent auprès de Guillaume, car il avait un cousin à la maison et nous allions devoir partager la même chambre. Guillaume pris un air faussement désinvolte pour affirmer que ça n’avait aucune importance. Aucune réflexion sur les pieds nus de Guillaume, ni sur les miens, puisque j’avais laissé mes sandales dans la sacoche du vélo. De plus en plus curieux. Nous nous étions tenus tranquille jusqu’au moment d’aller nous coucher. Le temps n’avait paru interminable. Sitôt dans la chambre, j’avais fermé la porte à double tour. Puisque Guillaume était avec moi, j’étais certain que personne ne viendrait nous déranger, mais c’était une précaution. Fébrile, j’avais ôté mon pyjama et m’étais étendu sur le lit, les jambes pendantes. Non moins fébrile, Guillaume s’était dévêtu entièrement et fixait les yeux sur mes pieds nus. Il ne fit qu’un seul commentaire. - Ça fait 6 jours que j’attends ce moment... Il s’était avancé lentement. Son sexe était tendu et une goutte de liquide perlait à son extrémité. Le mien palpitait régulièrement sur mon ventre. Il s’assit en tailleur au bout du lit, le visage à hauteur de mes pieds nus. Il attrapa mes chevilles et plaqua mes pieds nus sur son visage et je sentis sa langue s’insinuer entre mes orteils. Mon sexe se mit à battre plus fort et je sentis le plaisir naître dans mon ventre. Quelques coups de langues plus tard, j’étais au bord du plaisir et je devais serrer les dents pour ne pas crier. Soudain, j’entendis les gémissements caractéristiques que produisait Guillaume et cela eut raison de ce qui me restait de lucidité. Une monstrueuse et délicieuse vague de plaisir déchira mon ventre et se répandit en atroces et savoureuses ondes qui me remontèrent jusque dans la gorge, me coupant le souffle et m’empêchant d’émettre le moindre son. Mon corps se tendit et ma tête décolla du lit. Le plaisir était si fort que je crus un instant que j’allais tomber dans les pommes. Je sentais le liquide chaud couler entre mes cuisses et sur mon ventre. C’était horriblement bon ! A la langue de Guillaume qui s’activait toujours frénétiquement, se joignaient maintenant ses dents, comme s’il avait voulu dévorer mes pieds. J’adorais ça ! Je passais machinalement mes paumes sur mes seins. Les pointes étaient dures et curieusement, j’eus l’impression que ce contact augmentait encore la force du plaisir. Seule ombre au tableau, toutes les parties de mon corps qui étaient en contact avec le drap ou la couverture me démangeaient affreusement. Je ne sais pas combien de temps Guillaume lécha mes pieds nus. Au bout d’un moment, il bascula sur le côté en continuant à gémir en serrant ses bras contre son ventre. Le plaisir décrut lentement et mit longtemps à disparaître totalement. Je fus capable de me relever avant lui. Dès que je vis ses pieds nus, abandonnés sur le plancher, le désir revint, presque aussi violent. Il se redressa péniblement en souriant. - Je n’ai jamais eu un orgasme pareil ! - Un quoi ? Orgasme ? Il se mit à rire franchement. - Excuse-moi, je ne veux pas me moquer de toi, Jean-Luc ! Un orgasme, c’est quand le plaisir explose dans ton ventre... tes pieds sont merveilleux, tu sais ? J’ai eu beaucoup plus de plaisir qu’en léchant les miens ! - Ta langue et tes dents m’ont donné beaucoup de plaisir également... Comme je continuais de fixer ses pieds, il comprit immédiatement. - Mais tu as envie des miens, maintenant, c’est ça ? - J’en ai tellement envie que je crois que je vais te sauter dessus ! J’avais l’air de plaisanter à moitié, mais j’aurais bien voulu me convaincre que je plaisantais ! J’avais réellement beaucoup de mal à me contrôler et à ne pas sauter sur ses pieds ! Il allait s’allonger sur le lit quand je le retins par le bras. - Non, attends ! C’est trop désagréable pour la peau sur le lit ! - Ha ! Toi aussi ? Je m’en étais un peu aperçu au dortoir, quand je léchais mes pieds nus. Je préférais le faire sur le plancher. - Je crois que j’ai mieux ! Beaucoup mieux ! Viens ! Vite ! Je m’approchais de la porte-fenêtre de ma chambre, tournais la clef et ouvrais la porte. Elle donnait sur la colline, derrière la maison. Je n’engageais, entraînant Guillaume. Il faisait frais, mais c’était très supportable. Le contact de l’herbe était agréable sous mes pieds nus. Arrivé au sommet de la colline, j’entraînais Guillaume encore plus loin dans le grand pré. - Voilà, dis-je. Ici, on sera parfaitement à l’aise et tranquille. Nous pouvons même crier si nous voulons, personne ne nous entendra ! - C’est ce qui me gênait un peu tout à l’heure... ne pas être seuls dans la maison. Sans que je lui demande, il s’allongea dans l’herbe et me présenta ses pieds nus. La clarté de la lune était suffisante pour que je puisse en admirer les délicieux contours. Je ne tentais pas de résister au raz de marée qui déferlait en moi. J’en aurais d’ailleurs été parfaitement incapable. Je me saisis des chevilles et plaquais les plantes sur mon visage. Ma langue se mit en action sans même y penser. Je crus que j’allais défaillir sous le déferlement de plaisir qui se répandit dans mon ventre. Je sentais de picotement de plaisir jusque dans la gorge. Je m’affalais dans l’herbe, entraînant les pieds nus de Guillaume en poussant un véritable feulement de plaisir. Je ne sentais plus mon corps, il se diluait dans un océan de jouissance absolue. Je ne sentais plus le plaisir ! J’étais le plaisir ! J’entendais vaguement Guillaume pousser de petits cris. Si nous avions été dans la maison, sûr que mes parents auraient accouru croyant que l’un d’entre nous était malade ! Dans la nature, loin de toute oreille indiscrète, nous pouvions nous laisser aller sans contrainte. J’ai toujours eu beaucoup plus de plaisir si je ne dois pas me préoccuper du monde extérieur ! Je n’ai jamais su comment Guillaume avait réussi à se saisir de mes pieds nus ce jour là. J’avais soudain senti sa langue s’activer entre mes orteils. Je m’étais posé cette question parce que l’exploit n’avait surpris, étant donné notre état. Par la suite, au cours de la nuit et les jours et les nuits qui suivirent, je ne poserais plus jamais cette question. Rien ne peut arrêter un garçon dans sa course aux pieds nus, rien ! Cette nuit là, nous n’avions pas fait beaucoup de pose. Je connaissais par cœur chaque millimètre de la peau de pieds nus de Guillaume. Pas une once de leur surface n’avait échappé à mon examen. Un peu plus tard, un peu calmés, j’avais fait découvrir à Guillaume l’extrême sensibilité de ses seins. Enfin, en fait, je n’étais pas trop sûr de moi, au début. Ce qui était agréable pour moi ne l’était pas forcement pour Guillaume ! Et puis, mis à par les pieds, nous n’avions ni l’un ni l’autre d’attirance spéciale pour les garçons ! C’est nos pieds nus qui nous avaient presque contraint à bousculer cette limite. Il allait peut-être mal le prendre ? Tant pis ! je risquais quand même ! Je compris immédiatement que j’étais dans le vrai et que Guillaume ne trouverait rien à redire à cette nouvelle intimité. Dès que j’avais commencé à faire rouler les pointes de ses seins entre mes doigts, son corps s’était bandé comme un arc, et son sexe s’était dressé. Quelques mouvements plus tard, il poussait un long cri rauque et se tordait de plaisir sous mes doigts. J’étais le premier surpris ! je pensais juste lui montrer que se caresser les seins semblait apporter un certain bien-être. J’étais loin de soupçonner que ça suffirait à le précipiter dans un orgasme de cette violence ! Comme pour les pieds nus, le plaisir dura aussi longtemps que je maintins la pression sur ses seins. Ensuite, je l’installais sur ses cuisses, et sans lui demander son avis, j’agrippais ses poignets et plaquais ses mains sur ma poitrine. Je mis nettement plus longtemps que Guillaume à avoir du plaisir, au point que je crus un moment qu’il ne viendrait jamais ! Mais finalement, Guillaume insista et finalement, la jouissance me submergea, une jouissance un peu différente, mais aussi dévastatrice que si j’avais léché un pied nu. Il y avait peut-être une explication... Guillaume était pieds nus, incapable de supporter les chaussures... Moi, je pouvais encore tolérer les sandales. La sensibilité devait progresser avec la nudité, du moins, je l’espérais, pour moi ! Le jour commençait à poindre dans nous avons réintégré ma chambre. Nous étions épuisés et nous avons dormis à même le plancher jusqu’à onze heures du matin, chose qui surpris beaucoup mes parents, car d’ordinaire, je ne me levais jamais après 9 heures. Après un solide petit déjeuné, mais mère nous ayant préparé des sandwichs, nous sommes partis à travers la campagne. Aucune réflexion sur le fait que je parte pieds nus, comme Guillaume, c’était de plus en plus curieux !. A croire que c’était tout à fait normal ! je prenais toujours plus de plaisir à marcher pieds nus et visiblement, Guillaume se délectait également. Il n’avait fallu que quelques kilomètres pour que l’excitation devienne incontrôlable. Nous-nous sommes déshabillés rapidement et nous avons léché mutuellement nos pieds nus pour la première fois de la journée. C’était loin d’être la dernière. Après cette première séance, Guillaume ne veut pas se rhabiller et nous poursuivons nus. Ce n’est pas très prudent et très risqué, mais Guillaume ne veux rien entendre. A 13 heures, nous mangeons nos sandwichs. En sortant les sandwichs du sac, un petit cahier tombe du sac et Guillaume s’en empare. Je veux le récupérer puis, je hausse les épaules. Après tout ! Il lit avec attention quelques pages, relève la tête et me sourit. - Je ne savais pas que tu aimais mes pieds nus à ce point là ! Tu marques vraiment tout ! Il y a seulement quelques jours, si quelqu’un était tombé sur mon journal intime, je lui aurais probablement arraché les yeux pour le récupéré. Aujourd’hui, je me contente de rougir un peu en dansant d’un pied sur l’autre. Guillaume lut encore quelques paragraphe puis déclara. - Je suis très flatté, tu sais ! Dans la classe, c’est toi, enfin tes pieds que je mets en première position, ensuite, ceux de Jean-Marc ou peut-être ceux de Jean-Michel, je ne sais pas trop... - Tu sais que tu as les plus beaux pieds nus de la classe ! Ne dis pas le contraire ! Et de très loin ! - Là, je ne suis pas tout à fait d’accord ! Les tiens sont peut-être un peu plus grand, mais cette cambrure, mon dieu ! Cette cambrure ! - Question cambrure, il ne doit pas y avoir une grande différente ! Mais tes orteils sont un peu plus réguliers que les miens. La peau est plus jaune que la mienne, presque safran, c’est magnifique ! - Ho ! les tiens sont plus clairs que les miens, mais... Il s’interrompt soudain et se met à rire de bon cœur. - Qu’est ce que tu as ? Qu’est ce qui te fait rire comme ça ? - Jean-Luc ! Tu ne te rends pas compte de la profondeur de la conversation que l’on a ? Nous sommes là à détailler nos pieds nus depuis 5 minutes comme si c’était le sujet le plus important du monde ! On a vraiment quelque chose qui ne tourne pas rond ! Je hausse les épaules. - Mais, ça m’intéresse ! J’adore parler pieds nus ! - Mais moi aussi ! C’est bien ça qui est étrange ! Mais finalement, tu as raison, je m’en fou ! Alors, hormis nous deux, lesquels t’excitent le plus ? - Ben, je suis un peu comme toi... j’hésite entre ceux de Jean-Michel et ceux de Jean-Marc, quoi que ceux de Franck R ne soient pas mal non plus et ceux de... Nous avons détaillé les pieds nus de la classe, pendant plus d’une heure. Le sujet ne me lassait pas et m’excitait terriblement. Nous avons fini par en parler en nous caressant mutuellement les pieds, puis en les léchant. Là, naturellement, nous ne pouvons plus parler.

Promenade nocturne.[modifier]

Le soir, nous rentrons juste pour dîner. J’ai un peu mal aux pieds, mais Guillaume semble aussi frais qu’à notre départ. Il se plaint juste de son tee-shirt qui le gène au niveau des seins. Nous mangeons rapidement, sans les parents. A la maison, c’est la règle, les enfants d’abord, les adultes ensuite. En mangeant, il demande. - Dis, Jean-Luc, qui habite le plus près de chez toi dans la classe ? - Je crois que c’est Jean-Marc ! Oui, je crois bien ! - C’est loin ? - Je ne sais pas, moi... quatre kilomètres, peut-être un peu plus... - Nous... Nous pourrions y faire un tour, s’il est chez lui ce soir, non ? - Oui, mais mes parents ne nous laisseront jamais sortir la nuit ! - Et alors ? nous ne leur avons pas dit non plus que nous avons fait la nuit dernière... - Tu as raison... c’est idiot... Mais il faut être sûr qu’il est chez lui. Je vais lui téléphoner ! Jean-Marc est chez lui... Il s’ennuie à mourir et accueille avec plaisir l’annonce de notre visite. En partant tout de suite, nous ne serons pas chez lui avant au moins 10 heures. Nous montons dans ma chambre. Je verrouille soigneusement la porte et mets le poste de radio, pas trop fort. Il se coupera automatiquement à 9 heures. Je me dirige vers la porte-fenêtre. Je me retourne pour voir si Guillaume suit. Je sursaute. Guillaume est nu. Ses vêtements gisent au pied de mon lit. - Tu es cinglé ! On ne peut pas y aller à poil ! - Pourquoi ? - On a deux villages à traverser ! La Motte et St Uze ! - Il fait nuit ! Allez, déshabille-toi ! Je ne suis pas difficile à convaincre, mais pas trop rassuré quand même ! Nous n’allons pas faire une promenade sur la colline. Nous faisons un véritable voyage. Nous prenons le chemin de terre en contournant la maison. Je suis content de rejoindre rapidement la route goudronnée. Enfin, route, un bien grand mot. Deux voitures ne croisent pas. Je supporte difficilement les pierres du chemin. Guillaume s’en fou, lui. Ses pieds nus dansent comme si le terrain était plat. Au moins deux kilomètres pour gagner La Motte, La Motte de Galaure. Il fait encore frais ce soir, mais je ne sens pas du tout le froid. Heureusement, les gens se couchent tôt à la campagne. Pas une voiture ni une lumière à l’horizon. Nous marchons d’un bon pas. J’ouvre la route, une route que je connais parfaitement. Je pourrais y aller les yeux fermés. Je ne retourne de temps en temps pour voir si l’ombre de Guillaume suit. Un peu avant d’arriver à la descente vers le Bion, Guillaume n’est plus derrière moi ! je scrute l’obscurité et j’entends des cris étouffés. Mes yeux s’habituent et j’aperçois la forme du corps de Guillaume, affalé dans l’herbe. J’approche un peu. Il lèche ses pieds nus avec application. Sa pose et ses gémissements ne donnent immédiatement envie de faire la même chose. Je n’assois à ses côtés et commence à monter mon pied vers mes lèvres. J’en ai très envie, finalement. Je n’ai pas léché mes pieds nus depuis que Guillaume est là et ça me manque un peu. Juste au moment ou mes lèvres vont toucher mon pied, un faisceau de lumière troue l’obscurité et m’aveugle. Nous ne pouvons pas resté là, c’est impossible. Je secoue Guillaume, sans ménagement, sans obtenir la plus petite réaction. Il faut pourtant faire très vite ! La voiture n’est plus qu’à quelques centaines de mètres ! J’attrape Guillaume sous les bras et je le tire vers le fossé. Il ne s’aide pas ! Il ne cesse pas de lécher ses pieds. Malgré le danger, mon envie devient de plus en plus forte. J’ai envie de tout laisser tomber et de moi aussi lécher mes pieds nus, là, maintenant, tout de suite. Dans un dernier sursaut, je tire Guillaume de toutes mes forces et nous basculons dans le fossé. Il était temps ! La voiture passe quelques secondes plus tard. J’espère qu’on ne nous a pas vus ! Guillaume est couché sur le côté, il n’a pas lâché ses pieds nus. J’appuie un de mes pieds nus sur son dos et je me mets à la lécher. Je n’ai jamais eu d’envie aussi forte ! Le plaisir explose immédiatement, me labourant les tripes. Je m’entends hurler ! Le contact du corps chaud de Guillaume sur mon pied nu n’excite encore davantage ! Nous reprenons conscience presque en même temps. Guillaume s’étire. - Ben ! Qu’est ce qu’on fout là ? Je rêve ! - Tu te souviens de rien ? - La dernière chose que je me souvienne, c’est d’avoir eu envie de lécher mes pieds... et de l’avoir fait ! Mais pas dans le fossé ! - Tu n’as pas vu la voiture ? - La voiture ? Quelle voiture ? Je lui racontais en détail mon sauvetage désespéré. - Ecoute, je te jure, je me souviens de rien ! Je me souviens très bien de l’orgasme... Et tu as dû mettre un pied sur mon dos à un moment... ça, je l’ai très bien senti, mais c’est tout ! - Il faut que l’on fasse très attention à partir de maintenant ! Apparemment, le ciel pourrait bien nous tomber sur la tête, quand nous avons envie de se lécher les pieds et que nous sommes nus, rien ne peut nous arrêter ! - Ce qui me fait encore plus frémir, rétrospectivement, c’est que si tu n’avais pas été si loin, ce sont tes pieds que j’aurais attrapés ! Et dans ce cas, tu aurais été dans le même état que moi au passage de la voiture... Peut-être carrément au milieu de la route ! Oui, tu as raison, nous devons faire très attention ! - Là prochaine fois, préviens dès les premiers signes ! - Ce n’est pas certain que j’ai le temps ! ça a été très vite, tu sais ! Nous avons traversé La Motte sans problème. Pas un chat dehors. Pourtant, nous avons traversé des endroits très bien éclairés. Je rase les murs, mais Guillaume marche normalement, comme si de rien n’était, comme s’il était habillé ! On dirait qu’il y prend un plaisir certain ! Après, c’est la vallée, jusqu’à St Uze. Il n’y a pas beaucoup de place pour se cacher sur la route et nous devons être très prudents. Cette fois, c’est moi qui me fais avoir, mais fort de l’expérience de Guillaume, je réussis à la prévoir. Alors que nous allons traverser un endroit dégagé sur plusieurs centaines de mètres, je m’arrête brusquement. - Qu’est ce que tu as ? - Je ne sais pas... Je me sens tout drôle... C’est tout ce que j’ai le temps de dire. L’instant d’après, je me précipite sur les pieds nus de Guillaume. Heureusement, nous sommes hors de vue ! Je comprends tout à fait que Guillaume n’ait rien pu faire tout à l’heure. Je n’ai même pas cherché à réfléchir. Je l’ai fait, c’est tout, sans essayer de me retenir, sans même penser à le faire. Avec tout ça, il est plus de 11 heures quand nous arrivons chez Jean-Marc. La cloche de l’église vient de sonner. - Où est ce qu’il nous attend ? - Chez lui... Il y a un immense jardin ! Je connais. - C’est encore loin ? - Non, mais on doit traverser une grande place bien éclairée... Soudain, j’entends un bruit dans les herbes. Je me retourne vivement. Ce n’est pas une idée, puisque Guillaume a exactement la même réaction. J’appelle doucement. - Il y a quelqu’un... Finalement, je n’en mène pas large. Les herbes bougent encore, plus fort. Dans la lumière d’un réverbère, je vois très distinctement une silhouette détaler. C’est une fille ! Et elle est entièrement nue ! Je ne peux pas me tromper ! Je ne comprends pas car je pensais que seuls les garçons étaient touchés... Elle est plus grande que moi, elle a plus de 15 ans, sûr ! Guillaume déclare, sans se démonter. - Ben tu vois ? Nous ne sommes pas seuls à nous promener dans le plus simple appareil ! - Mais c’est une fille ! Je ne savais pas que les filles étaient aussi comme nous ! J’étais persuadé que seuls les garçons pouvaient devenir pieds nus ! - Je n’en suis pas si sûr, figure-toi. Oui, je connais les bruits qui courent dans la cours, mais ça éclaire ma lanterne sur un truc qui m’a étonné ce week-end. Cette fille nue, que l’on vient de voir, me donne quelques éléments supplémentaires. - Tu as déjà vu des filles pieds nus ? - Non, mais la dernière fois que je suis allé chez moi, ma cousine, qui vit avec nous depuis deux ans, n’est pas sortit de sa chambre de tout le week-end... Elle était, aux dires de ma mère, malade. Hors, je l’ai aperçu à la fenêtre de sa chambre, à travers les rideaux, et je suis sûr qu’elle était nue... Sur le moment, j’ai cru m’être trompé, mais maintenant, je suis certain qu’elle était nue ! - Alors, ça fait au moins deux ! Super ! Les pieds de filles sont magnifiques, non ? - Tu as raison, mais en attendant, Jean-Marc va croire que finalement, on ne vient pas ! - Ok ! Mais pour une fois, rase les murs ! On y voit comme en plein jour au centre de la place... On va faire comme cette fille, on va marcher à l’abri des herbes ! Arrivés devant le portail de la maison de Jean-Marc, nous ne savons plus trop quoi faire. Entrer directement ? Nous ne pouvons pas rester là indéfiniment, presque en pleine lumière, nus sur le trottoir ! Finalement, j’entends un bref appel. Il nous a vus ! Le portail bascule silencieusement et il apparaît dans l’ouverture. Immédiatement, je remarque les traces d’humidité sur son ventre et sur ses cuisses. Il est nu, mais son regard s’agrandit quand il se rend compte qu’on l’est aussi. - Vous n’êtes pas bien ! Vous n’êtes quand même pas venus comme ça ? Guillaume hausse les épaules - Ben si ! Pourquoi ! - C’est vraiment chercher les ennuis ! - Tu es bien nu, toi ! - Oui, mais je suis à l’abri ! Allez, entrez vite ! On voit la maison, au loin, entre les arbres. Il y a une lumière d’allumé. Jean-Marc suit mon regard et s’explique. - Ne t’inquiète pas ! C’est la lumière de ma chambre. Ma mère dort. Elle prend une tonne de cachets tous les soirs, et mon père est de garde à l’hôpital. Il ne rentrera que demain matin vers 9 heures. La lumière de la place inonde le jardin, mais avec les grands murs, on ne peut rien voir de la rue. Je passe ma main sur le ventre de Jean-Marc, surpris, et la ramène vers mes yeux et frottant les doigts les uns contre les autres. Ironique, je lance. - Dit-donc ! Apparemment, tu ne t’es pas ennuyé en nous attendant ! Guillaume qui a parfaitement compris en rajoute une couche. - Oui, c’est vrai ça ! Tu aurais pu nous attendre, quand même ! Un peu honteux, Jean-Marc essaye de se défendre. - C’est qu’à l’heure qu’il est, je ne savais plus si vous alliez venir. Et... Et pour tout avouer, je n’ai pas pu faire autrement... je suis désolé... Guillaume éclate de rire. - Mais tu ne vois donc pas qu’on te fait marcher ! Pourquoi crois-tu qu’on arrive si tard ? On a été retardé par la même chose que toi ! Mais maintenant qu’on est là, passons aux choses sérieuses ! Il entraîne Jean-Marc sur la pelouse, un peu plus loin. Un rayon de lumière passe entre les arbres et on voit comme en plein jour. Il le force gentiment à s’allonger. Jean-Marc se laisse faire, juste un peu étonné. Guillaume enjambe le corps de Jean-Marc et s’assoit presque sur son ventre ? Brusquement, il demande. - On peut crier, ici ? - Ben, ce n’est pas ma mère que ça réveillera et généralement, les voisins ne s’occupent jamais de ce qui se passe dehors... Pourquoi ? - Parce que tu vas faire du bruit, répond Guillaume simplement. Sans en dire plus à un Jean-Marc de plus en plus interdit, il s’empare des pointes de ses seins et commence à les faire rouler. Jean-Marc ne dit plus rien, il semble pétrifié. Je vois son regard s’agrandir et sa bouche s’ouvrir comme pour chercher de l’air. Sans cesser les caresses, Guillaume se retourne et me dit, en me faisant un clin d’œil. - A toi l’honneur ! Occupe-toi de ses pieds ! Après quelques fractions de seconde de réflexion, je réponds bêtement. - Merci ! Mon sexe vient de se dresser, mes seins me font mal. Je veux rester calme, mais c’est plus fort que moi. Je me précipite sur les pieds nus de Jean-Marc. Dès que je commence à lécher ses pieds nus, j’entends son premier hurlement... Ensuite, je n’entends plus que mes propres gémissements, concentré sur mon plaisir. L’orgasme déforme mon ventre et j’ai conscience de me tordre dans l’herbe. Plus tard, je ne saurais pas dire combien de temps, je sens un corps onduler contre le mien. Au prix d’un énorme effort de concentration, je réussis à identifier Guillaume. Il m’a rejoint et lèche l’autre pied nu de jean-Marc. Jean-Marc met un bout de temps à récupérer. Il se frotte doucement le ventre et la poitrine. Il murmure. - Pour les pieds, j’en étais sûr, mais pour les seins, je ne savais pas... C’est vraiment super ! - Et attend, tu n’as pas encore léché nos pieds nus ! Répond Guillaume. - Ça, c’est une question de minutes, que dis-je, de secondes ! Il s’assoit et nous regarde intensément. Il ordonne. - Etendez les jambes ! Je regarde Guillaume et nous exécutons en souriant. Jean-Marc semble surpris à la vue de nos quatre plantes réunies. Il veut se lever, mais finalement y renonce. C’est en rampant qu’il s’approche de nous. Un moment, je pense même, qu’il va se mettre à jouir avant de nous avoir atteints ! Ça doit être le cas, car il commence à gémir avant de nous avoir touché. Il jette les bras en avant et serre les quatre pieds nus sur son visage. Son corps se met à onduler doucement dans l’herbe puis, de plus en plus violemment. Après... Bien après, je ne sais plus trop ! Je me laisse tomber en arrière et je savoure la jouissance qui vient de commencer à me lacérer le ventre. Dans je refais surface, Jean-Marc est couché en position fœtale et semble dormir. Guillaume est allongé contre moi. J’ai sommeil. La journée a été longue et je n’en peux plus.

Rentrée précipitée.[modifier]

On me secoue sans ménagement ! J’ai beaucoup de mal à me réveiller ! - Jean-Luc, merde, réveille-toi ! Ça urge ! Peu à peu, la conscience revient. La première chose que je vois, c’est qu’il va bientôt faire jour ! Nous ne serons jamais rentrés avant que mes parents se lèvent ! - Il faut partir immédiatement, m’écriais-je ! - Trop tard ! Répond Guillaume ! Même en partant tout de suite, nous ne serons jamais chez toi avant 9 heures ! Il est 6 heures ! C’est seulement à cet instant que je vois la silhouette, légèrement en retrait. Jean-Marc explique. - C’est la fille d’amis de mes parents. Elle loge chez nous le week-end. Elle fait des études à Valence. C’est elle qui nous a réveillés. La silhouette avance d’un pas. - Je peux peut-être arranger ça, mais il faut quand même faire très vite. Il faut que je fasse deux voyages. Nous ne tiendrons jamais à trois sur le scooter ! Je la détaille mieux. Elle est jolie, grande (elle est vieille, au moins 16 ans !) ! Une grande cape la recouvre entièrement. Guillaume intervient. - Je suis certain que qu’on peut tenir à 3 sur ton truc ! Si nous partons tout de suite, il fait encore assez sombre et personne ne nous remarquera. Je suis soudain suspicieux. - Mais pourquoi fais-tu ça ? Pourquoi nous aiderais-tu au lieu de tout raconter à la mère de Jean-Marc ? - Il n’a pas tord, appuie jean-marc. Pourquoi ? La fille se met à rire. - Vous voulez vraiment le savoir ? Sans nous laissez le temps de répondre, elle relève sa cape, dévoilant deux magnifiques pieds nus. Comme si cela ne suffisait pas, elle ouvre soudain sa cape. Elle est entièrement nue en dessous ! Je regarde Jean-Marc. Il va exploser ! Il se tient le ventre comme s’il allait jouir. Cela confirme ce que je pensais. Il jouissait avant même d’avoir touché nos pieds nus tout à l’heure ! Mais ce n’est pas le moment d’en parler. Il y a plus urgent ! Elle laisse retomber la cape, et Jean-Marc semble reprendre des couleurs. - Ok ! Dis-je ! C’est une bonne raison ! Mais je ne savais pas que les filles étaient comme nous, surtout si... Vieilles ! - Hé ! Gamin ! Faut sortir de temps en temps ! Mais, c’est vrai, comme à l’école, vous ne voyez que des garçons ! Plus de la moitié de ma classe est dans le même état que moi ! Allez donc faire un tour au village un de ces quatre ! Guillaume étudie le scooter, garé dans l’entrée. Son verdict est net. Ça tient ! Je monte sur la selle, juste devant elle, Guillaume se blottira sur le marchepied. De loin, sa grande cape nous dissimulera aux yeux de curieux éventuels... Quoi qu’à cette heure-là... Elle démarre le moteur et s’assoit. Je grimpe sur la selle, devant elle et je sens soudain son corps contre le mien. J’ai la meilleure place ! Ça m’étonne que Guillaume n’ait pas pensé à ça ! Je sens ses seins dans mon dos et ça m’excite terriblement. Guillaume grippe sur le marchepied. Pour se tenir, il agrippe carrément mes pieds nus à pleines mains. Elle donne un coup d’accélérateur. Nous roulons. A chaque chaos, je sens les doigts de Guillaume s’enfoncer un peu plus dans mes plantes nues. Elle roule vite ! A cette allure, nous serons à la maison en moins de 10 minutes. Dans les virages, Guillaume plante ses doigts avec force. Avec le contact des seins de la fille dans le dos, la selle qui comprime mon sexe tendu, je ne sais pas si je vais tenir bien longtemps ! Elle doit s’en apercevoir, car elle dégage un de ses bras du guidon et le passe autour de mon ventre. Il était temps ! je pousse un cri, étouffé par le bruit du moteur, mais elle doit l’entendre, car elle me serre plus fort. Je ne sais même plus vraiment ou je suis ! Je sens le sperme couler entre mes cuisses. Quand je reprends pied dans la réalité, le scooter s’engage dans le chemin de terre. Elle accélère peu et le moteur est silencieux puis, elle arrête le moteur et finit en roue libre. Nous sommes, juste devant la maison. Je descends, les jambes en coton. Guillaume qui s’est laissé glissé sur le sol, se relève. Il a du sperme sur les seins. Elle n’a pas refermé sa cape et je la détaille. C’est presque une femme. Ses seins sont gonflés, son ventre plat. Ses pieds nus, que je vois très bien dans le jour naissant sont presque deux fois plus grand que les miens, mais je n’en aie jamais vu de plus beaux ! Guillaume réagit le premier. Je sais qu’il vient de se livrer au même examen que moi... et elle le sait aussi ! Elle ne fait rien pour se cacher, bien au contraire. - Tu... Tu restes un moment avec nous ? Demande Guillaume, timidement, ce qui ne lui ressemble guère. - Ce n’est pas l’envie qui me manque, mais il est tard... Et une des fenêtres vient de s’allumer... Il est temps que je file ! Une autre fois ! - Merci pour le voyage... Une dernière question si tu veux bien... Que faisais-tu dehors cette nuit, à poil ? Elle éclate de rire et mets sa main devant sa bouche pour ne pas faire trop de bruit. - Le même chose que vous avec Jean-Marc ! J’ai plein de copines dans le coin ! Allez ! Je me sauve ! A bientôt ! Elle descend du scooter et elle le pousse pendant une trentaine de mètres. Je suis le mouvement de ses pieds nus jusqu’à ce qu’elle remonte sur son engin. Ses plantes sont vraiment magnifiques. Nous faisons le tour de la maison pour rentrer discrètement dans ma chambre. Je m’allonge immédiatement sur le plancher. Je suis rincé. Avant de m’endormir, j’ai juste le temps de dire à Guillaume. - Dire qu’on ne connaît même pas son prénom ! La voix endormie de Guillaume répond. - On demandera à Jean-Marc lundi. Vendredi calme. On récupère. La nuit a été très dure. Une surprise quand même le matin. Guillaume ne peut plus supporter son tee-shirt. Je lui prête une chemise, mais c’est la même chose. Il descend torse nu prendre le petit déjeuner. On passe la journée à regarder la télévision. Rien sur nous ! On dirait que le fait qu’on soit en train de devenir nu n’intéresse personne ! Je remonte deux fois lécher mes pieds nus dans ma chambre. Guillaume s’absente discrètement 3 fois. Vivement ce soir que tout le monde soit couché !

Myriam[modifier]

Enfin, plus un bruit dans la maison ! Je n’en peux plus ! J’ai besoin des pieds nus de Guillaume et je vois qu’il est dans le même état que moi. Nous partons en courant dans la colline. Je m’allonge le premier. Guillaume s’allonge à mes pieds, me présentant les siens et je m’en empare aussitôt. Je laisse la pression s’évacuer sans retenue, criant mon plaisir. La lune est déjà haute quand on se calme. Guillaume se lève. Il a envie de marcher. Je m’apprête à faire la même chose quand j’aperçois une silhouette à côté du grand chêne. Je tire Guillaume par la main en soufflant. - Regarde ! Il y a quelqu’un dans l’ombre près de l’arbre ! Il regarde sans trop en avoir l’air et se rassoit. - C’est bizarre, mais il me semble avoir déjà vu cette silhouette quelque part... J’y suis ! C’est la fille qu’on a vue en allant chez Jean-Marc hier soir ! - Tu es sûr ? - Certain ! - Si on bouge, elle va se sauver, comme hier ! - Pas si on lui saute dessus... Allez, à 3, on se lève et on fonce ! - OK ! - 1... 2... 3 ! Nous parcourons plus de la moitié du chemin avant que la forme réagisse. Elle est coincée ! Elle semble s’en apercevoir, car après un mouvement de recul, elle s’immobilise et nous fait face. Je la vois bien maintenant. Elle est entièrement nue. Elle est d’à peu près ma taille, blonde, un peu enveloppé, pas grosse, attention, mais on ne voit pas les os. Sa poitrine est menue, mais on la distingue très bien ! C’est dommage, je ne vois pas ses pieds, ils sont dans les hautes herbes. Elle n’ose plus bouger. On se regarde en silence un moment. - Salut ! Dit Guillaume. Pas très original, mais je n’ai pas mieux à proposer. Je me lance. - Bon ! Ben si on retournait s’asseoir... On sera mieux pour discuter, non ! Sans attendre de réponse, je me retourne et redescends vers le pré. Guillaume m’emboîte le pas. Je jette un œil par-dessus mon épaule. Elle nous suit. Je n’assois, imité par Guillaume. Elle hésite quelques secondes puis, s’assoit à son tour en tailleur. Elle tire sur un de ses pieds et elle le plaque sur son ventre. Et là, je les vois, ses pieds nus ! je commence à comprendre Jean-Marc qui s’est mis à jouir seulement en regardant nos pieds nus hier soir, car le m’en suit pas loin ! le sexe de Guillaume palpite entre ses cuisses, comme le mien ! - C’était toi, hier soir, n’est ce pas ? J’entends le son de sa voix pour la première fois. - Oui, ça fait 2 jours que je vous suis partout... - Qu’est ce que tu attendais pour te monter ? Demande Guillaume. - Je n’osais pas... - C’est dommage ! Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps ! Des pointes de plaisir chatouillent mon bas ventre. Je tends les bras et m’empare de son pied nu. Je le pose sur mes cuisses et commence à le caresser doucement. Elle ne fait pas un geste pour l’enlever, bien au contraire. Elle déplie l’autre jambe et lance son pied en direction de Guillaume qui ne bouge pas immédiatement, ce que je ne comprends pas, d’ailleurs. Puis, je le détaille un peu mieux. Son visage est crispé. Il se jette soudain en avant en poussant un cri. Au passage, je vois son sexe tendu expulser du sperme en quantité. Les pieds nus de Myriam lui font le même effet qu’à moi, mais en plus fort ! la présence du pied nu de la fille sur mes cuisses et voir Guillaume jouir déclenche me plaisir. Je me laisse tomber sur le pied nu et en mets plus de la moitié dans ma bouche, le léchant et le mordillant en même temps. Les cris de la fille sont impressionnants ! Heureusement que nous sommes assez loin de la maison ! Un bon moment après, je suis incapable de dire combien, on se retrouve tous deux collés à la fille. Guillaume suce un de ses seins avec application et je me décide à faire de même avec l’autre. Elle ne crie plus, mais un son continu et sourd sort de sa gorge. Nous nageons dans le sperme. Le ventre et les cuisses de la fille en sont couvertes. Elle met un bout de temps à récupérer. Quand elle se rassoit, elle remet immédiatement un des ses pieds nus sur son ventre. Je demande. - Qui es-tu ? - Myriam, Myriam C. - Et je suppose que ce n’est pas par hasard que tu te promènes à poil dans la campagne ? Demande Guillaume. - Non... vous êtes les premières personnes que je contacte depuis que je me suis enfui. - Tu t’es enfui ? - Oui, mon père m’a surprise en train de me lécher les pieds, nue, et il a voulu me frapper avec sa ceinture. Alors, j’ai taillé la route, sans avoir le temps de prendre de vêtement. - Il t’a surprise quand ? - Lundi soir... je ne sais même plus quel jour on est ! - Vendredi... et tu es resté seule depuis lundi ? - Oui, je me demandais ce qu’il m’arrivait et je pensais être la seule à être obligé de lécher mes pieds nus... Puis, je vous ai vu hier soir. Vous sortiez d’ici, aussi nus que moi ! Alors, j’ai repris espoir. - Et tu nous as suivis... - Oui, jusqu’à saint Uze, et j’ai commencé à me rassurer quand tu t’es jeté sur tes pieds nus et que ton copain t’a léché les pieds, après. Ça m’a d’ailleurs forcé à lécher les miens ! Ensuite, je me suis approché un peu trop et vous avez failli me surprendre. - Pourquoi ne nous as-tu pas abordés à ce moment là ? - Je n’étais pas encore sûre de moi... J’ai attendu toute la nuit et je vous ai vu partir en scooter avec cette fille, ce matin. - Et tu es revenue ici... - Oui, mais pas tout de suite... C’est que j’ai par moments, des « crises » d’envie de mes pieds nus qui durent très longtemps... Et puis, après, il faisait beaucoup trop jour ! Je ne suis enfoncée dans la forêt et j’ai contourné La Motte pour rentrer. - Soit la bienvenue ! - Vous avez quelque chose à manger ? Je n’ai presque rien mangé depuis lundi ! Je me levais d’un bon. - Bien sûr ! Je vais te chercher ça ! Je rentre dans ma chambre et colle une oreille à la porte qui donne dans la maison. Pas un bruit. Je descends dans la cuisine. Il reste du poulet, des chips et je prends un gros morceau de pain. Elle dévore à pleines dents ! Pendant qu’elle mange, Guillaume poursuit l’interrogatoire. - Tu crois que tu peux encore t’habiller ? - Je ne sais pas... quand je suis partie, lundi, j’avais beaucoup de mal à supporter mes sandales... Je n’ai pas approché de vêtements ni de chaussures depuis, alors... Vous ne pouvez plus vous habiller ? - Ben, de moins en moins ! je ne peux mettre ni chaussures ni chemise... Jean-luc est pieds nus... Et nous avons plein de copains comme nous... - Et bien disons que j’aurais pris de l’avance, termina-t-elle en riant ! C’est vrai que je n’ai aucune envie de m’habiller ! Je me sens très bien nue ! - Comme tu le vois, nous aussi ! Répliquais-je. - C’est curieux, je ne me gêne pas, bien au contraire... Il y a quelques jours, je serais morte de honte à me mettre nue devant des garçons. Aujourd’hui, ça m’excite terriblement ! - Ne te gêne surtout pas, s’écria Guillaume, mi plaisantant, mi-sérieux. - Je... je peux lécher vos pieds nus ? Vrai ? de toute façon, je vais être obligé de lécher les miens... je sens l’envie monter... Je pensais être le plus vif à déplier les jambes, mais Guillaume était encore plus rapide. Je vois immédiatement qu’il est dans le même état d’excitation de tout à l’heure... Très proche de l’orgasme. Ça fait plusieurs minutes qu’il fixe les pieds nus de Myriam. Elle se pense et commence à lécher les pieds de Guillaume en poussant de petits cris. Je suis presque jaloux ! Je réussis à insérer un pied nu entre son visage et les pieds nus de Guillaume et je sens avec plaisir sa langue sur ma plante. J’explose immédiatement. Je ne pouvais pas laisser Myriam repartir ! Elle n’avait d’ailleurs nulle part ou aller ! la laisser dans ma chambre dans la journée était top risqué, mais elle avait quand même dormi avec nous. Il y avait une petite dépendance où elle pourrait s’installer. Personne n’y venait jamais, mais c’était propre. Elle avait accueilli la nouvelle avec enthousiasme et avait couvert mes pieds nus de baisés pour me remercier, sans sortir la langue, sinon... Nous sommes très heureux que Myriam reste avec nous. Guillaume doit toujours faire attention a ne pas se mettre à jouir quand il regarde les pieds de Myriam trop longtemps. Il le fait exprès par moments et ça marche à tous les coups. Moi, ça me met au bord du plaisir, mais ça ne le déclenche pas... Mais il ne faut pas grand chose ! Myriam nous avait prévenus ! Quand elle lèche ses pieds nus, elle ne fait pas les choses à moitié et inutile d’essayer de la séparer de ses pieds ! Elle le fait souvent et très longtemps... Nous nous en sommes aperçus dès le premier soir !

Conseil de prudence.[modifier]

Nous sommes au petit déjeuner depuis 10 minutes et déjà Myriam nous manque ! Vivement ce soir ! Elle doit, elle aussi se morfondre de son coté. Ma mère nous annonce que le médecin doit passer. Suspicieux, je lui réponds que personne n’est malade, mais elle rétorque qu’il a besoin de nous parler, et pas seulement à moi, à tous les deux, Guillaume aussi ! Alors ? Ben alors, pas de promenade en attendant qu’il soit passé et c’est la poisse ! Et à quelle heure passe-t-il ? Aucune idée ! Envolée, les espoirs de retrouver Myriam avant le soir ! Je maudis ce toubib ! Nous avons finalement de la chance ! Il se pointe en tout début d’après midi. Deux mètres de haut dans une toute petite voiture, genre Fiat 600. C’est impressionnant quand il en sort. On dirait qu’il se déplie ! Il devait nous voir l’un après l’autre mais finalement, il décide de nous voir ensemble. C’est dans ma chambre finalement qu’il me demande de nous emmener. Il s’assoit confortablement sur la chaise de mon bureau et nous, sur le bord du lit. - Bon, les enfants ! Je ne vais pas y aller par quatre chemins ! Vous êtes au moins les centièmes que je vois en deux jours et bien rares sont les maisons ou je n’ai pas eu besoin de passer ! Tout cela pour vous dire que ce n’est pas la peine d’essayer de me cacher quelque chose, j’ai déjà tout entendu plusieurs fois ! Ok ? Ne demandant bien ou il voulait en venir, j’acquiesce sans broncher, imité par Guillaume - Bon ! Voilà qui est bien ! Je vais faire un brin d’historique ! Vous n’allez peut-être pas y comprendre grand chose, mais c’est imposé par le ministère. J’ajoute que ce que je vais vous dire, vos parents le savent déjà depuis mercredi. Cela pour que vous compreniez pourquoi le fait que vous vous baladiez presque nus n’a provoqué aucune réaction ! Ok ? Jusque là, ça va ? Sans attendre de réponse, il poursuit. - La semaine dernière, un groupe de rigolos, enfin, c’est ce que l’on croyait, a lancé un ultimatum au gouvernement et menaçant de répandre un gaz mutagène sur un département français. La menace n’a pas été prise au sérieux et le gouvernement n’a pas payé. Le gaz a été répandu vendredi. Depuis samedi matin, nous savons exactement à quoi nous en tenir. Les terroristes ont décrit très soigneusement ce que vous êtes en train de vivre en ce moment. Il s’arrêta un moment et nous regarda sans rien dire. - Bon ! je vais vous posez quelques questions, mais je tiens d’abord à ce que vous sachiez que nous savons parfaitement que vous ne pouvez pas faire autrement. Votre corps est en train de changer en profondeur et nous n’y pouvons encore rien... Il faudra sans doute des mois avant que nous puissions faire quelque chose, si nous y arrivons un jour. On y va ? Nous acquiesçons tous les deux. - Je pose la question une fois et vous apportez une réponse chacun ! Qu’est ce que vous ne pouvez plus mettre comme vêtement ? Jean-Luc ? - Mes sandales et j’ai du mal à supporter ma chemise... - Pieds nus et bientôt seins nus, nota-t-il soigneusement. Guillaume ? - Sandales et chemise et... - Et ? - Non, rien ! - Allons, Guillaume ! Tu as du mal à supporter ton short, c’est bien ça ? - Oui, c’est ça ! - Ok ! Quand est ce que vous avez léché vos pieds nus pour la première fois ? Jean-Luc ? - Lundi soir... - Guillaume ? - Vendredi soir... - Etes-vous obligé de le faire ? Jean-Luc ? - Oui. - Guillaume ? - Oui. - Bon ! Maintenant, peut être un peu plus délicat, mais répondez-moi franchement. Je pose la question à tous les deux. Vous léchez-vous mutuellement les pieds ? Je regarde Guillaume, indécis. Finalement, je hausse les épaules. Je suis persuadé qu’il a la réponse à toutes les questions, de toute façon ! Nous répondons ensemble. - Oui. Il ne semble pas surpris. J’avais raison, il le savait. - Souvent ? Demande-t-il ? Jean-luc ? Ou Guillaume, peut importe ? C’est Guillaume qui répond. Je pense qu’il a hâte d’en finir. Comme moi, parler de pieds nus doit commencer à l’exciter ! - Dès qu’on en a l’occasion ! - Ok ! Bon ! Léchez-vous les pieds nus d’autres garçons ou filles ? Ne vous inquiétez pas, je ne vous demanderais pas qui ! - Bien sûr ! Continue Guillaume, excédé. - Bon, c’est tout pour les questions. Maintenant, vous allez m’écouter très attentivement. Dans quelques jours, vous serez nus tous les deux, Guillaume certainement très bientôt. Nous ne vous avons rien dit avant car nous ne voulions pas vous affoler. Il y a une chose très, très importante que vous devez absolument savoir ! Et là, je ne plaisante pas, c’est très, très grave ! Il marqua une pause pour s’assurer que nous comprenions ses paroles. - Quand vous serez nus, il est possible que vos envies augmentent encore, hélas... Mais il y a une chose que vous ne devez jamais, jamais, jamais faire ! Ne laissez JAMAIS quelqu’un mettre un pied nu sur votre ventre, JAMAIS ! C’est bien compris ? - Vous savez, on ne fait pas toujours attention ! S’emporta Guillaume. - Et bien il va falloir apprendre ! - Et pourquoi ça, d’abord ! - Pour des raisons très simples ! Une, le fait de mettre un pied nu sur votre ventre va rendre définitive les effets du gaz mutagène ! En clair, votre nudité deviendra définitive et... - Ce serait plutôt une bonne nouvelle pour nous ! Le coupe Guillaume. J’ai un moment l’impression que le toubib va exploser, puis il se reprend. - Peut-être, mon jeune ami, mais je problème, c’est que nous ne savons pas du tout ce qui va vous arriver après ! Le message des terroristes s’arrête là ! Ils disent juste que ça démarre la phase 2 de la mutation ! Alors, si tu es si malin que ça... Qu’est ce qui va t’arriver après ? Nous savons seulement qu’il y a une troisième phase. C’est tout. Alors, faites ce que vous voulez avec vos pieds nus, mais pas de pied sur le ventre ! Evitez même de mettre vos propres pieds nus sur votre ventre, on ne sait jamais ! C’est compris ? Il n’attend pas de réponse et quitte la chambre en disant. - Bon, la journée est loin d’être finie ! Dès qu’il est sorti, Guillaume s’écrit - Jean-Luc, déshabille-toi, vite ! Je n’en peux plus ! Le temps qu’il prononce la phrase, il se débarrasse de son short. Je réponds en me déshabillant. - Mais, ici, en plein jour ? - Tu as entendu le toubib ! Ils savent tout ! Alors, pourquoi se cacher ? Il se précipite sur mes pieds nus avant que j’aie pu répondre. La journée de dimanche se passe très bien ! Mes parents sont invités chez des amis et je n’ai pas beaucoup à insister pour qu’ils décident de ne pas nous emmener ! Pensez donc ! Un gamin qui supporte difficilement un short et un autre qui se tripote constamment les seins parce que sa chemise le gêne, et pieds nus tous les deux, c’est pas sortable ! Sans compter que maintenant, je suis sûr qu’ils connaissent nos obligations envers nos pieds nus, y compris ceux des autres. Ils n’ont certainement pas envie de nous voir lécher nos pieds nus, surtout qu’il y a des jeunes probablement aussi atteints que nous dans cette famille ! Alors, c’est la fête toute la journée ! Myriam n’a pas besoin de se cacher et c’est sur le pelouse, derrière la maison que nous passons la journée. Guillaume est de plus en plus sensible aux pieds nus de Myriam et il jouit plusieurs fois seulement en les admirant. Nous parlons avec Myriam de ce qu’a dit le médecin. Je lui demande. - Pourquoi mets-tu toujours un pied nu sur ton ventre ? Le médecin a dit qu’il fallait éviter de le faire, même avec nos propres pieds nus ! - Parce que j’y prends du plaisir, quelle question ! J’hésite une seconde, puis le place un de mes pieds nus sur mon ventre. Rien ou plutôt, pas grand chose. J’interroge Guillaume du regard. Il hausse les épaules puis met un de ses pieds nus sur son ventre. Je vois soudain son visage s’illuminer. - Ha, oui ! En effet ! Pas mal du tout ! - Pas mal ! Délicieux, tu veux dire ! S’exclame Myriam. - De délicieuses sensations dans le bas ventre... renchéri Guillaume. - Délicieuses sensations ? Parce que tu appelles un demi-orgasme permanent des délicieuses sensations ! C’est plus que ça, quand même ! Visiblement, ils ne sont pas vraiment d’accord. Et puis, d’un coup, je comprends ! J’en suis sûr ! Que sait-on sur l’état de Myriam ? Etait-elle pieds nus, seins nus, entièrement nue ? Elle ne le savait même pas elle-même ! - Je crois que j’ai une explication, avançais-je. Je ne sais presque rien... je suis pieds nus. Chez Guillaume, c’est déjà beaucoup plus net... il est seins nus... et pieds nus, naturellement. Pour toi, Myriam, c’est considérablement plus fort... Myriam, je pense que tu es... Nue ! - C’est simple, on va le savoir tout de suite ! Lance Guillaume. Il se lève et court vers ma chambre. Il revient avec une serviette de toilette et s’approche de Myriam. - Je n’essaye pas les pieds, dit-il en souriant. Il prend un coin de la serviette et il le pose sur un des seins de Myriam. Elle pousse un cri et a un mouvement de recul instinctif. C’est clair, elle est aussi seins nus. Enfin, il approche doucement la serviette du sexe de Myriam... Elle arrête sa main avant que le tissu la touche. - Non ! Je sens déjà le tissu, arrête ! - Jean-luc a raison, Myriam... Tu es nue ! - A partir de maintenant, nous devons faire extrêmement attention de ne pas lui mettre un pied nu sur le ventre ! m’écriais-je - Tu as raison ! C’est même un miracle que ça ne soit pas arrivé par hasard ! - Et puis, ne laisse pas ça à côté de moi, dit-elle et prenant la serviette que Guillaume a négligemment posée près d’elle. Elle pousse un cri de douleur et lâche immédiatement la serviette. La nudité va plus loin que nous le pensions. Myriam est vraiment nue ! Même ses mains ne supportent plus le contact avec le tissu ! C’est clair... Voilà ce qui nous attend également ! - Mais il y a un truc que je... J’attends la fin de la phase. Elle ne vient pas. Myriam s’écroule sur ses pieds nus en gloussant de plaisir. Nous commençons à avoir l’habitude avec elle. Elle en a pour un moment... Une demi heure, peut-être plus ! Elle entraîne Guillaume ave elle. Il s’effondre sur ses pieds nus. C’est plus que je ne peux en supporter. Mon sexe palpite déjà sur mon ventre. Je choisis le pied nu de Myriam qui traîne dans l’herbe. Quelques orgasmes plus tard, nous reprenons tant bien que mal notre conversation. Puisqu’elle avait commencé, je laisse Myriam parler. - Il y a un truc qui m’étonne avec ce qu’a dit votre toubib ! J’ai déjà du plaisir quand je mets un pied nu sur mon ventre... et c’est le mien ! Je pense que si je mettais un de vos pieds nus sur mon ventre, ce serait bien plus fort ! - L’idée se défend, approuva Guillaume, mais, franchement, je ne suis pas prêt à tenter l’expérience... Pas encore... - De toute façon, tu n’es pas encore nu, rappelais-je - Mais moi, je le suis... et j’avoue que ça me tente... déclara Myriam, songeuse. - Non ! Myriam ! Promets de ne rien tenter tant que nous n’en savons pas un peu plus ! - Mais... - Promets, s’il te plait ! - Ok, Ok ! - Moi, il y a une chose qui me fait un peu peur aussi... Le toubib à dit que, je résume, que nous aurions de plus en plus besoin de nos pieds nus. On passe déjà la journée dessus... qu’est ce que ça va être... Guillaume rigole. - Comme Myriam ! Tu lèches tes pieds nus combien de fois dans la journée ? - Ho ! je ne compte pas ! je ne sais pas moi... six fois, peut-être huit ! Sans compter quand je lèche les vôtres, bien sûr ! - Tu vois, Jean-Luc, tu as ta réponse !


Nudité.[modifier]

Je ne suis pas frais, ce matin. Nous avons passé la plus grande partie de la nuit à nous lécher mutuellement les pieds ou à nous caresser les seins. Je suis rincé ! Ça fait presque une semaine que ça dure ! Je passe dans la salle de bain. Une bonne douche me fera du bien. Je prends un short propre et l’enfile. Toujours aussi désagréable quand on passe les pieds. Je pends une chemise et l’arrache sitôt après l’avoir mise. On a planté des aiguilles dans mes seins. Je refais une timide tentative. Idem ! Bon, ben je m’y attendais un peu... je suis seins nus ! Les problèmes de Guillaume sont plus graves ! Il ne peut pas remettre son short ! J’essaye de trouver dans ma garde robe un truc qu’il peut supporter. Je finis par dégotter un slip de bain minuscule. Il protège juste le sexe et laisse les fesses pratiquement nues, et encore, quand je dis qu’il cache le sexe, c’est un bien grand mot ! Nous descendons prendre le petit déjeuner. Aucune réflexion sur le fait que je n’ai pas de chemise ni sur le fait que Guillaume soit pratiquement nu. Nous partons pour prendre le car. En chemin, je demande à Guillaume. - Enlève le slip, nous ne sommes que tous les deux ! - J’en meure d’envie, mais je ne suis pas sur de pouvoir le remettre... - Et toute façon, tu sais à quoi t’attendre... - Bien sûr, mais entre en parler et le sentir... Jusqu’à présent, je savais que je pouvais me rhabiller comme je voulais, au moins un short, mais là, je suis en train de devenir nu ! Ça fait quelque chose quand même ! En effet, je comprends et j’avoue que ça me fout un peu la frousse. Mais je sais que ça sera moins dur pour moi... je ne serais pas le premier. Guillaume sera déjà nu ! Dans le car, il préfère une banquette et faux cuir. Ça le gêne, mais c’est mieux que le tissu qu’il ne supporte plus du tout ! De temps en temps, il tire sur le maillot de bain et libère son sexe avec un soupir de soulagement. Il ne va pas tenir longtemps ! A St UZE, Jean-Marc monte dans le car. Il est pieds nus, mais ne semble plus le déranger du tout. Sa chemise est ouverte et il passe son temps à écarter le tissu de ses seins. Il ne va pas tarder à me rejoindre au club des seins nus ! Dès que nous arrivons, Guillaume s’isole dans le fond de la cours. Je ne m’approche pas trop pour ne pas être tenté. Il lèche ses pieds nus pendant plus de dix minutes. Je rejoins les autres en attendant la cloche. Je ne me suis pas trompé. Jean-Marc est presque seins nus. Il se tient courbé pour que sa chemise ne touche pas ses seins. Il ressemble à un petit vieux ! Jean-Michel, les deux Franck et Guy sont pieds nus, ainsi de 5 autres garçons de la classe. Les autres, à quelques exceptions près, semblent avoir de gros problèmes avec leurs chaussettes. Je jette un œil dans les autres classes. C’est la même chose. Les garçons qui n’ont pas de problème se rassemblent et nous regarde d’un air dégoûté. S’ils savaient ce qu’ils perdent ! Guillaume revient quelques secondes seulement avant la cloche. Il a réussi à remettre le maillot, mais il a tortillé les côtés pour avoir le moins de surface possible sur la peau. Ça ressemble plus à un string qu’à un maillot de bain, maintenant. Il est blanc et transpire. Son front est couvert de gouttelettes de sueur. Le cours commence. Guillaume s’est assit à mes côtés, un pied nu sur le ventre. Certains le regardent, un peu horrifiés. C’est contraire à tout de que l’on rabâche ! Il y a même une nouvelle affiche dans la classe, en énormes caractères ! NE LAISSEZ JAMAIS QUELQU’UN APPROCHER UN PIED NU DE VOTRE VENTRE. Ou encore LES PIEDS NUS SONT FAITS POUR MARCHER ET DOIVENT RESTER POSES SUR LE SOL Il parait même que d’autres affiches, encore plus explicites sont en cours d’élaboration. Je lui fais la remarque. - Dit, tu ne devrais pas garder ton pied sur ton ventre comme ça ! - T’occupe ! Je comprends maintenant pourquoi Myriam en garde un sur le ventre en permanence ! C’est nettement meilleur qu’hier ! - Mais ce n’est pas prudent ! Il hausse les épaules d’un air de dire « mêle-toi de ce qui te regarde ! » Vers le milieu du cours, il se penche vers le bureau. Je m’incline pour le regarder. Son regard est fixe et il gémit doucement. - Guillaume ! Qu’est ce que tu as ? - Je... Je vais jouir... souffle-t-il, les dents serrées. - Enlève ton pied de ton ventre ! - Je... Je ne peux plus ! Il.. Il est trop tard ! Si je bouge, je jouis ! - Tu vas jouir de toute façon, j’en aie peur ! - Je sais, répond-il. Ça dure. Ses gémissements sont de plus en plus fort. Il a laissé tombé une main et caresse lentement son pied nu. Mon dieu ! Je sais ce qu’il va se passer ! Il va lécher ses pieds nus ! Je ne me trompe pas ! Il pousse un hurlement déchirant, se propulse hors du bureau en arrachant le maillot de bain. Il se recroqueville sur lui-même et tombe littéralement sur ses pieds nus. A son cri, tout le monde se retourne. La maîtresse ouvre des yeux aussi grands que des soucoupes ! Elle a presque un haut le cœur et quitte la classe en courant. Juste devant moi, Jean-Marc se débarrasse maladroitement de sa chemise et de son short. Nu, il se précipite sur ses pieds nus, après avoir lorgné sur les miens. Ils doivent être trop loin. Je détourne le regard, sentant le désir monter pour tomber sur la même scène avec Jean-Michel ! Il faut que je sorte ! Mais en même temps, je sais qu’il est déjà trop tard ! Mon sexe essaye de se frayer un chemin à travers mon short. Je ne sais pas comment j’ai fait, mais je suis nu ! Les pieds de Jean-Michel sont tout près ! L’instant d’après, ma langue s’active dessus et je cris à pleine gorge. La classe est vide. Je relève la tête. Jean-Michel me sourit. - C’est la première fois qu’on lèche mes pieds nus... merci Jean-Luc ! Ils sont à toi ! Prends-les quand tu veux ! Je souris, mais ne réponds pas. C’est vrai que je les ais appréciés ! En tout, huit garçons ont léché leurs pieds ou les pieds des autres. On se rhabille lentement, à contre cœur. Guillaume reste hébété, le maillot à la main. Il me regarde. - Ça y est... je suis vraiment nu cette fois ! Il laisse tombé le maillot inutile. Il dit. - C’est drôle, mais je pensais que je serais gêné, que j’aurais peur... Ben non, finalement... ça va très bien, très, très bien, même ! J’ai en face de moi l’image de ce que je serais dans peu de temps. Deux jours ? Trois jours ? On se rassemble pour sortir, à peu près présentables, sans Guillaume. Les seins de Jean-Marc n’ont pas résisté à ce petit intermède. Ils sont aussi nus que les miens. Dans la cours, il y a nettement deux clans maintenant. Les pieds nus et les autres, plus un petit groupe qui navigue entre les deux. Ceux qui savent qu’ils vont devenir pieds nus et qui ne le sont pas encore. Ils n’arrivent pas à choisir leur camp. Ce n’est pas grave, la nature choisira pour eux ! Les cours ne reprennent pas ce jour là. Ni ce jour là, ni aucun autre jour. La surveillance est assurée, mais c’est tout. Les élèves « sains » sont regroupés dans une classe, les autres, nous, sont laissés libre de faire ce qu’ils veulent, à condition de rester dans l’enceinte de l’établissement. Guillaume est très entouré, mais visiblement, la présence à proximité immédiate de garçons trop habillés le gêne. Il gagne le fond de la cour pour être tranquille et dédaigne même d’aller à la cantine le midi. J’ôte mon short pour le rejoindre. Il apprécie mon geste. Il ne contrôle plus ses pulsions et lèche ses pieds nus une dizaine de fois dont trois fois de suite. Il m’entraîne trois fois dans son sillage. Plusieurs autres garçons viennent nous rejoindre. Dans le car, par miracle, il réussit à se contenir, mais dès qu’on arrive, il se précipite dans la dépendance et saute sur les pieds nus de Myriam, au mépris de la plus élémentaire prudence. Heureusement, mes parents sont occupés et ne voient rien. Plus tard, il accepte de venir manger. Etre à l’intérieur le gêne beaucoup ? Trop de tissu. On parle de nous à la télévision, pour la premières fois aux infos régionales. J’apprends avec stupeur que 714 enfants, garçons et filles confondus sont dans le cas de Guillaume. Nus ! Il y a également quelques cas de début de nudité dans les classes supérieures, et seconde, première et même terminale ! Je pense immédiatement à Chloé ! Avec tout ça, je n’ai même pas pensé à demander à Jean-Marc comment elle allait. Je suis resté nu, pour ne pas gêner Guillaume, d’abord, mais aussi parce que je n’ai aucune envie de remettre mon short. Je suis tellement proche de la nudité que je trouve idiot d’insister pour une ou deux journées. Guillaume monte dans ma chambre pour donner le change, mais ressort aussitôt et nous courront rejoindre Myriam. Elle est visiblement heureuse d’apprendre de Guillaume est nu. Quand je demande à Guillaume ce qui change, il devient intarissable. - Le plaisir est beaucoup plus fort, la peau plus sensible, et j’aime encore plus les pieds nus ! je voudrais les lécher sans arrêt, les miens, ceux de Myriam, les tiens ! De fait, quand il a lécher les pieds de Myriam, tout à l’heure, tout sont corps tremblait. C’était impressionnant ! Comme Myriam, il met systématiquement un pied nu sur son ventre. Elle ne manque pas de lui faire remarquer. - Au moins, tu as l’air d’apprécier le plaisir d’avoir un pied nu sur ton ventre ! - Tu rigoles ! je crois que je vais m’arranger pour ne plus jamais l’enlever ! tu devrais essayer, Jean-Luc, maintenant que tu es seins nus ! Sans trop y croire, je prends un de mes pieds nus et place le talon sur mon bas ventre. Je suis très surprit et ne peux pas le cacher. L’impression de bien-être d’hier s’est transformée en réelle sensation de plaisir ! C’est encore loin d’être ce que Guillaume décrit, mais ça le devient ! - J’ai hâte d’être complètement nu, finalement. - Mais attention, intervient Myriam. Il m’est arrivé un truc bizarre, tout à l’heure en vous attendant… - Oui ? - Et bien, je me suis mis à jouir sans rien faire, sans lécher mes pieds, sans caresser mes seins, ni rien ! ça à durer un moment et c’était presque aussi fort que quand je lèche mes pieds nus… mais en même temps, très déroutant. - Je veux bien te croire… Nous dormons encore une fois à l’aube.

Expansion.[modifier]

C’est vraiment un coup de chance que je me réveille un peu avant l’heure ou ma mère vient frapper à la porte de notre chambre. Guillaume est encore plus mal à l’aise que la veille dans la maison ! On se hâte pour prendre le car. Je peux maintenant marcher sur les cailloux sans problème. J’ai longtemps hésité et finalement, je n’ai pas mis mon short. Je suis parti entièrement nu. J’ai décidé que je ne mettrais plus jamais de vêtement. Tout le monde nous regarde monter. Il y a des regards surpris, mais aussi beaucoup de regards envieux. Guillaume reste debout dans le fond, très mal à l’aise dès qu’il s’approche des fauteuils et des garçons habillés. Soudain, dans un virage, je le vois perdre l’équilibre et tomber lourdement. Comme il ne se relève pas, je me précipite vers lui. Je ne comprends pas tout de suite. C’est en voyant son sexe dressé que je commence à comprendre et je me souviens de ce qu’a dit Myriam, la veille au soir. Guillaume est en train de jouir, de jouir très violement. Ses mains griffent le sol et un râle sourd, en partie masqué par le bruit du moteur, sort de sa gorge. Son ventre est agité de violent spasmes et tout son corps est secoué de convulsions. Je m’assois près de lui et masse son ventre doucement. Ça dure longtemps, très longtemps. Nous arrivons quand il sort de l’orgasme et je dois le soutenir pour descendre du car. Avant d’entrer dans la cour de l’école, un groupe de 4 garçons, 3 seins nus et un « pieds nus », s’approche de moi. Ils se poussent du coude pour savoir qui va parler. Un petit blond, un garçon de la classe d’à côté se décide finalement. - Dit, Jean-Luc, tu… Tu n’es pas vraiment nu, n’est ce pas… Tu es devenu seins nus seulement hier… - Tu as raison… mais j’ai décidé de ne plus m’habiller… et puis, Guillaume ne supporte plus d’avoir quelqu’un d’habiller à côté de lui… - C’est ce que je. nous pensions… Ils se reculent et discutent entre eux un moment. Soudain, l’un d’eux, celui qui m’a parlé hausse les épaules. Il s’écarte un peu des autres, ôte son short et le met dans la poubelle. Les autres se mettent à rire et en quelques secondes plus tard, tous les vêtements rejoignent la poubelle. Ils repassent devant moi. Le garçon me fait un clin d’œil. - Tu as raison, finalement… Ha ! J’oubliais… Tes pieds sont très beaux… je les lècherais avec plaisir… A très bientôt ! Ça au moins, c’est clair ! Je crois bon de les mettre en garde. - Attention quand même, les gars ! quand on est nu, on se contrôle plus… - Tant mieux, dit-il en haussant les épaules. Nous sommes donc 6 nus, un vrai et 5 faux, à franchir la grille de l’école. Je dois dire que nous produisons quand même notre petit effet. Les garçons qui viennent se déshabiller retourne vers le groupe de leur classe. Nous rejoignons le nôtre. Jean-Marc attaque tout de suite. - Merde, Jean-Luc, tu es gonflé, quand même ! - Ne me dit pas que tu n’as pas envie de faire la même chose ? - Si, bien sûr ! Mais quand même ! Je ne suis pas encore nu ! - Et alors ? Qui va le savoir ? Il a un comportement curieux... Son regard est fuyant. D’habitude, il ne perd pas une occasion d’observer mes pieds nus ou ceux de Guillaume... Là, on dirait qu’il les évite ! C’est Jean-Michel, qui finalement, débloque la situation. - Bon, ben moi, je crois que je vais faire comme Jean-Luc ! je ne me sens bien que nu, alors... Il arrache presque son short et cherche des yeux, une poubelle. Avant qu’il ait pu la trouver, Jean-Marc lui prend des mains. Il se débarrasse également de son short et dit. - Laisse ! je vais les mettre à la poubelle ! Jean-Marc se dirige fièrement vers la plus proche poubelle et passe devant le surveillant général qui tourne vivement la tête. Il doit bouillir intérieurement, la boule de cristal ! Ce n’est pas dans son tempérament de laisser faire n’importe quoi dans sa cour de récréation ! Jean-Michel hausse les épaules et reprend. - Le problème, c’est que, je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais, quand je suis nu, je ne me contrôle plus du tout ! Alors, cachez vos pieds nus, termine-t-il en riant. - Je ne vois que trop bien ce que tu veux dire, répondis-je. - Oui, dit Guillaume. Et c’est pour ça qu’on ne peut pas rester en plein milieu de la cour ! Guillaume se dirige immédiatement vers le fond de la cour, juste à la lisière avec la forêt. Je vois que tout est désorganisé. Le surveillant tourne en rond dans la cour et met un point d’honneur à ne pas regarder de notre côté. D’ordinaire, il ne veut voir personne dans ce coin. Aujourd’hui, Guillaume va plus loin ! Il s’engage dans la forêt ! A une trentaine de mètres, il y a une petite clairière. C’est de la que nous partons quand nous faisons un jeu de piste. On a l’impression d’être au cœur de la forêt. Il fait sombre et on n’aperçoit même pas l’école tellement les arbres sont touffus. Il est naturellement interdit de venir ici ! En temps ordinaire, c’est le colle assurée ! Guillaume a raison, personne ne viendra pas nous déranger ici de peur de tomber sur une scène qu’aucun adulte n’a apparemment envie de voir. Nous ne sommes que deux... Mais pas longtemps. Jean-Michel nous rejoint, puis Jean-Marc, les deux « Franck » qui ont laissé leur chemise et leur short à l’entrée de la clairière. Ils ne semblent pas encore prêt à se monter nus à des gens qui ne le sont pas encore. Avec nous, par contre, ça ne leur pose aucun problème ! Guillaume a commencé à se lécher les pieds presque tout de suite. Franck P n’arrive pas jusqu’au bout de la clairière et se couche sur ses pieds nus dès qu’il regarde Guillaume. Je jette juste un coup d’œil et fixe mon attention ailleurs. J’ai très envie de le faire, mais l’attitude de Jean-Marc m’intrigue et je veux en avoir le cœur net. Je l’approche de lui. Il s’est assis un peu à l’écart et regarde ailleurs. Je m’assois à ses côtés. - Jean-Marc... Q’est ce qui t’arrive ? - Mais, rien ! Ça va très bien ! - A d’autres, tu veux ! Je vois que ça ne va pas bien ! Il hausse les épaules et soupire. - Ho ! Et puis, après tout, autant que j’en parle maintenant... De toute façon, je ne pense pas que je pourrais le cacher bien longtemps ! Voilà... je ne peux plus fixer des pieds nus sans me mettre à jouir... Sans rien faire de plus ! - Alors, j’avais raison ! Quand on s’est vu, chez toi l’autre nuit, tu jouissais avant de toucher nos pieds, n’est ce pas ? - Oui, mais je ne pensais pas que tu t’en étais aperçus... C’était la première fois... Mais ça a recommencé après ! - Avec les pieds nus de qui ? - Chloé ! Quand elle est revenue de chez toi, j’étais toujours dans le jardin. Je voulais être sûr que vous étiez bien rentrés. Elle s’est assise devant moi pour me raconter le voyage et elle a croisé ses pieds nus devant elle. Je voulais lui lécher, mais je n’en ais pas eu le temps. Je me suis écroulé devant elle, paralysé par le plaisir. - Et tu as léché ses pieds, finalement ? - C’est ce que je voulais, mais elle n’a pas voulu. - Comment ça ? - Elle m’a dit qu’elle avait encore quelques principe, que ça ne durerait peut-être plus très longtemps, mais que j’étais trop jeune pour elle. C’est vrai que ses pieds nus font pratiquement le double des miens ! - Je comprends que tu fasses attention dans la cour, mais ici, tu n’as qu’à te laisser aller ! - J’avais peur que ça paraisse trop bizarre ! - Non ! Moi aussi, ça m’est arrivé, mais il faut que je fixe les pieds nus assez longtemps ! - Oui... Moi, c’est presque instantané avec certains pieds nus, comme les tiens ou ceux de Guillaume et bien sur, ceux de Chloé ! - Alors, qu’est ce que tu attends ? Il a relevé la tête et m’a sourit, puis son regard a glissé vers mes pieds nus. J’ai vu ses yeux s’agrandir, sa bouche s’ouvrir. Son sexe s’est dressé et son ventre s’est contracté. Il a serré ses mains contre son ventre et a basculé sur le côté, dans les feuilles, en gémissant doucement. Je me prépare à profiter sans vergogne de ses pieds nus quand le pied nu de Jean-Michel se pose sur ma cuisse. - Non, dit-il en s’asseyant en face de moi. Tu as léché mes pieds nus hier... et c’est normal que je m’occupe des tiens aujourd’hui... - On va faire mieux que ça ! Tu vas t’occuper des miens pendant que je m’occupe des tiens ! C’est curieux, mais j’ai l’impression que le plaisir est différent suivant les pieds nus que je lèche. Ho ! Il n’y a pas de différence frappante, mais le plaisir me semble plus fort avec Guillaume, plus profond. Avec Jean-Michel, le plaisir est plus aigu, plus piquant. Il est encore plus particulier avec les pieds de Myriam. Il faudra que je demande à Guillaume s’il ressent les même choses. Quand je reprends conscience, la clairière s’est un peu remplie ! il y a maintenant une vingtaine de garçons, tous très occupés. Jean-Michel récupère plus difficilement et balbutie. - Depuis le temps que j’attendais ça ! - Tu veux dire que mes pieds sont les premiers que tu lèches en dehors des tiens ? - Ben oui ! - Et personne n’a jamais caressé tes seins ? - Ben non ! - Alors, tu ne sais pas ! - Je ne sais pas quoi ? - Attend ! J’enjambe son corps, en passant mon pied nu très largement au-dessus de son ventre et repose les fesses sur ses cuisses. - Qu’est ce que tu fais ? Je ne réponds pas. Je prends ses pointes de seins entre mes doigts et commence à les faire rouler doucement. Je sens son ventre s’animer sous moi et son ventre se couvre de sperme. Ses yeux sont exorbités et visiblement, il ne peut même pas crier ! Je ne m’attendais pas à une réaction aussi violente ! J’insiste une dizaine de minutes. Le sentir jouir sous moi m’excite terriblement et si ça continue, je vais exploser aussi ! Je veux qu’il me caresse les seins, mais pour cela, il faut que je le libère ! J’arrête les caresses et le laisse récupérer un peu. Au moment ou je commence à me dégager, il agrippe mes poignets et il plaque mes mains sur ses seins en commençant des mouvements de frottements. Le message est clair. Je suis obligé de lui caresser la poitrine, pendant plus d’une demi-heure avant qu’il consente à me laisser me dégager. Quand je rejoins Guillaume, il y a un attroupement autour de lui. Franck R me demande. - Qu’est ce qu’il lui arrive ? On parlait tranquillement et d’un seul coup, il s’est mis à jouir, sans rien faire ! Guillaume se tordait sur le sol, encore plus violemment que dans le car ! C’était impressionnant ! je répondis. - Ho ! Ce n’est rien ! Tu vois bien, il a un orgasme, c’est tout ! - Mais il n’a rien fait ! - Je sais ! je suppose que ça nous arrivera à tous dès que nous serons nus... A midi, je ne quitte pas la clairière. Je n’ai pas faim et je suis rincé. Je n’ai pas arrêté entre mes pieds et les pieds des autres. Ils ont du tous y passer et j’en ai encore envie ! Quand j’en parle à Guillaume, il ne semble pas surpris. - C’est tout simplement que tu es en train de devenir vraiment nu ! C’est tout ! Regarde hier après midi, je n’ai pas arrêté non plus ! Je lui parle des différences de plaisir que je ressens en fonction des pieds... et lui demande ce qu’il ressent avec les miens. - C’est plus fort avec toi qu’avec les autres. Non, tu n’as pas rêvé, il y a de grosses différences ! Mais c’est Myriam qui me donne le plaisir le plus fort, mais il n’y a pas une grande différence avec toi, c’est seulement beaucoup plus aigu avec elle. - Oui, pour moi c’est pareil... j’aimerais qu’elle soit là... - Moi aussi... On pourrait l’emmener, demain ? - Je crois qu’il faut attendre qu’il y ait plus de nus, de vrais nus. - Tu as peut être raison... de toute façon, je ne pourrais pas rester chez toi bien longtemps... Avant que je réagisse, il précise. - Et toi non plus ! Ta propre chambre te sera bientôt interdite ! D’ailleurs, on rentre à pied ce soir ! Pas de car ! trop de tissu L’après midi se déroule aussi bien que le matin. Jean-Michel me tanne pour que je lui caresse les seins, plusieurs fois. Ma parole, il devient accro !


Aggravation.[modifier]

La cloche signalant la fin des cours a sonné depuis longtemps, et nous sommes toujours dans la clairière. Il a encore quelques jours, je détallais dès le premier son ! S’il n’y avait pas Myriam à la maison, nous resterions bien là toute la nuit. Guillaume donne le signal du départ. Nous traversons la cour. Il ne reste plus grand monde, mais je ressens comme un malaise en croisant les garçons habillés. Guillaume s’en aperçoit et me dit. - Ha ! Je vois que tu commences à comprendre de que c’est que d’être vraiment nu ! - Voir quelqu’un d’habiller me donne la chair de poule… Tu crois que je suis… - Nu ? Bien sûr ! Tu es plus nu que tu ne l’as jamais été ! C’est dans notre état que le mot nudité prend toute sa signification. - J’espère qu’ils ne trouveront jamais le moyen de nous guérir ! - Je suis bien d’accord avec toi ! Des professeurs sont à la fenêtre de la cantine où doit se tenir une réunion. Ils nous regardent passer et ont l’air de faire pas mal de commentaires. Nous prenons la route. Guillaume marche soigneusement dans l’herbe, sur le bord de la route. Ça m’étonne, lui qui aime tant sentir les gravillons sous ses pieds nus ! je ne résiste pas à l’envie de lui poser la question. - Bien entendu que j’adore ça, mais si tu veux arriver avant la nuit, il vaut mieux que je marche dans l’herbe ! - Tu rigoles, là ! - Ho ! non ! tu vois, avant d’être complètement nu, marcher sur les gravillons m’excitait terriblement, maintenant, ça me fait beaucoup plus que ça ! D’ailleurs, tu devrais commencer à faire attention, tu sais… - Ça ne serait pas pour me déplaire… Tu crois que je vais avoir des orgasmes sans rien faire comme toi ? - C’est pratiquement certain ! Myriam en a, j’en ai… et tu es nu, maintenant ! Nous arrivons à LA MOTTE, sans problème, enfin, nous léchons mutuellement nos pieds nus juste une fois. C’est dans la côte qui monte vers CLAVEYSON que Guillaume s’était écroulé en hurlant et en serrant son ventre à pleines mains. La crise avait duré lus de 10 minutes. Elle avait immédiatement été suivie d’une deuxième, un peu plus courte. Je ne savais plus trop quoi faire. Il était couvert de sperme, et son sexe continuait à en expulser. Il avait eu beaucoup de mal à récupérer et nous étions arrivés à plus de 7 heures. Sans nous concerter, on s’était précipité sur les pieds nus de Myriam. Guillaume avait raison, le plaisir était considérablement plus fort maintenant que j’étais nu ! un bon moment plus tard, j’expliquais à Myriam ce qui était arrivé à guillaume sur le chemin du retour. - Ho ! ce n’est rien ! je crois que j’ai eu au moins 6 ou 7 crises aujourd’hui ! remarque, je ne compte plus ! Ensuite ne sais plus trop… je me rappelle juste d’avoir joui plusieurs fois, car des orgasmes comme les nôtres, on ne peut pas les oublier, mais j’étais complètement rincé ! C’est un orgasme qui me réveilla le lendemain matin et celui là, je n’avais rien fait plus l’avoir ! Je m’entendais crier, mais je ne pouvais pas m’arrêter ! Au moins, quand le léchais les pieds nus, les miens ou d’autres, j’avais un point de repère, un ancrage ! Là, rien ! J’essayais de m’accrocher à quelque chose ou à quelqu’un, mais il n’y avait rien ! J’étais seul avec mon plaisir ! Quand je réussis à m’arrêter de crier, guillaume et Myriam me regardait en souriant. - Bienvenu au club, lance Guillaume. Je m’adosse à la cloison. C’est comme si je continuais à sentir l’ombre du plaisir dans mon ventre. Je comprends maintenant pourquoi guillaume avait du mal à descendre du car hier matin. Il me faudrait plusieurs minutes avant de pouvoir me lever ! Il est tôt et j’ai une petite faim quand même. Il reste plus de deux heures avant de partir à l’école. Je rendre doucement par ma chambre et je crois que je vais m’évanouir. Le tissu m’oppresse de toute part ! J’étouffe et ma peau me brûle ! dans la cuisine, ça va un peu mieux mais je ressors par la porte de devant pour ne pas avoir à retraverser ma chambre. Quand j’arrive à la dépendance avec du pain et quelques fruits, Guillaume est prostré à l’entrée. Il regarde fixement dans le fond de la petite pièce. De loin, je vois le corps de Myriam s’agiter. Sans savoir, je lance. - Myriam a une crise ? - Je crois que c’est pire que ça, répond Guillaume d’une voix blanche. - Pourquoi ? Qu’est ce qui c’est passé ? Il ne répond pas et je dois le secouer gentiment pour le faire réagir. Enfin, il se décide. - Je… J’ai mis un pied nu sur… sur le ventre de Myriam… - Quoi ! - Je ne l’ai pas fait exprès ! Depuis, elle jouit, mais très, très fort ! C’est impressionnant et je n’ose pas l’approcher. Je lâche mes provisions et me précipite à son chevet. Guillaume me suit en répétant. - C’est ma faute ! Mais elle jouait à me chatouiller les pieds et je me suis défendu par réflexe, pour rire… et… et voilà ! C’est impressionnant, en effet, mais en même temps, fascinant ! Elle s’est griffé le ventre et les seins. Son corps ondule en permanence. Son ventre et légèrement gonflé et de violent spasmes le déforme à intervalles réguliers. Par moments, son corps se tend comme un arc, et seules ses fesses reposent sur le sol. Quand son corps se détend, ce sont ses talons et sa tête qui supporte le corps. Ses yeux sont révulsés et un filet de salive coule de ses lèvres. Le plaisir à l’état pur ! Ça m’excite terriblement. Guillaume également, et ça se voit ! Nous essayons de la maintenir, mais ses gestes sont beaucoup trop violents. L’envie de mettre un des pieds nus de Myriam sur mon ventre m’effleure un moment et j’empêche Guillaume de le faire in extremis ! - Non, Guillaume ! Attend au moins de voir ce qui arrive ! Moi aussi j’en ai très envie ! Visiblement son orgasme est plus fort que tout ce que l’on connaît - J’ai ai trop envie ! Pour le calmer, je lui offre mes pieds nus, en prenant soin de ne pas les approcher de son ventre. Ensuite, je m’approche de Myriam pour essayer de contenir ses gestes. C’est impossible. Ils sont trop violents et elle semble douée d’une force extraordinaire. Ne voulant pas m’avouer vaincu aussi facilement, j’essaye de m’allonger sur elle. Je suis ballotté de toute part et quand mon ventre se colle au sein, je sens des dards de plaisir assiéger mon bas ventre. Ce plaisir n’est pas vraiment le mien ! La sensation est tout à fait particulière, nouvelle. Le plaisir enfle rapidement et l’orgasme investit mon ventre. Je roule sur le côté en serrant mon ventre à deux mains. Le plaisir est vif, piquant ! Peu à peu, mon propre plaisir reprend ses droits, plus profond et plus sourd. Guillaume se fout à moitié de moi ! - Ce n’était pas le bon moment pour faire ça ! Rigole-t-il. - Ce n’est pas ce que tu crois, Guillaume ! C’est elle qui m’a fait jouir ! C’est son plaisir qui est entré dans mon ventre ! - Mais non ! C’est sans doute le hasard ! Tu as eu une crise au mauvais moment, c’est tout ! - Essaye, puisque tu ne me crois pas ! Colle ton ventre au sien ! On verra bien ! Il hausse les épaules et s’approche de Myriam. Evitant ses gestes incontrôlés, il se glisse sur elle et sans hésitation, colle son ventre sur le sien. L’effet ne se fait pas attendre ! J’avais raison ! Un rictus de plaisir inhabituel déforme son visage. Contrairement à moi, il essaye de s’agripper à Myriam pour maintenir le contact, mais ses mouvements additionnés à ceux de Myriam le rejettent littéralement sur le côté. Comme moi, il met plusieurs minutes à se calmer. Soudain, Myriam ne bouge plus ! Son corps semble parfaitement immobile, du moins, à première vue. En regardant mieux, je vois que des spasmes déforment toujours son ventre gonflé. Pour moi, elle s’est évanouie. On ne doit pas pouvoir jouir comme ça indéfiniment ! Vers minuit, son corps recommence à s’agiter violemment. J’allume la lampe ! Cette fois, elle semble consciente. Ses yeux brillent et elle essaye de parler, sans y parvenir. L’orgasme se calme en quelques minutes et sa respiration devient paisible. Guillaume est venu me rejoindre et elle nous regarde avec un mince sourire. - Et ben ! Tu peux dire que tu nous as fait peur ! Dis-je - Salut ! Répond-elle tout doucement. - Alors ? demande Guillaume, impatient Elle humecte ses lèvres très lentement et prononce dans un souffle. - Merveilleux... - Tu vas nous raconter tout ça ! Tu veux que je t’aide à t’asseoir ? - Non ! je ne pourrais pas... si je bouge, je ne pourrais plus parler... - Pourquoi ? - Ça va me faire jouir... Je... Je suis au bord de l’orgasme... - Là ? Maintenant ? - Oui... C’est pour ça que j’ai du mal à parler... - Que peut-on faire ? demande Guillaume Elle serre les dents, et sa poitrine se soulève. Elle ne répond pas immédiatement. Elle pousse un soupir et reprend difficilement. - J’ai... J’ai juste voulu bouger une jambe pour que mes pieds se touchent... Et j’ai failli déclencher un orgasme... Je prends ses chevilles et rapproche ses pieds nus. - Merci, dit-elle. Ça me manquait... - Mais que faut-il que l’on fasse, insiste Guillaume. - Mettez-vous... Mutuellement vos pieds nus sur le ventre. C’est pur plaisir... Jamais connu ça... ne perdez pas de temps... trop dommage. Son élocution devient très difficile. Elle termine en un souffle. - Fatiguée... Sommeil... Elle dort notre Myriam ! Tout simplement ! Nous nous rendormons également.

Dispersion.[modifier]

Je me réveille à l’aube, tiré du sommeil par une violente crise. Décidément, ça devient une habitude ! Myriam, juste à côté de moi vient également de jouir. Elle semble plus mobile. Elle tourne la tête et me sourit. - Merci, Jean-Luc ! - Merci ? Mais de quoi ? - De ce délicieux orgasme matinal ! J’ai senti ton plaisir, et ça a déclenché le mien ! C’est vraiment délicieux, la phase deux, comme dit ton toubib ! Tu n’as pas encore mis le pied nu de Guillaume ou le mien sur ton ventre ? - Non... pas encore, intervient Guillaume - Qu’est ce que vous attendez tous les deux ! Faites-le vite ! Finalement, je suis très près de me laisser tenter... je regarde les pieds de Guillaume et fait le geste d’en saisir un. Il le retire brusquement. Je reste interdit. - Non ! Dit-il avec force ! - Il faudrait savoir ce que tu veux, dis-je presque en colère ! Les pieds nus de Myriam m’attirent beaucoup, mais ce sont les pieds de Guillaume que j’ai léché en premier et ce sont ceux là que je veux sur mon ventre ! - Ne te fâche pas, Jean-Luc ! Ce n’est pas ce que tu crois ! Moi aussi ce sont tes pieds nus que je veux sur mon ventre, et aucun autre, mais je ne pense pas qu’il faille le faire de cette façon. - Alors, explique-toi ! Dis-je en me radoucissant un peu. - J’y pense depuis un moment, mais je pense qu’il faut en faire profiter tout le monde. Il y aura beaucoup de nus aujourd’hui à la clairière... Tu penses que tu arriveras à marcher ? Demande-t-il à Myriam. Elle dresse lentement sur les coudes. - Peut-être dans quelques heures, mais pas toute seule... - Le plaisir est moins fort ? demande Guillaume - Pas du tout ! Je crois que c’est le contraire... Il grandit à chaque minute, mais j’apprends à le supporter... Mais de là à pouvoir marcher, c’est une autre paire de manches. - J’ai une idée ! m’exclamais-je - Ho ! Un scoop, raille Guillaume. - Chloé ! - Ben quoi, Chloé ? - Son scooter ! Voyons ! Ton idée, c’est bien d’emmener Myriam à la clairière, non ? - Oui, bien sûr ! - Alors, en scooter, ça ira tout seul ! - Hé ! Pas mal ! Mais comment joindre Chloé ? - Je vais téléphoner à Jean-Marc ! - Si tu peux entrer dans la maison... - C’est vrai... et je vais le savoir tout de suite ! Je décide d’entrer par le devant. Traverser ma chambre m’apparaît comme une tâche insurmontable. Heureusement, le téléphone est dans le hall. Ma peau me brûle littéralement ! Pourtant, il n’y a pas beaucoup de tissu dans la pièce ! J’espère que c’est Jean-Marc qui va répondre et que ça va aller vite. Je ne tiendrais pas longtemps. A cette heure-ci, son père doit être déjà parti et sa mère encore en train de dormir. Ça sonne... ça décroche... C’est Jean-Marc ! En quelques mots, je lui explique notre projet. Ça l’emballe ! il dit qu’il a plein de chose à me raconter ! Il termine fièrement en disant : « J’ai goûté aux pieds nus de Chloé ! » Je quitte la maison avec soulagement. Quelque chose me dit que je ne pourrais plus jamais entrer dans une maison... - C’est OK ! Si tout se passe bien, Chloé sera là dans une heure ! La nouvelle est fort bien accueillie ! Myriam se remet à jouir en voulant s’adosser seule à la cloison. Elle jouit quand même très facilement et j’ai hâte d’être comme elle, mais ça risque de poser un problème de transport... Il faut en parler ! - Sur le scooter, il faudra y aller très doucement, dis-je. - Pourquoi, demande Guillaume. - Si Myriam a une crise, elle va entraîner Chloé avec elle, probablement... Regarde, nous, hier soir ! - Tu as raison... Myriam, sens-tu monter les crises ? - Parfois oui, mais parfois non... On aura qu’à rouler doucement ! Chloé arrive sans bruit. Elle a poussé le scooter, un scooter singulièrement transformé ! La selle a disparu, remplacée par une planche de bois. Terminée, l’immense cape de Chloé, elle est entièrement nue. Sans sa cape, elle me paraît encore plus grande ! Ma bouche doit arriver à la hauteur de ses seins... Chloé examine attentivement Myriam. - Alors, ça y est ! Tu as sauté le pas ! J’ai failli le faire une dizaine de fois, mais j’ai reculé au dernier moment... Alors, c’est comment ? - A faire de toute urgence ! S’écrit Myriam ! - Je me doutais de ça ! Je n’ai jamais eu vraiment confiance en le discourt des toubibs ! Leur but est de nous guérir, et je n’ai aucune envie de guérir, avant que la phase deux fasse trop de ravages. C’est uniquement pour ça qu’ils ont essayé de nous faire peur ! - Et tu crois qu’ils peuvent réussir, demandais-je. - Ils ont une chance, en effet... j’ai lu un truc là dessus à la fac ! Ils ont réussi à ramener des nus au stade pieds nus, mais ils n’arrivent pas à aller plus loin et dès qu’ils arrêtent le traitement, la nudité reprend le dessus. C’est pour cela que ton idée est excellente, Guillaume. Une fois au stade deux, ils ne peuvent plus rien faire... Et ils le savent très bien ! La nudité devient définitive... - Tu as l’air d’en connaître des choses... - Je ne suis pas en fac de médecine pour rien, même si ce n’est que ma première année ! La nudité devient définitive et il n’y a plus rien à faire. - Ça ne doit pas être facile tous les jours à la fac, intervient Myriam. D’après ce que je sais, il n’y a pas beaucoup de personne de ton age, touchés... - Tu as raison... mais c’est en train de changer. Moi, je suis presque un cas particulier... ça a commencé en même temps que vous, mais quand j’ai quitter la fac... Et oui, ce n’est pas comme dans les écoles... Ils faisaient déjà la gueule de me voir seins nus, mais ils n’ont pas accepté de me voir entièrement nue, même quand je pouvais encore porter la cape... Et bien, quand je suis partie, plusieurs de mes copines étaient pieds nus ou en passe de l’être... - Et ils ont seulement essayé de nous faire peur, alors ! - C’est la conclusion à laquelle nous étions arrivés à la fac, oui ! Et tu en es la preuve vivante, non ? Tu vas pouvoir te lever ? - Si on m’aide à m’asseoir sur la selle, ça devrait aller... Je crois le moment opportun pour faire une nouvelle fois une mise en garde. - Attention, Chloé, tu vas être collé à elle pendant le voyage... - Ben, oui, je vais l’installer devant moi, comme ça, je pourrais la maintenir... - Mais il faut que tu saches que si elle a une crise, tu en auras une également... En quelques phrases, j’explique à Chloé notre aventure et elle semble très incrédule. - Je demande à tester ! C’est vous n’avez pas rêvé, c’est plutôt super, non ? - Mais ça peut être dangereux sur le scooter ! - Je te l’accorde... Tu jouis en ce moment, Myriam ? - Pour moi, non, mais je ressens en permanence que qui pour toi serait un orgasme, en effet... - Alors, je vais en avoir le cœur net avant de partir ! Elle s’approche de Myriam. Elle s’assoit à califourchon sur les cuisses de Myriam et approche lentement son ventre. Elles se mettent toutes les deux à s’agiter en se serrant mutuellement. Chloé se met à hurler tandis que Myriam gémit doucement. Finalement, Chloé décroche. Le plaisir devient plus fort que ce qu’elle peut supporter. Elle s’effondre sur le coté en serrant son ventre et en continuant à crier. Elle récupère assez vite, mais ses yeux restent brillants. - Bon ! On ne traîne pas ! Je tiens à avoir des pieds nus sur le ventre avant midi ! Il faut seulement que je ne me colle pas à elle ! Finalement, nous installons Myriam sur le marchepied, puis Chloé s’assoit sur la planche et cale ses pieds nus de chaque coté de Myriam. - Ça ira, déclare-t-elle. On n’en a pas pour longtemps. - J’espère, dit Myriam, car la proximité de tes pieds nus augment considérablement mon plaisir... je ne vais pas tenir longtemps ! - On fonce alors ! - Tu sais exactement ou c’est ? demandais-je - Ho ! Oui ! Jean-Marc me l’a expliqué au moins quatre fois ! Le scooter part en roue libre et j’entends le moteur démarrer. Avec Guillaume, nous parton à pied. J’ai ma deuxième crise de la journée au bout du chemin de terre et Guillaume en profite, naturellement, pour me lécher les pieds. Nous arrivons à quelques centaines de mètres de la clairière, sans passer par la cours de l’école, en traversant la forêt, quand c’est au tour de Guillaume de s’écrouler sur le bord du chemin. Il y deux crises de suite, très violentes. La clairière est noire de monde ! Il y a au moins 150 garçons ! Notre classe, enfin une partie, mais aussi beaucoup de garçon des autres classes ! Chloé et Myriam ne sont pas là ! Je commence à baliser ! Au même moment, j’entends un moteur derrière nous. Le scooter arrive doucement. - Alors ? Où étiez vous ? - Nous avons du faire un arrêt d’urgence, explique Chloé. - J’ai eu une crise... Un peu bizarre... précise Myriam. - Bizarre ? Demande Guillaume. - Oui... J’ai eu besoin des pieds de Chloé sur mon ventre. J’ai failli les mettre sur mon ventre en roulant, mais Chloé a réussi à s’arrêter en catastrophe... C’est horriblement délicieux la première fois, mais c’est fantastique après ! - Et après, il a fallu remonter Myriam sur le scooter... ça n’a pas été une mince affaire, termine Chloé. Guillaume est accueilli à bras ouverts. Pour tous, c’est le premier nu, mais la beauté de ses pieds n’y est pas étrangère. Je soutiens Myriam avec Chloé, mais elle nous arrête en entrant dans la clairière. - N’approchez pas trop près des garçons qui jouissent... Même d’ici, je sens déjà une bonne dizaine de plaisirs différents. Si j’approche trop près, ça déclenchera mon plaisir... Nous trouvons un coin dégagé pour asseoir Myriam. Dans la clairière, c’est la folie. Des dizaines de garçons se lèchent mutuellement les pieds nus. Il y a même un groupe ou ils sont quatre à se lécher les pieds en formant un cercle. D’autres se font caresser les seins, comme Jean-Michel, mais ça ne me surprend pas ! Guillaume s’avance au centre de la clairière et demande l’attention des garçons. Il faut près d’une dizaine de minutes pour que tout le monde soit en état d’écouter. - Voilà... Nous avons tous de plus en plus besoin de pieds nus et de plaisir, n’est ce pas ? Un brouhaha approbateur lui répond. - Il n’y a qu’une solution pour satisfaire notre envie... Se mettre un pied nu sur le ventre... L’assistance réagit plutôt favorablement, contrairement à mon attente. Il faut croire que la propagande des adultes n’est pas aussi efficace que ça... Guillaume, encouragé poursuit. - Je suis certain que beaucoup d’entre vous ont plusieurs fois dû résister à la tentation de le faire... le doute, la peur engendrée par les adultes et cette interdiction... Il laisse ses paroles produire leur effet. - Je vous apporte à tous, la preuve, aujourd’hui qu’il n’y a aucune raison d’avoir peur ! Il montre Myriam du doigt. - La preuve... la voici ! Il n’est rien arrivé de dramatique à Myriam quand j’ai mis mon pied nu sur son ventre ! Bien au contraire... Son plaisir n’a jamais été aussi fort, a tel point qu’elle ne peut plus se lever sans déclencher un orgasme ! Ça, ça produit son effet. Il me semble que certains regards cherchent les pieds nus les plus proche de leur ventre. Il enfonce le clou. - Combien d’entre vous veulent être guéris et retrouve leur vie d’avant ? Personne de bouge... - J’ai appris que les adultes seront dans quelques jours en mesure de nous guérir totalement. Plus de nudité, plus de pieds nus, plus de Plaisir ! Là, il pousse un peu, mais c’est vrai que c’est une possibilité. - La seule façon d’échapper à la guérison, c’est de mettre un pied nu sur notre ventre... Aujourd’hui... Ici... Tous ensemble ! Je ne sais pas si Guillaume est spécialement convaincant ou s’ils ne demandent qu’à être convaincus, mais tout le monde approuve chaleureusement. Je vois même certains pieds nus se diriger vers un ventre ! L’atmosphère devient explosive.

Phase 2.[modifier]

J’entends les premiers hurlements. A côté de moi, Myriam se met à haleter et à gémir. Des garçons gonflent le ventre et attendent le pied nu ! Guillaume se trouve pris dans une marée de ventres nus. Il en touche plusieurs mais il vient vers moi ! C’est le principal. Comme les autres, je gonfle le ventre et lui présente. - Allonge-toi ! On va le faire ensemble ! Je suis en train de m’installer quand les premiers adultes débarquent dans la clairière. Il est trop tard. Les trois quarts des garçons se tordent déjà de plaisir sur le sol. Ils enlèvent rageusement les pieds nus restés sur les ventres, mais le mal ou plutôt le bien est fait ! Comment ont-ils su ? C’est vrai que la cour doit être singulièrement vide ! Sur 250 élèves, quand il en manque 150, ça fait un trou ! Le pied nu de Guillaume est juste au dessus de mon ventre, le mien pend au-dessus du sien. Nos sexes sont dressés par un fantastique embrasement. Juste à côte de nous, je vois que Chloé a récupéré Jean-Marc dans la mêlée. Jean-Marc est allongé sur le sol, le ventre aussi gonflé qu’il le peut. Sans hésiter une seconde, Chloé y plaque un pied nu. Au moment ou deux adultes tentent de la ceinturer, elle plonge vers le sol, le ventre en avant et atterrit sur les pieds nus de Jean-Marc. Nous laissons tomber nos pieds nus en même temps sous le regard horrifié des deux adultes qui viennent déjà de rater Chloé. C’est comme si le pied nu de Guillaume entrait comme dans du beurre ! il frotte la boule de jouissance au fond de mon ventre et la fait éclater ! Le plaisir se répand comme une cascade. Bien sûr, le centre en est toujours le ventre, mais il diffuse dans chaque cellule de mon corps. Chaque millimètre de ma peau est le siège d’une véritable tempête ! Je suis le plaisir ! Quelques gémissements. Aucun bruit. J’ouvre un œil. J’ai du mal à respirer. A chaque fois que j’inspire, j’ai l’impression que le formidable plaisir qui a désormais élu domicile dans mon ventre va exploser, me dispersant aux quatre coins de la clairière. Je tourne la tête un peu trop violemment, et c’est fatal ! L’orgasme explose encore plus puissant ! Le vrai plaisir émerge brusquement de l’océan de jouissance qui ravage mon ventre. Avant de sombrer dans une sorte de folie extatique, je pense comprendre. Comme Myriam, je suis devenu réceptif aux plaisirs des autres ! Ils se mélangent si bien au mien que j’ai du mal à faire la différence ! Je fais surface à intervalle régulier, pour retomber presque immédiatement dans le plus profond des orgasmes. Je regarde Guillaume. Lui aussi a compris. Si nous voulons récupérer un peu de notre mobilité, il faut s’écarter des autres. Lentement, mètre par mètre, je rampe vers les arbres. Je sens mon plaisir émerger petit à petit, s’affranchissant des autres. Peu de temps, car l’arrive de Guillaume ne coupe presque le souffle. Son plaisir est d’une puissance, d’une force extraordinaire ! Beaucoup d’autres ont compris ! La clairière se vide peu à peu et les garçons s’éparpillent dans la forêt. Il va nous falloir apprendre à vivre autrement ! Si nous restons en groupe, nous nous condamnons à un orgasme permanent. En s’écartant d’un petit mètre, chacun retrouve son autonomie. Sauf avec Guillaume, l’influence de son plaisir et d’au moins deux mètres ! Mais nous avons besoin de contact ! Alors, les groupes se reforment, plus petits. Chloé remarque immédiatement la particularité de Guillaume. - Dis donc ! Tu dégages une force extraordinaire ! Nous ne retrouvons une relative autonomie que 3 jours plus tard. L’accès à l’école est bouché par du grillage et des barbelés. Une cinquantaine de nos camarades, sur les 100 qu’il reste, sont donc prisonniers. D’après Chloé, nous ne craignons plus rien. Nous n’intéressons plus les adultes. Ils ne peuvent plus rien pour nous. Guillaume reste un cas... l’aura de plaisir qui l’entoure ne cesse de se renforcer. Même moi j’ai du mal à l’approcher sans me trouver immédiatement au bord de l’orgasme et pourtant, je passe le plus clair de mon temps à ses côtés. J’ai besoin de lui et il semble avoir besoin de ma présence. Des liens inaltérables se sont formés pendant le passage à la phase deux. Deux garçons de ma classe, par exemple, doivent impérativement rester ensemble. Dès qu’ils s’éloignent l’un de l’autre, ils sont en manque, comme un drogué sans sa dose. En fait, ils ne se sentent vraiment bien que quand leurs pieds nus se touchent ! Jean-Michel ne se sent vraiment bien, que quand il a une main posé sur la poitrine. Le reste du temps, il est dans un état de léthargie donc pratiquement rien ne peut le faire sortir. Il ne s’est jamais remis que la découverte du plaisir que pouvaient donner ses seins et que je lui ai fait découvrir. Ce que j’ai appris plus tard, c’est depuis ce moment, les garçons restant à l’internat le soir devaient se relayer pour lui caresser régulièrement la poitrine. Il en avait un besoin quasi-vital ! La particularité de Jean-Marc n’a pas disparu avec le passage à la phase deux ! Elle a même sérieusement empiré ! Un simple coup d’œil sur certains pieds nus suffit maintenant à le faire jouir ! Heureusement, tous les pieds nus ne produisent pas cet effet, mais il reste très sensible aux miens, à ceux de Myriam, et naturellement à ceux de Chloé et de Guillaume. Myriam est toujours une fervente adepte de la position « pieds nus sur le ventre » et de toute façon, elle ne peut plus faire autrement. Un de ses pieds nus doit, obligatoirement, rester sur son ventre. Elle adorait déjà cela avant la transformation, mais lors de la transformation générale, plusieurs garçons ont choisi ses pieds nus, et l’effet s’en est trouvé décuplé. Deux de ses garçons ont d’ailleurs la même obligation. Nous nous sommes bien vite aperçus que nous restions lié par des liens privilégiés avec la personne qui avait mis un pied nu sur notre ventre lors du passage à la phase deux et également lié à la personne à qui nous avions mis notre pied nu sur le ventre. Généralement, c’était la même personne, mais pas toujours ! Dans la mêlée, il s’était passé des choses bizarres ! Ainsi, Guillaume avait 5 transformations à son actif, des garçons qu’il ne connaissait pas avant, mais qu’il montrait du doigt sans hésitation. - Une petite partie de leur plaisir reste en moi, je ne peux pas me tromper ! Disait-il. Je pensais qu’avec le temps, nous retrouverions tous, la capacité à nous déplacer normalement au bout de quelques jours... C’était sans compter avec l’augmentation constante du plaisir. Le plaisir était de plus en plus fort ! Ce que je préférais, moi, c’était que quelqu’un mette ses pieds nus sur mon ventre. C’est ce qui me donnait les orgasmes les plus puissants et les plus longs... Mais comment continuer à utiliser le mot « orgasme » alors ce que nous sentons dans notre ventre en permanence est déjà considérablement plus fort que les orgasmes de nos anciennes masturbations ! La vie s’organise petit à petit. Alors que j’avais un solide appétit avant, je me contentais de grignoter une fois tous les deux jours et ça me suffisant largement. Les cerises étaient précoces cette année et nous faisons des razzias dans les vergés du coin, car inutile d’essayer d’entrer dans une maison pour chaparder quoi que ce soit ! Les maisons nous sont à jamais interdites ! La présence du tissu nous révulse à plusieurs mètres ! Je passe généralement plusieurs heures par jours aux pieds de Guillaume ou à lui lécher ou à les mettre sur mon ventre. Nous regarder suffit au bonheur de Jean-Marc ! Je passe aussi un moment à caresser les seins de Jean-Michel... Après tout, c’est de ma faute si il est comme ça, mais il ne se passe pas une journée sans qu’il m’en remercie ! Il m’est d’ailleurs devenu très difficile de le faire ! Les caresses déclenchent immédiatement son plaisir et son plaisir provoque instantanément le mien. Malgré la présence de tous ces pieds nus, l’obligation que nous avons envers les nôtres demeure ! Je suis obligé de lécher les miens 5 ou 6 fois dans la journée, quelques fois plus ! Deux des garçons le font plus de 20 à 30 fois par jour ! Un véritable esclavage, mais ils sont loin de s’en plaindre ! Tout cela, sans compter les orgasmes qui se déclenchent sans que je ne fasse rien de particulier... de 3 à 10 dans la journée ! J’ai remarqué que plus je passe de temps avec Guillaume et plus ils sont nombreux. Sans compter les orgasmes déclenches par les garçons qui se mettent à jouir dans mon environnement immédiat. Pour ceux qui en veulent encore plus, nous avons réservé le centre de la clairière. Le garçon qui sent monter une crise, une envie de se lécher les pieds doit s’y rendre. C’est une règle que nous essayons de respecter, mais ce n’est pas toujours facile ! Par moments, les crises ne préviennent pas ! Il y a là, en permanence au moins une dizaine de garçon. Dans ce cercle, le plaisir s’auto-alimente et ne cesse jamais. Il faut ramper sur le sol pour sortir du cercle comme pour y entrer. Il m’arrive souvent d’y entrer, sans sentir monter de crise. Les journées et les nuits sont bien remplies. Les journées passent vite, presque trop vite ! Un certain nombre d’entre nous ne remarcheront jamais... Le plaisir de Guillaume augmente trop vite pour qu’il puisse le contrôler. Il n’essaye d’ailleurs même plus. Quand je reste à ses pieds un moment, il me faut au moins une heure pour pouvoir me lever sans déclencher d’orgasme. Myriam et les deux garçons qu’elle a transformés ne remarcheront jamais non plus. Garder en permanence un pied nu sur le ventre interdit la position debout. En fait, je ne suis pas sûr de pouvoir transcrire avec des mots l’atmosphère qui règne dans la clairière et aux allants tours. Il n’existe peut-être pas de mots pour décrire l’absolu plaisir de tous les instants, qui flotte en ce lieu ! Imaginez-vous, au bord de l’orgasme en permanence, sensibles aux orgasmes des autres personnes autour de vous et avez constamment les mots « pieds nus » qui danse dans votre tête... La routine s’installe... Par moments, je ne me souviens même plus qu’il existe un monde à l’extérieur de la forêt... Jusqu’au jour ou, un matin, débarque un nu que personne ne connaît. Il a une dizaine d’années et se déplace très vite. Il n’a pas encore atteint la phase deux !


Invasion[modifier]

Le garçon reste à la lisière de la clairière un moment, fasciné ! Ses yeux sont grand ouverts et il n’en perd pas une miette. Son regard va de droite à gauche un moment puis, il porte lentement les mains à son ventre, ses genoux plient et il s’écroule dans les feuilles en jouissant. Etant presque à côté de lui, je m’attends à moi aussi m’écrouler ! Il n’en est rien ! Je sens très bien son plaisir, mais il est trop faible pour déclencher un orgasme. Notre plaisir aurait-il progressé à ce point ! Quand il se relève, il me supplie pour que je mette immédiatement un de mes pieds nus sur son ventre, mais je lui fais comprendre que je préfère qu’il nous donne des nouvelles du monde extérieur avant. Nous nous regroupons autour de lui et nous l’engageons à raconter son histoire. - Je ne suis enfuit de chez moi il y a deux jours. Avant d’être enfermé, j’avais entendu parlé de votre groupe par des copains. Il paraît qu’il en existe d’autres, mais celui-ci est le plus proche. - Quel jour sommes-nous ? Demande Guillaume - Le 23 juin, je crois Le 23 juin ! Il s’est passé plus d’un mois ! C’est incroyable ! Pour moi, il y a seulement quelques jours, que nous sommes ici ! Le temps n’aurait-il plus la même valeur ? - Tu étais enfermé tout seul ? - Oui... Mes parents m’ont enfermé, il y a trois semaines, environ. Nous devions nous retrouver le soir même, avec des copains pour... Mettre nos pieds nus sur nos ventres... Je crois qu’il n’y a plus un seul nu en liberté dans le département. Ho ! Je ne manquais de rien... radio, télévision, tout ! Mais seul ! Ça va durer longtemps vos questions ! Je rêve de sentir un pied nu sur mon ventre depuis 3 semaines ! - Un peu de patience ! Je te promets que tu ne le regretteras pas ! brosse-nous un tableau de ce qui se passe à l’extérieur... - Après ce qui vous est arrivé... enfin, ce que vous avez fait, ils n’ont pas mis longtemps à réagir ! Ils ont immédiatement enfermé tous les nus, y compris ceux qui ne s’habillaient plus sans être vraiment nus ! J’étais encore seulement pieds nus, à ce moment. Vous avez fait la une de tous les journaux ! Leur plus gros coup a été de neutraliser vos copines ! - Nos copines ? - Ben oui ! Les filles de l’école de CHATEAUNEUF ! Deux seulement sur les 300 ont réussi à plonger sur un pied nu. Ils les ont coincés en pleine nuit ! - Trois cent nues ! - Quand ils ont commencé à nous enfermer, quelques nus ont réussi à gagner les forêts et ont formé des groupes comme le votre, mais nettement moins importants. D’autres se sont mutuellement mit un pied nu sur le ventre là ou ils étaient. Ceux là ont été déposés à la lisière des forêts. Les dortoirs en été transformé en prison, les gymnases, les cantines.... Les nus se voient, mais ne peuvent pas se toucher ! Il paraît que c’est l’enfer ! Moi, j’avais la chance d’être enfermé tout seul, si on peut appeler ça de la chance, dans une cabane aménagée par mes parents. - Tout le monde est enfermé, alors ? Chloé se lève précipitamment et s’éloigne de quelques pas avant de s’écrouler, les mains serrées sur son ventre. - Oui, dès que les garçons ou les filles sont proches de la nudité, ils sont enfermés... - Il y encore des pieds nus ? - Oui, bien sûr ! Des nouveaux cas tous les jours ! C’est que la nudité ne touche plus seulement la Drôme, mais tous les départements autour ! La progression est nettement moins rapide dans les autres départements, mais elle touche presque autant de personnes. Enfin, il n’y a pas beaucoup de nus encore, car ils peuvent rester pieds nus pendant plusieurs semaines avant de devenir seins nus ! - Et toi, comme t’es-tu laissé enfermer ! - C’est bête ! Nous pensions être plus malins que tout le monde... nous était tout un groupe de garçons et de filles, presque au même niveau de nudité. Quand on a commencé à ne plus pouvoir supporter jupes ou shorts, on a insisté... C’était très désagréable, mais on pensait vraiment tromper tout le monde. Pour les filles, était plus facile car la jupe ne touche pas le sexe... Quand on n’en pouvait vraiment plus, on a décidé de partir en forêt... Le soir, à la nuit, je suis parti nu. Mon père m’attendait à la porte... Voilà ! Je peux maintenant ? - Une dernière question, demanda Guillaume. Tu ferais partie d’une équipe pour aller mettre tes pieds nus sur le ventre de tes copains et de tes copines enfermées ? - Bien sûr ! - Ok... Alors, tu veux choisir les pieds nus que tu veux voir sur ton ventre... Son visage s’éclaire soudain. Son regard navigue de gauche à droite, puis revient sur les pieds nus de Guillaume qu’il n’a guère quitté pendant la conversation. Guillaume sourit et lui présente ses pieds nus, légèrement écartés. Juste l’emplacement pour son ventre ! Il se met à quatre pattes et se place au-dessus des pieds nus. Il gonfle le ventre et le fait doucement descendre sur les pieds nus de Guillaume. Je suis certain qu’il se met à jouir avant que les pieds touchent son ventre ! Ça confirme ce que je pensais ! Les pieds nus de Guillaume sont pourvus d’une aura ! Je l’ai déjà remarqué quand il met ses pieds nus sur mon ventre ! Il suffit qu’il approche ses pieds nus à une dizaine de centimètres pour que j’aie l’impression de les avoir déjà sur le ventre ! Maintenant, j’en suis certain ! Le plaisir du garçon n’est pas suffisant pour déclencher mon plaisir, bien que j’en sois très proche... Il est déjà nettement plus fort que tout à l’heure ! On emmène le garçon au centre de la clairière ou il va alimenter l’orgasme commun pendant un bout de temps. Guillaume m’interpelle immédiatement. - Jean-Luc, on ne pas laisser faire ça, n’est ce pas ? - Quoi ? - Tu dors ou quoi ? Il faut libérer ces nus ! Je me demande bien pourquoi je n’y aie pas pensé plus tôt ! Il faut que chacun de ses nus puisse se mettre un pied nu sur le ventre ! - Excuse-moi, Guillaume, mais quand je suis à côté de toi, je réagis de moins en moins vite... ton plaisir est trop fort... - Tu n’aimes plus mes pieds ? Demande-t-il en riant. Avant que je puisse répondre, il pose un pied nu sur mon genou et commence à l’avancer doucement vers mon ventre. Mon orgasme se déclenche alors que son pied nu est seulement à mi-cuisse ! C’est horriblement bon ! Mais comment veut-il que je réagisse alors que la proximité de ses pieds me paralyse ! Si ça continue, je ne pourrais plus passer à côté de lui se me mettre à jouir, immédiatement sous l’influence de ses pieds nus ! La conversation reprend un bon moment plus tard. - Et qu’est ce que tu proposes ? - De faire des commandos pour les libérer ! - Mais on n’est pas au Far West et puis, écoute ! Aucun d’entre nous, ne peut ni courir, ni porter de charges... Et n’importe lequel d’entre nous peut se retrouver cloué au sol par une crise ou une envie de pieds nus à n’importe quel moment ! C’est de la folie ! - On doit essayer ! Ces garçons et filles vivent un calvaire ! Il faut que nous montions rapidement une opération ! Il faut trouver des nus récents, des nus qui n’ont pas encore trop envie de se faire mettre un pied nu sur le ventre... Eux, après pourront être plus efficace ! - Ça, c’est une bonne idée... Mais ça ne va pas être facile ! Tu as vu l’état du garçon tout à l’heure ! Il ne pensait qu’à une chose ! Mettre un pied nu sur son ventre ! - Je pense que beaucoup comprendront quand on leur demandera de patientez un peu en leur expliquant pourquoi... - Je n’en suis pas si sur que toi, mais ça vaut le coup d’essayer... Reste le problème de la première expédition ! - Je sais ! Choisi des garçons... C’est toi qui commanderas le groupe ! Beaucoup sont volontaires, mais j’en élimine d’entrée certains. Jean-Marc est beaucoup trop sensibles à la vision des pieds nus, Franck R lèche ses pieds nus plus de 20 fois par jours, deux autres garçons sont lies et ne peuvent pas s’éloigner l’un de l’autre. Finalement, je fixe le nombre à cinq seulement. Ça nous permettra peut-être d’avancer plus vite. J’ai calculé qu’a dix, nous n’avancerions pas. En effet, il y en aurait toujours au moins un en crise ou en train de lécher ses pieds nus. J’ai interrogé le nouveau venu dès qu’il a été en état de parler. Il m’a indique une ancienne salle des fêtes transformées en centre pour nus à HAUTERIVE. Le nouveau voudrait venir avec nous, mais il ne sera pas capable de marcher avant plusieurs jours. Ce n’est pas très loin et ce sera notre premier objectif. Le centre vient d’ouvrir et les garçons ou filles qui y sont retenus viennent probablement seulement de devenir nus. Et puis, je pense que pour cette première attaque, nous bénéficierons de l’effet de surprise ! Je n’approche pas de Guillaume la journée précédant l’intervention. Le nombre de mes crises augmente singulièrement après avoir approché Guillaume.

Première expédition.[modifier]

Léchage de pieds nus obligatoire avant de partir ! je veux que chaque participant à l’expédition ait au moins quatre orgasmes avant de partir à l’asseau de l’ancienne salle des fêtes. Nous sommes donc 5 ! Trois garçons au plaisir pas trop fort, Chloé, car sa taille lui permet de déplacer des charges plus importantes sans provoquer de crise et moi ! C’est obligatoire, chaque doit se forcer à lécher ses pieds nus ou ceux des autres au moins quatre fois ! Quand je dis « se forcer » vous comprenez bien que je plaisante, n’est ce pas ! Comme pourrais-je « me forcer » à lécher les pieds nus de Chloé, alors que l’envie vient seulement en les regardant ! Même après la quatrième fois ! Nous prenons la route. Chacun doit respecter une distance de deux mètres avec son voisin. Nous faisons plus de la moitié de la route sans le moindre incident et finalement, c’est moi qui m’écroule le premier, terrassé par deux violentes crises successives. Les consignes sont claires ! Les autres doivent immédiatement se mettre à lécher leurs pieds nus. Cela nous permettra de repartir à égalité. Le bâtiment est enfin en vue et, surprise, il ne semble pas y avoir de gardien ! De nouveau, avant l’intervention, « j’ordonne » un léchage de pieds général en règle. Il dure plus d’une demi-heure ! Nous avançons vers le bâtiment. Toujours personne. Je commence à croire que le bâtiment est vide, finalement. Les nus ont peut-être été emmenés ailleurs ! Je colle mon oreille contre la porte principale et je suis immédiatement rassuré. Au moins un nu lèche ses pieds nus et pas très loin de la porte car j’entends distinctement ses gémissements. Je préfère entrer par la porte de côté. La serrure ne résiste pas longtemps au fil de fer qu’un des garçons a ramassé par terre. Le dernier garçon s’engage dans le bâtiment quand un faisceau de phare troue soudain la nuit. - Vite ! Tire sur la porte ! Nous avons eu chaud ! Un corps nu se repère facilement à la lumière des phares. La voiture s’arrête et l’on entend les portières claquer ! la porte principale s’ouvre soudain et deux hommes entrent poussant devant eux une fille d’une quinzaine d’années. Elle porte un jeans et un tee-shirt et une paire de tongues. Un des hommes la pousse sans ménagement dans une des cages proches de l’entrée. Heureusement, ils n’ont allumé qu’une partie du bâtiment et nous sommes dans la partie sombre, collés au sol. Je pris pour qu’aucun d’entre nous n’ait de crise ! Le deuxième homme s’écrit. - Merde ! Tu n’as pas besoin de la bousculer comme ça ! - J’en ai marre de tous ces nus ! - Bon, laisse-là et ferme la porte ! On se tire ! Ça me fout le bourdon de voir tous ces gosses à poil dans les cages ! La porte se referme bruyamment. Les portières claquent. La voiture fait le tour du bâtiment au ralenti puis, c’est le silence. La lumière est restée allumée. Tant mieux pour nous ! Il y a au moins 60 garçons et filles dans l’édifice. Leurs visages s’éclairent en nous voyant ! Les cages sont solides et il va falloir, le marteau et le burin qui traînent sur une table, à l’entrée de la salle. Avant d’ouvrir les cages, il faut leur expliquer ! Je décide que ce sera le rôle de Chloé. Il y a sensiblement plus de fille que de garçons dans la salle. - Silence ! Oui nous sommes là pour vous libérer ! Mais nous sommes des nus en phase 2, vous savez tous ce que ça veut dire ? - Que tu jouis en permanence ! Et nous aussi on veut ça ! s’écria une des filles ! - Vous l’aurez, mais pas tout de suite ! Comme vous pouvez le constater, nous nous déplaçons très lentement car le moindre effort nous fait jouir... Nous voulons continuer à libérer d’autres enfants pour qu’ils puissent enfin mettre un pied nu sur leur ventre ! - Où veux-tu en venir ? - Nous avons besoin de vous ! Vous êtes plus rapides et moins sensibles au plaisir que nous... Au même moment, et sans calcul, un des garçons s’écroula, les mains serrées sur le ventre, et se mit à ses tordre de plaisir sur le plancher. Chloé saisit immédiatement l’occasion. - Voyez, nous ne pouvons pas être très efficaces ! - Non aussi on a des crises comme ça ! - Oui, mais 1 ou deux par jour ! Nous, ça peut aller jusqu’à 10 ! Vous pouvez courir ! Pas nous ! Ecoute ! Tu n’as pas une copine enfermée dans un autre endroit et dont tu aimerais lécher les pieds nus... Ou mettre tes pieds nus sur son ventre... Tu n’as pas envie de libérer cette fille ? Elle avait trouvé le point faible ! La fille réfléchit un moment et fini par lâcher. - Vu comme ça, tu as raison, en effet... alors, que faut-il faire ? - Ne mettez pas vos pieds nus sur vos ventres ! Pas tout de suite ! Votre tour viendra ! - Ok, moi je marche, conclu la fille ! C’était gagné ! Un des garçons commence à s’attaquer aux serrures des cages. Au troisième coup de marteau, il lâche les outils et s’affaisse sur le sol en poussant un cri de plaisir. Heureusement, il pense à s’écarter pour que je puisse passer. Je termine facilement le travail. La serrure ne tenait pratiquement plus. Le garçon qui sort me prend les outils des mains et se met immédiatement à détruire les autres serrures. Il a le coup ! En deux coups de marteau, la serrure vole en éclats ! Il faut moins de 10 minutes pour libérer tout le monde. L’instant est délicat ! Si jamais il y en a un ou une qui décide de mettre un pied nu sur son ventre, ils le feront tous ! J’aperçois quelques hésitations. Je vois soudain la fille habille dans la cage... - Et cette cage là, demandais-je. La fille était accrochée à la grille. Des larmes coulaient le long de ses joues. Je demandais au garçon d’ouvrir la cage. - Mais, elle n’est pas nue ! J’approche. - Qu’est ce que tu fais dans une cage puisque tu n’es pas nue ? - J’étais nue ! Mais ils m’ont fait prendre un traitement expérimental... et voilà ! Je veux redevenir nue ! - Tu veux venir avec nous ? - Plus que tout au monde ! - Tu aimes toujours les pieds nus ? - Oui ! Ça, ils n’ont pas réussi à me l’enlever ! - Alors, enlève tes vêtements et suis-nous ! Je n’ai jamais vu quelqu’un se déshabiller aussi vite ! Ses pieds nus sont magnifiques Nous sortons tous du bâtiment et j’indique le chemin. Nous devons renter le plus vite possible. Pour les nus nouvellement libérés, la consigne est Claire. Si les adultes nous donnent la chasse, et menacent de les reprendre, chacun doit mettre son pied nu sur le ventre de son voisin sans attendre. Dès les premiers pas dans la forêt, je sens l’orgasme monter ! Je sens des bras puissants m’agripper. On me soulève de terre et je me retrouve sur le dos de quelqu’un. Je ne vois pas immédiatement qui c’est. Il n’y a que quand je peux ouvrir les yeux que je reconnais les pieds nus de la fille habillée. Notre mission de sauvetage est un succès complet ! Contrairement à ce que je croyais, les nus tiennent parole et seulement 3 craquent et mettent un pied nu sur leur ventre à notre arrivée à la clairière. Si ça continue, la clairière sera bientôt trop petite ! L’état de Guillaume ne s’améliore pas, enfin selon nos anciens critères, car dans le cadre de notre vie de tous les jours, c’est plutôt le contraire ! L’aura de plaisir qui l’entoure ne cesse de grandir. Si la progression ne s’arrête pas, bientôt, plus personne ne pourra l’approcher sans se mettre à jouir immédiatement. Il y a quelques jours, je me mettais à jouir quand il mettait son pied nu sur ma cuisse… Aujourd’hui, à presque un mètre, s’il le dirige vers moi, j’ai l’impression de l’avoir sur le ventre et ça déclenche immédiatement un orgasme. Je dois finir de m’approcher en me tordant de plaisir et en rampant pour atteindre ses pieds nus. Si nous avons à parler, il doit tourner ses pieds vers l’arbre, derrière lui ! Nous avons interrogé la fille que j’ai ramenée d’HAUTERIVE, ou plutôt, qui m’a ramené sur son dos. Visiblement, les adultes sont très près de trouver une parade à la nudité. C’est Guillaume qui pose la première question. - Comment t’appelles-tu ? - Muriel… - Muriel, tu as des pieds magnifiques… En effet, et c’était la première chose que j’avais remarqué, malgré ses tongs. Ils étaient grands et longs, mais admirablement dessiné. Dans la position ou elle était, j’avais une vue imprenable sur ses cambrures et sur ses plantes et j’avais une forte envie de les lécher. Visiblement, ils ne laissaient pas Guillaume indifférent ! - Merci pour les pieds… C’est gentil… - Non, ce n’est pas gentil, c’est la vérité, s’écrie-t-il en souriant. Je ne plaisante jamais avec ça ! - Je sais… je les trouve moi aussi très beaux et je les adore… ça, au moins, ils n’ont pas réussi à me l’enlever ! - Alors, tu étais vraiment nue ? - Oui ! je ne pouvais plus entrer dans la maison ! je me suis caché pendant plus d’une semaine et je me suis fait prendre bêtement par des chasseurs. J’ai une crise et je n’ai pas pu m’enfuir… Je m’attendais à être enfermée dans un centre, comme les autres, mais je me suis retrouvé dans un labo… Au début, c’était l’horreur complète ! tous ces gens habillés autour de moi, j’en avais des hauts le cœur ! - Ça, je m’en doute ! Rien que d’y penser, j’en ai des frissons ! n’exclamais-je. - Ils m’ont attaché sur une table et en mit en place une perfusion. Petit à petit, j’ai senti la nudité refluer… c’était atroce ! Finalement, la proximité des vêtements ne me gênait même plus… j’en pleurais ! Ensuite, ils n’ont détaché et m’ont forcé à m’habiller. Il n’y a que les chaussures que je n’ai pas pu mettre. j’ai du enfiler des tongs. - Mais tu aimes toujours les pieds ? - Ha ! ça, oui ! Mais ils me donnent beaucoup moins de plaisir qu’avant, hélas… J’espère que je vais retrouver bientôt ma nudité… elle me manque ! - C’est tout le mal que je te souhaite ! Je crois d’ailleurs que j’ai une idée pour que la nudité revienne plus vite ! - Dis vite ! - Les pieds nus de Guillaume ! c’est de loin celui d’entre nous qui a le plaisir le plus fort ! je suis sûr que, quelques jours avec les pieds nus de Guillaume sur le ventre, devraient effacer ta mésaventure ! D’accord, Guillaume ? - Bien sur ! et puis ça me changera un peu ! au moins, elle ne se met pas à jouir dès qu’elle m’approche ! je me sens de plus en plus seul depuis quelques jours ! - Alors c’est parfait ! Tu es d’accord, Muriel ? - Si je suis d’accord ? Plutôt 10 fois qu’une ! On commence quand ? - Immédiatement, s’écrit Guillaume. Instantanément, Muriel s’empare des pieds nus de Guillaume et les met sur son ventre. Elle s’avance vers lui et le force à replier les jambes. Elle peut ainsi atteindre ses seins. C’est tout ce que Guillaume attendait. Je n’ai d’ailleurs pas beaucoup le loisir d’en voir d’avantage. Des que les mains de Muriel touchent les seins de Guillaume, il se met à jouir, m’entraînant dans son puissant orgasme. Seule Muriel semble rester stoïque, bien que j’aie le temps de remarquer une petite crispation des lèvres. Je suis bien incapable de dire sur quelle surface s’étend maintenant la clairière. Il y a des nus partout, au pied de chaque arbre !

CHATEAUNEUF.[modifier]

Ainsi, les adultes réagissent ! L’état de Muriel montre à quel point ils sont près que trouver une parade. Une fille est arrivée hier soir avec des informations précieuses. Sa mère travaille dans un labo chargé de développer la fabrication de cet agent anti-nudité. Les adultes veulent lancer rapidement une campagne de vaccination massive, espérant ainsi pourvoir « sauver » quelques-uns d’entre nous. Ils pensent que sur le nombre, certaines ou certains réagiront positivement. Ils auront alors des bases solides pour modifier leur stratégie. Nous avons peu de temps pour réagir ! L’expédition pour CHATEAUNEUF est décidée. J’avais d’abord penser procéder comme pour Hauterives, mais il ne faut pas rêver ! Les nues enfermées à CHATEAUNEUF le sont depuis longtemps, trop longtemps pour pouvoir résister à l’envie de mettre un pied nu sur leur ventre. Nous n’allons donc pas chercher à les libérer ! Nous allons simplement leur offrir ce qu’elles attendent le plus. Un pied nu à mettre sur leur ventre ! Ce sera plus rapide et nous n’aurons pas besoin d’être discrets. J’abandonne la tactique du petit nombre, et c’est en masse que nous allons prendre d’asseau la forteresse de CHATEAUNEUF ! Ce soir, tous les nus de la clairière en état de se déplacer feront route vers Châteauneuf. C’est clair, tous n’y arriveront pas, terrassés en chemin par le plaisir, mais il devrait rester suffisamment de monde pour, et de pieds nus, pour les 300 filles qui nous attendaient. Seule recommandation avant le départ, éviter de trop se coller les uns aux autres, sinon, dans l’absolu, nous risquons de nous enfermer dans un immense orgasme collectif. A la lumière de la lune, c’est une troupe immense qui se tasse sur la route de Châteauneuf ! Je savais, bien sûr, qu’en quelques semaines, notre nombre avait augmenté considérablement, mais à ce point ! Combien sommes-nous ? Cinq cents, sept cents, plus ? je suis en tête, avec Muriel qui a absolument tenu à nous accompagner. Ces deux derniers jours passés avec Guillaume lui ont fait beaucoup de bien. Elle est de nouveau pieds nus et ses seins ont retrouvé presque toute leur sensibilité. Elle deviendra nue et passera à la phase 2 sous les pieds nus de Guillaume dans un ou deux jours. La disparition de sa nudité ne sera plus qu’un mauvais souvenir. J’apprécie sa présence car elle peut marcher et courir sans risquer l’orgasme, mais elle se méfie, car elle est de nouveau contrainte de lécher ses pieds nus régulièrement. Elle ne s’en plaint pas du tout et ne s’en prive d’ailleurs pas. Je me suis écroulé déjà deux fois, emporté par une crise involontaire, mais je n’ai pas cessé de progresser, car elle me porte. Arrivé à Châteauneuf, elle m’avoue qu’elle commence à sentir un peu, très faiblement mon plaisir. Finalement, les choses ont l’air d’aller plus vite que je le pensais. Arrivé à Châteauneuf, nous voyons immédiatement la clôture de grillage installée à la hâte. Elle n’est pas très haute et ne semble pas bien solide. Les nus qui n’ont pas encore succombés à la tentation de mettre un pied nu sur leur ventre, et il n’y en a plus beaucoup, s’en occupent immédiatement et ouvre rapidement une brèche. C’est alors que surgissent plusieurs hommes armés qui nous somme de nous arrêter. Voyant que personne ne les écoute, ils nous mettent en joue, mais ils ne peuvent tirer. Je n’y attendais un peu. La première salle dans laquelle nous entrons est le gymnase. C’est comme à Hauterives ! Les cages sont alignées. Les filles ne mettent pas longtemps à comprendre ce qui arrive. A ma droite, un garçon s’avance vers la cage la plus proche et passe un pied nu à travers les barreaux. La fille s’en empare immédiatement et elle le colle sur son ventre. Elle pousse un cri rauque et tous deux s’écroulent, emportés par le même plaisir. Immédiatement, les ventres se collent aux barreaux des cages. En moins d’une minutes, chaque ventre à trouvé son pied nu et la salle s’emplit de cris et de gémissements. Les filles sont sauvées, enfin, à notre point de vue. Du point de vue des adultes, c’est une autre histoire. Je ne vois plus rien pendant un moment, car la vue de ces dizaines de corps nus se tordant de plaisir sur le sol a raison de ma résistance. J’ai juste le temps e me mettre à genou avant que l’orgasme explose. De nouveau sur pied rapidement, grâce à Muriel qui m’a tiré en arrière, je peux reprendre la direction des opérations. De temps à autre, un adulte surgit essayant de nous barrer le passage, mais il recule généralement sous le nombre. C’est la dernière salle ! Nous avons tout visité. Dans cette salle, une dizaine de fille seulement. Nous ne sommes guère plus nombreux. Tous les autres gisent aux pieds des cages ou ils ont posé le pied nu sur un ventre tendu. J’avise soudain Muriel dont le visage crispé m’étonne. - Qu’est ce que tu as ? As-tu envie de lécher tes pieds ? - Oui, mais il n’y a pas que ça... je sens de plus en plus le plaisir autour de moi... - C’est plutôt une bonne nouvelle, non ? - Bien sûr... je crois que je suis en train de redevenir nue. - En attendant, tu vas devoir te servir de tes pieds nus... Nous ne sommes plus assez nombreux ! Je m’approche moi-même d’une cage et passe un pied nu à travers les barreaux. La fille s’en empare immédiatement et elle le colle sur son ventre gonflé. Ses yeux s’ouvrent démesurément, sa mâchoire inférieure tombe et je sens son plaisir s’insinuer dans mon ventre. Elle crie. Bien sûr son plaisir n’a pas la force du plaisir de Guillaume, par exemple, mais il est suffisant pour déclencher mon propre orgasme. Quand je reprends conscience, les quelques nus qui reste, beaucoup ont profité de l’occasion pour mettre un pied nu sur leur ventre, s’attaquent aux portes des cages. Muriel arrive vers moi en courant. - Jean-Luc ! L’école est encerclée ! - Par qui ? - L’armée, je crois ! Merde ! Ce n’était pas prévu. Je ne pensais pas qu’il réagirait si vite.

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