Contrainte

Cette singularité commence à apparaître à la fin du stade 3 et au stade 4 et atteint une relativement petite proportion de la population Daingue. Tous les Daingues, sans exception sont ravis de constater la significative augmentation de la sensation de plaisir au contact d’un ou des deux pieds nus sur leur ventre. La position du lotus est très appréciée chez les Daingues à partir du stade 4. Cette position permet une foule de possibilités. Sentir les talons de ses pieds nus sur son ventre, tout en pouvant en admirer la plante et la cambrure, les maintenir à la vue des autres et les offrir ainsi à leurs envies, pouvoir les lécher par une simple torsion du buste en quelques secondes, et éventuellement caresser la pointe des seins avec les orteils. Si la plupart des Daingues apprécient cette position, il arrive qu’elle devienne pour quelques-uns d’entre eux, une véritable drogue. Le plaisir induit par le contact des pieds nus sur leur ventre devient peu à peu une nécessité et les en priver provoque de véritables crises de manque. Ils passent de plus en plus de temps dans la position du lotus ou au minimum avec un pied nu sur le ventre jusqu’au jour ou ils s’aperçoivent qu’ils ne peuvent plus enlever leurs pieds sous peine de déclencher instantanément une crise de manque. Cette particularité n’a rien de bien extraordinaire jusqu’au stade 6. Le sujet peut parler et se déplacer « normalement », à condition, naturellement qu’il maintienne un pied nu sur son ventre. Les choses deviennent beaucoup plus sérieuses au stade 6. Les premières sensations de plaisir permanent apparaissent et se cumulent avec la jouissance apporté par le contact des pieds nus. Le sujet commence à avoir de grosses difficultés à se déplacer. Au stade 7, et bien sûr ensuite, il lui est quasiment impossible de faire le moindre mouvement dans déclencher un orgasme. Il reste figé dans un demi-orgasme, incessant. A partir du stade 6, nous avons vu que les Daingues sont de plus en plus souvent sujet à des orgasmes involontaires. Même sans effectuer le plus petit mouvement, ils se mettent à jouir, plusieurs fois par jour, de façon totalement imprévisible et aléatoire. Chez les gardiens, ce nombre peut être multiplié par 2, voire 3. On ne connaît pas d’exemple ou un gardien a été capable de se séparer de ses pieds nus. L’état de Gardien est définitif et le Gardien est condamné à garder éternellement ses pieds sur son ventre. On ne connaît pas non plus de gardien qui se plaint de son sort.