Acétone

De Lexique du Daingue
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Introduction[modifier]

Ce fantasme est contemporain du premier fantasme déjà publié sur ce site. Il se passe chronologiquement à la même époque. J’avais donc entre 6 et 8 ans. J’avais entendu pas mal de mes copains qui ne venaient pas à l’école à cause de ce qu’ils appelaient une « Crise d’acétone » et ne sachant pas ce que c’était et n’osant pas le demander, mon esprit fertile et déjanté avait inventé une définition et une explication. Ne vous étonnez donc pas de retrouver les mêmes personnages que dans le premier fantasme. Vous allez également retrouver la progression, pieds nus, nudité, plaisir qui est la base de presque tous mes fantasmes.

Scène 1[modifier]

J’ai presque du mal à respirer. Ça a commencé il y a deux jours, pendant le week-end. Impossible de supporter les chaussures et les chaussettes dès le vendredi soir. Ensuite, tout avait été très vite. L’obligation de nudité a gagné ma poitrine dès samedi matin et j’étais tout nu le samedi soir. Le plaisir a peu à peu gagné mon ventre dans la nuit du samedi à dimanche. Ce plaisir d’ailleurs ne m’était pas inconnu ! Ça faisait quelques mois que je me masturbais très régulièrement pratiquement tous les jours, voire plusieurs fois dans la journée. Je connaissais donc ce plaisir de façon fugitive, les quelques secondes que durait l’orgasme. Là, c’était très différent… Le plaisir montait doucement, devenant plus fort d’heure en heure mais sans atteindre l’orgasme. Le plaisir n’était plus éphémère mais continu ! Incrédule, je me suis aperçu que quelques mouvements de va et vient sur son sexe suffisaient à déclencher l’orgasme et je ne m’en suis pas privé ! je suis d’ailleurs incapable de dire combien d’orgasme j’ai eu : 10, 20, 30, plus ? Maintenant, c’était encore mieux ! Il suffisait que je gonfle le ventre en serrant les cuisses pour me mettre à jouir. Mes seins sont également devenus d’une extrême sensibilité. Le médecin qu’avait appelé mes parents dès le samedi n’avait fait que constater mon état signalant qu’il allait s’aggraver un peu, il parlait du plaisir sexuel que j’allais ressentir, et que cet état pouvait durer de 7 à 10 jours. Ensuite, il me faudrait encore une semaine pour que je puisse supporter des vêtements. Le médecin signala pour finir qu’il y avait environ 3 mois que ça a commencé et j’étais le quatrième cas rien que pour aujourd’hui et que même son fils avait été touché. Je souris légèrement. Je savais maintenant où Jean-Marc avait passé ces 15 derniers jours ! Juste au moment de sortir, le docteur S. s’était retourné et avait lancé : « est-ce qu’il a déjà lécher ses pieds nus ? ». Devant l’air ahuri de mes parents, il fit lui-même la réponse. « Non ! Alors ne vous inquiétez pas, il ne va pas tarder à la faire… Ils le font tous et toutes ! » La, je me demande de quoi il parle ! bien sûr je ne peux plus mettre de chaussures, mais de la à lécher mes pieds ! Quelle drôle d’idée ! Je ne peux pas creuser la question car un orgasme menace d’exploser. C’est intolérable ! Je suis au bord du plaisir, l’instant privilégié ou l’orgasme va s’épanouir inévitablement… Sauf que là, cet instant dure ! C’est odieusement bon et je ne peux m’empêcher de donner un coup de rein pour déclencher la jouissance. D’un œil vide, je vois l’air dégouté de mes parents qui quittent la chambre en fermant la porte derrière eux. D’un, coup de jambe rageur je fais sauté le drap que ma mère s’obstine à me mettre sur le corps et qui m’irrite affreusement. Ce geste brusque a pour effet d’augmenter encore la puissance de l’orgasme et m’arrache cette fois un vrai cri de plaisir. On doit être mardi… je suis épuisé et je sommeille toujours presque au bord de l’orgasme… Maintenant, je ne contrôle plus rien. Je n’ai même plus la force de gonfler le ventre… L’orgasme explose sans que je fasse le moindre geste. Je savoure la jouissance dans un état second quand soudain, j’ai une sensation bizarre. Il me manque quelque chose, mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus… ça devient pourtant urgent car le manque devient infernal. Ce manque arrive même à occulter le plaisir pourtant toujours présent… je m’assoie, hagard ! Soudain, mes yeux tombent sur… Mes pieds nus ! Et là, je sais ! L’espace de quelques secondes, je pense à ce qu’à dit le médecin. En effet, je vais lécher mes pieds sans la moindre hésitation. J’enfoui mon visage entre mes deux plantes offertes. Dès que ma langue touche la peau de la plante, le plaisir reprend sa place dans mon ventre, encore plus fort, encore plus violent. Je suis incapable de mesurer le temps que je passe sur mes pieds nus, mais je sais que j’y passe beaucoup de temps… je ne peux plus m’en passer. Je reprends vraiment conscience le mardi d’après, soit 11 jours après les premières pointes de jouissance. Le plaisir est toujours présent, mais je peux maintenant de nouveau bouger et tenir une conversation. Il faut que j’attende le mercredi soir pour que le plaisir disparaisse complètement. Je ressens comme un grand vide. Heureusement, il suffit que je lèche mes pieds pour avoir un orgasme qui dure le temps que je lèche mes pieds… Encore 5 jours avant que je puisse m’habiller… je pense par contre que je ne remettrais jamais de chaussettes. Ça ne me surprend pas, avec ce que je sais maintenant, je comprends pourquoi certains de mes camarades sont pieds nus dans leurs sandales…

Scène 2[modifier]

Quand je reprends l’école, il se produit une chose à laquelle je ne m’attendais pas. Je ne suis pas du tout indifférent aux pieds nus de mes camarades… Je repère au premier coup d’œil ceux qui ont été « malade » ou non. Je le sens comme eux le sente également. Je repère Jean-Marc et me dirige vers lui. Lui, je suis absolument certain qu’il a connu ce que j’ai connu. Avant que je dise quoi que ce soit, il questionne. – Alors ? c’était comment ? – Dommage que ce soit fini… ça me manque… – Moi aussi…heureusement qui nous reste nos pieds nus… – Tu les lèches souvent ? – Dès que je peux… Et je supporte que tu es comme moi, que tu ne peux pas de retenir, non ? – Bien vu, dès que je suis nu, j’y suis forcé ! Dit-moi, comme ton père est médecin, tu dois avoir plus d’information sur ce qui nous est arrivé ? Il sourit en me regardant dans les yeux. Il déclare lentement. – Je crois bien que tout médecin qu’il est, il n’en sait pas beaucoup plus que nous. Je n’ai entendu très souvent au téléphone le soir discuter avec ses collègues… Ils ne savent pas vraiment. Par contre, j’ai surpris pas plus tard qu’hier une excellente nouvelle… – Et… Je peux savoir… Ou c’est un secret ? – Oui, c’est un secret… Et oui tu peux le savoir… – Tu m’as fait peur ! – C’était voulu ! tiens-toi bien ! Parmi les « malades » nous, en fait, il y en a qui en sont à leur… Deuxième crise, à leur deuxième période de plaisir ! Tu te rends compte ! – Ça, c’est le pied ! – Je crois que cette expression n’a jamais été aussi vraie ! – Et combien de temps après la première… Crise ? – Ça, je ne sais pas. Il semble, d’après ce que j’ai compris, que ça puisse arriver n’importe quand… Plusieurs jours, plusieurs semaines, plusieurs mois, je ne sais pas… le seul cas que j’ai surpris, c’était 3 semaines après… – Ce qui veut dire que pour toi, ça pourrait arriver d’un jour à l’autre ? – C’est bien ce que j’espère ! le plus vite possible ! Quand nous rentrons dans la classe, c’est un peu comme si rien ne s’était passé. La maitresse ne fait aucune allusion à quoi que ce soit. Je me suis mis à côté de Jean-Marc, ce qui n’est pas ma place habituelle, au dernier rang de la classe. De là, nous avons une vue globale sur les « malades ». Il suffit de compter les pieds nus dans les sandales ou chaussures légères. A vrai dire, je me fou un peu de ce que la maitresse raconte ce matin. La nouvelle qu’a annoncé Jean-Marc me rempli de bonheur ! Le plaisir va revenir, c’est presque certain… Je ferme les yeux en imaginant le plaisir de retour dans mon ventre… Cette simple évocation suffit à tendre le devant de mon pantalon… Difficile de se retrouver en classe à écouter lors que l’on sort de presque 10 jours d’une jouissance quasi permanente. Presque une crise de manque. Savoir que l’on va de nouveau connaître cet extase permet de supporter la situation. Soudain, Jean-Marc me donne un coup de coude dans les cotes. Tiré de ma rêverie, je sursaute ! – Guillaume n’est pas là ! – Et ? – Il était là hier ! Nous sommes mardi et il n’a pas été « malade » encore… hier, il était en basket avec de grosses chaussettes… – Et tu crois qu’il est nu ? – C’est une possibilité ! Il doit être quelque part dans l’enceinte de l’école ! – Ou, ils l’ont renvoyé chez lui ! – Je ne sais pas… A la récréation, nous en apprenons plus avec un voisin de dortoir de Guillaume. Il était dans son lui ce matin quand ce voisin était descendu et il semblait ne pas vouloir se lever ! Et chose curieuse et inhabituel, il avait enlevé le haut de son pyjama. Cette fois, il n’y a plus de doute. Guillaume doit être en train de gémir de plaisir dans un coin de l’école à l’abri de nos regards et de nos oreilles. Nous en avons la confirmation immédiatement. Franck R était derrière nous. – Je suis désolé de me mêler de la conversation, mais en effet… Guillaume est bien dans l’état que vous supposez… Je… Je suis passé par là également… Et à voir vos pieds… Vous aussi… Nous nous tournons vers lui. Immédiatement, mes yeux tombent sur ses pieds nus dans une paire de sandales fines. Il sait en effet de quoi il parle. Jean-Marc enchaine. – Et il est dans quel état… Et où ? – Il ne doit plus pouvoir bouger beaucoup… Je l’ai vu gonfler le ventre pour forcer l’orgasme… Comme on le fait tous au début, je crois… Enfin, je pense… – Oui, j’ai fait ça aussi… Et où ? – Dans le préfabriqué désaffecté, c’est par là que j’ai vu des silhouettes bouger et j’ai vu le médecin de Châteauneuf et le surveillant C. En revenir vers 9 heures… La cloche sonne et nous n’avons pas le temps d’aller voir. Il faut attendre le soir pour que la cour se vide et que personne ne remarque notre présence à proximité du bâtiment préfabriqué. Nous nous cachons précipitamment lors qu’arrive un cuisinier avec un plateau. Il entre dans le bâtiment et en ressort quelques secondes après en secouant la tête d’un air désolé et en disant : « A demain ! » Nous attendons quelques minutes par prudence. Nous avons monté un bateau à nos parents respectifs en leurs faisant croire que chacun d’entre nous couchait chez l’autre… Nous étions tranquilles pour un moment. Avant de rentrer, nous inspectons l’arrière du bungalow. La lumière brille à l’intérieur, invisible de la cour de l’école. Nous nous hissons sur la pointe des pieds pour regarder par la fenêtre. Guillaume est bien là, nu, étendu sur les tables. Le bâtiment sert de remise des tables et chaises de réserve. Guillaume a les yeux fermés. Je souris quand je le vois gonfler le ventre et serrer les cuisses. Son corps nu s’arque sur la table et son sexe se met à battre sur son bas ventre. Je suis presque jaloux ! Le manque se fait encore plus sentir à la vision de ce garçon nu en train de jouir ! Jean-Marc me tire par le bras vers la porte. Dès que l’on est à l’intérieur, il commence à se déshabiller. Nous sommes dans un petit réduit qui forme une espèce de sas entre l’extérieur et la pièce illuminée où se trouve Guillaume. Il fait assez sombre. Quand je commence à ôter mon pull, Jean-Marc est déjà presque nu. Il ne lui reste plus son slip à enlever. Je m’active à mon tour en le regardant. Dès qu’il est nu, je vois son visage changer. Il s’assoit précipitamment, s’empare de son pied nu droit et se met à le lécher avec application en haletant bruyamment. C’est plus que je ne peux en supporter. Le besoin de jouir devient impératif, il faut que je jouisse immédiatement. J’arrache plus que j’enlève mes derniers vêtements et je plonge vers mes pieds nus. Je savais qu’en me mettant nu, j’allais être obligé de lécher mes pieds nus, mais le fait de voir Jean-Marc le faire a décuplé cette nécessité ! Le plaisir explose, aussi vif que je m’y attendais et je m’entends gémir démesurément. Heureusement qu’il n’y a personne alentour. Je reprends contact avec la réalité quand Jean-Marc me secoue violemment. Nous approchons de la table ou Guillaume gémit faiblement, le bassin animé de langoureux mouvements. Il entrouvre les paupières et sourit faiblement en nous apercevant. Il semble comprendre immédiatement ce que veut Jean-Marc. Il se saisit d’un des poignets de Jean-Marc et le place sur sa poitrine. Dans le même temps, il lance prudemment sa jambe droite vers moi en serrant les dents et son pied nu arrive à quelques centimètres de moi… Je vois Jean-Marc monter sur la table pour s’allonger à côté de Guillaume. Hypnotisé par le pied nu de Guillaume que viennent rejoindre les deux pieds nus de Jean-Marc, je grimpe moi aussi sur la table pour approcher le pied nu de Guillaume. J’y pose la langue dès qu’il est à portée de la bouche. Je sens le plaisir me paralyser ! C’est beaucoup plus fort que quand je lèche mes pieds nus. En rampant, j’arrive à rassembler les pieds nus de Guillaume et ceux de Jean-Marc. J’alterne entre les quatre pieds nus tandis que des lames de jouissances me déchirent le ventre. Quand ma position s’y prête, je vois Jean-Marc et Guillaume essayer de se caresser mutuellement les seins, mais leurs gestes sont maladroits, imprécis. Jean-Marc est presque dans le même état que Guillaume grâce à la jouissance que lui procure ma langue sous ses pieds nus. J’ai du m’évanouir de plaisir ou d’épuisement car quand j’ouvre les yeux, je suis allongé contre Guillaume. Je sens son corps onduler tout près du mien. Une de ses mains commence à jouer avec la pointe de mon sein droit… C’est très agréable et il ne va pas falloir longtemps avant que je jouisse. Finalement, c’est allé beaucoup plus vite que je pensais… je me suis mis à hurler quand j’ai senti la langue et les dents de Jean-Marc sous la plante de mes pieds nus. J’entends les cris de Guillaume dans mon oreille. J’arrive à me retourner sur le côté pour saisir Guillaume par les épaules pour le serrer contre mon corps nu, seins contre seins, ventre contre ventre. Les violents spasmes qui secouent le ventre de Guillaume accentuent mon propre orgasme… Il fait presque jour quand je reprends conscience. A l’heure qu’il est, nous allons devoir aller en classe directement, j’en ai peur… et pratiquement sans avoir dormi. Guillaume est dans la phase la plus active de la crise et il n’a pour ainsi dire plus conscience du monde extérieur, enfermé dans la jouissance. Nous mangeons son repas de la veille. Nous nous planquons précipitamment quand le petit déjeuné arrive. Le même cuisinier. Il ne remarque rien. Nous profitons que les internes soient dans la salle du déjeuné pour aller prendre une douche discrètement. Nous sommes dans un drôle d’état. J’ai des égratignures sur les seins et le ventre et on voit encore la marque des dents de Jean-Marc sur la cambrure de mon pied gauche. Je somnole toute la journée. Jean-Marc oscille également sur son siège. A la récréation, nous racontons à Franck R. notre folle nuit. Nous ne pouvons naturellement pas passer une deuxième nuit dans le préfabriqué. Pour deux raisons. Un, nous ne tenons plus debout, et deux, nos parents allaient bien finir à se douter de quelque chose. Pour ce soir, Jean-Marc trouve la solution… Il embobine son père pour qu’il téléphone à mes parents en disant que je reste à dormir à saint-Uze. La chambre de Jean-Marc est confortable. Malgré notre folle nuit avec Guillaume, nous sommes contraints de nous lécher les pieds dès que nous sommes nus. Nous nous arrangeons pour que les pieds nus les plus proches soient ceux de l’autre. Nous nous endormons mutuellement sur nos pieds nus

Scène 3[modifier]

C’est excessivement agréable de se réveiller le visage posé sur des pieds nus. Pas le stress du manque de pieds nus, juste la langue à sortir pour immédiatement sentir le plaisir inonder mon ventre. Bien sûr, ce n’est pas si bon que la crise elle-même, comme celle qu’a Guillaume en ce moment, mais c’est mieux que pas de plaisir du tout ! Le plaisir augmente soudain car Jean-Marc commence à lécher consciencieusement mes pieds nus, des talons aux cambrures. La mère de Jean-Marc doit nous appeler 3 fois pour que nous descendions prendre le petit déjeuné. C’est le père de Jean-Marc qui nous emmène à l’école. A la façon dont il nous regarde, je vois qu’il se doute de ce que nous avons fait avant de descendre ce matin. Franck R. a les yeux fatigués et je ne me trompe pas en supposant que comme moi la nuit précédente, il n’a pas du beaucoup dormir. Il nous raconte sa nuit avec Guillaume et… Jean-Michel V. Je suis un peu surpris car ça ressemble si peu à Jean-Michel… C’est d’ordinaire un garçon très sage qui rougit énormément dès que l’on aborde un sujet qui touche le sexe de près ou de loin. Il faut le voir prendre son far quand on lui demande s’il se masturbe souvent et ou et comment il se masturbe. De savoir qu’il a pratiquement passé la nuit à lécher les pieds nus de Guillaume me fait tout drôle. La crise l’a apparemment complètement transformé. A voir la tête qu’il a quand il arrive à son tour, je vois qu’en effet qu’il n’a pas du fermer l’œil de la nuit. Il écoute la fin du récit de Franck qui parle justement de son assiduité de plusieurs heures sur les pieds nus de Guillaume. Il acquiesce en précisant : « Et le pire, c’est que j’en ai encore envie, j’y pense sans arrêt ». Je dois avouer que moi aussi j’ai du mal à penser à autre chose et je m’en ouvre sans complexe. – Je dois dire que je suis comme Jean-Michel… J’ai beaucoup de mal à penser à autre chose qu’au plaisir… A me faire lécher les pieds ou caresser les seins ou à lécher les pieds nus de Guillaume ou les vôtres ! – Je suis content que tu en parles Jean-Luc, je croyais être le seul à avoir du mal à me contenir… Je suis un peu rassuré, même si ça ne fait pas baisser mon énorme envie de jouir… Et toi Franck ? – Je suis bien sûr comme vous ! Il y a même des moments ou je ne suis pas certain de pouvoir me retenir et sauter sur les premiers pieds nus que je vois ! – Il va falloir attendre jusqu’à ce soir. Dis-je d’un ton désolé. Nous allons prendre le relai cette nuit et vous pourrez dormir ! – Il n’en est pas question, s’écrit Jean-Michel ! dès la fin des cours, je fonce là-bas ! Enfin, si je tiens jusque là ! – Je suis d’accord avec lui, confirme Franck Jean-Marc se tourne vers moi et dit, les yeux brillant de désir. – Et bien, nous serons 5 dans le préfabriqué ce soir… soit dix pieds nus, 10 seins ! Avec un rictus de plaisir sur les lèvres, il passe ostensiblement une main sur le devant de son pantalon ou l’on remarque immédiatement son sexe dressé. Je m’aperçois que la conversation m’a énormément excité également et quand je passe la main sur mon propre sexe, une très brève pointe de plaisir me traverse le ventre. Le journée passe avec une lenteur exaspérante.

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