« Acétone » : différence entre les versions
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Ne vous étonnez donc pas de retrouver les mêmes personnages que dans le premier fantasme. Vous allez également retrouver la progression, pieds nus, nudité, plaisir qui est la base de presque tous mes fantasmes. | Ne vous étonnez donc pas de retrouver les mêmes personnages que dans le premier fantasme. Vous allez également retrouver la progression, pieds nus, nudité, plaisir qui est la base de presque tous mes fantasmes. | ||
== Scène 1 == | |||
J’ai presque du mal à respirer. Ça a commencé il y a deux jours, pendant le week-end. Impossible de supporter les chaussures et les chaussettes dès le vendredi soir. Ensuite, tout avait été très vite. L’obligation de nudité a gagné ma poitrine dès samedi matin et j’étais tout nu le samedi soir. Le plaisir a peu à peu gagné mon ventre dans la nuit du samedi à dimanche. Ce plaisir d’ailleurs ne m’était pas inconnu ! Ça faisait quelques mois que je me masturbais très régulièrement pratiquement tous les jours, voire plusieurs fois dans la journée. Je connaissais donc ce plaisir de façon fugitive, les quelques secondes que durait l’orgasme. Là, c’était très différent… Le plaisir montait doucement, devenant plus fort d’heure en heure mais sans atteindre l’orgasme. Le plaisir n’était plus éphémère mais continu ! Incrédule, je me suis aperçu que quelques mouvements de va et vient sur son sexe suffisaient à déclencher l’orgasme et je ne m’en suis pas privé ! je suis d’ailleurs incapable de dire combien d’orgasme j’ai eu : 10, 20, 30, plus ? Maintenant, c’était encore mieux ! Il suffisait que je gonfle le ventre en serrant les cuisses pour me mettre à jouir. Mes seins sont également devenus d’une extrême sensibilité. | |||
Le médecin qu’avait appelé mes parents dès le samedi n’avait fait que constater mon état signalant qu’il allait s’aggraver un peu, il parlait du plaisir sexuel que j’allais ressentir, et que cet état pouvait durer de 7 à 10 jours. Ensuite, il me faudrait encore une semaine pour que je puisse supporter des vêtements. Le médecin signala pour finir qu’il y avait environ 3 mois que ça a commencé et j’étais le quatrième cas rien que pour aujourd’hui et que même son fils avait été touché. Je souris légèrement. Je savais maintenant où Jean-Marc avait passé ces 15 derniers jours ! Juste au moment de sortir, le docteur S. s’était retourné et avait lancé : « est-ce qu’il a déjà lécher ses pieds nus ? ». Devant l’air ahuri de mes parents, il fit lui-même la réponse. « Non ! Alors ne vous inquiétez pas, il ne va pas tarder à la faire… Ils le font tous et toutes ! » | |||
La, je me demande de quoi il parle ! bien sûr je ne peux plus mettre de chaussures, mais de la à lécher mes pieds ! Quelle drôle d’idée ! Je ne peux pas creuser la question car un orgasme menace d’exploser. C’est intolérable ! Je suis au bord du plaisir, l’instant privilégié ou l’orgasme va s’épanouir inévitablement… Sauf que là, cet instant dure ! C’est odieusement bon et je ne peux m’empêcher de donner un coup de rein pour déclencher la jouissance. D’un œil vide, je vois l’air dégouté de mes parents qui quittent la chambre en fermant la porte derrière eux. D’un, coup de jambe rageur je fais sauté le drap que ma mère s’obstine à me mettre sur le corps et qui m’irrite affreusement. Ce geste brusque a pour effet d’augmenter encore la puissance de l’orgasme et m’arrache cette fois un vrai cri de plaisir. | |||
On doit être mardi… je suis épuisé et je sommeille toujours presque au bord de l’orgasme… Maintenant, je ne contrôle plus rien. Je n’ai même plus la force de gonfler le ventre… L’orgasme explose sans que je fasse le moindre geste. Je savoure la jouissance dans un état second quand soudain, j’ai une sensation bizarre. Il me manque quelque chose, mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus… ça devient pourtant urgent car le manque devient infernal. Ce manque arrive même à occulter le plaisir pourtant toujours présent… je m’assoie, hagard ! Soudain, mes yeux tombent sur… Mes pieds nus ! Et là, je sais ! L’espace de quelques secondes, je pense à ce qu’à dit le médecin. En effet, je vais lécher mes pieds sans la moindre hésitation. J’enfoui mon visage entre mes deux plantes offertes. Dès que ma langue touche la peau de la plante, le plaisir reprend sa place dans mon ventre, encore plus fort, encore plus violent. Je suis incapable de mesurer le temps que je passe sur mes pieds nus, mais je sais que j’y passe beaucoup de temps… je ne peux plus m’en passer. | |||
Je reprends vraiment conscience le mardi d’après, soit 11 jours après les premières pointes de jouissance. Le plaisir est toujours présent, mais je peux maintenant de nouveau bouger et tenir une conversation. Il faut que j’attende le mercredi soir pour que le plaisir disparaisse complètement. Je ressens comme un grand vide. Heureusement, il suffit que je lèche mes pieds pour avoir un orgasme qui dure le temps que je lèche mes pieds… Encore 5 jours avant que je puisse m’habiller… je pense par contre que je ne remettrais jamais de chaussettes. Ça ne me surprend pas, avec ce que je sais maintenant, je comprends pourquoi certains de mes camarades sont pieds nus dans leurs sandales… | |||
Version du 17 septembre 2023 à 15:10
Introduction
Ce fantasme est contemporain du premier fantasme déjà publié sur ce site. Il se passe chronologiquement à la même époque. J’avais donc entre 6 et 8 ans. J’avais entendu pas mal de mes copains qui ne venaient pas à l’école à cause de ce qu’ils appelaient une « Crise d’acétone » et ne sachant pas ce que c’était et n’osant pas le demander, mon esprit fertile et déjanté avait inventé une définition et une explication. Ne vous étonnez donc pas de retrouver les mêmes personnages que dans le premier fantasme. Vous allez également retrouver la progression, pieds nus, nudité, plaisir qui est la base de presque tous mes fantasmes.
Scène 1
J’ai presque du mal à respirer. Ça a commencé il y a deux jours, pendant le week-end. Impossible de supporter les chaussures et les chaussettes dès le vendredi soir. Ensuite, tout avait été très vite. L’obligation de nudité a gagné ma poitrine dès samedi matin et j’étais tout nu le samedi soir. Le plaisir a peu à peu gagné mon ventre dans la nuit du samedi à dimanche. Ce plaisir d’ailleurs ne m’était pas inconnu ! Ça faisait quelques mois que je me masturbais très régulièrement pratiquement tous les jours, voire plusieurs fois dans la journée. Je connaissais donc ce plaisir de façon fugitive, les quelques secondes que durait l’orgasme. Là, c’était très différent… Le plaisir montait doucement, devenant plus fort d’heure en heure mais sans atteindre l’orgasme. Le plaisir n’était plus éphémère mais continu ! Incrédule, je me suis aperçu que quelques mouvements de va et vient sur son sexe suffisaient à déclencher l’orgasme et je ne m’en suis pas privé ! je suis d’ailleurs incapable de dire combien d’orgasme j’ai eu : 10, 20, 30, plus ? Maintenant, c’était encore mieux ! Il suffisait que je gonfle le ventre en serrant les cuisses pour me mettre à jouir. Mes seins sont également devenus d’une extrême sensibilité. Le médecin qu’avait appelé mes parents dès le samedi n’avait fait que constater mon état signalant qu’il allait s’aggraver un peu, il parlait du plaisir sexuel que j’allais ressentir, et que cet état pouvait durer de 7 à 10 jours. Ensuite, il me faudrait encore une semaine pour que je puisse supporter des vêtements. Le médecin signala pour finir qu’il y avait environ 3 mois que ça a commencé et j’étais le quatrième cas rien que pour aujourd’hui et que même son fils avait été touché. Je souris légèrement. Je savais maintenant où Jean-Marc avait passé ces 15 derniers jours ! Juste au moment de sortir, le docteur S. s’était retourné et avait lancé : « est-ce qu’il a déjà lécher ses pieds nus ? ». Devant l’air ahuri de mes parents, il fit lui-même la réponse. « Non ! Alors ne vous inquiétez pas, il ne va pas tarder à la faire… Ils le font tous et toutes ! » La, je me demande de quoi il parle ! bien sûr je ne peux plus mettre de chaussures, mais de la à lécher mes pieds ! Quelle drôle d’idée ! Je ne peux pas creuser la question car un orgasme menace d’exploser. C’est intolérable ! Je suis au bord du plaisir, l’instant privilégié ou l’orgasme va s’épanouir inévitablement… Sauf que là, cet instant dure ! C’est odieusement bon et je ne peux m’empêcher de donner un coup de rein pour déclencher la jouissance. D’un œil vide, je vois l’air dégouté de mes parents qui quittent la chambre en fermant la porte derrière eux. D’un, coup de jambe rageur je fais sauté le drap que ma mère s’obstine à me mettre sur le corps et qui m’irrite affreusement. Ce geste brusque a pour effet d’augmenter encore la puissance de l’orgasme et m’arrache cette fois un vrai cri de plaisir. On doit être mardi… je suis épuisé et je sommeille toujours presque au bord de l’orgasme… Maintenant, je ne contrôle plus rien. Je n’ai même plus la force de gonfler le ventre… L’orgasme explose sans que je fasse le moindre geste. Je savoure la jouissance dans un état second quand soudain, j’ai une sensation bizarre. Il me manque quelque chose, mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus… ça devient pourtant urgent car le manque devient infernal. Ce manque arrive même à occulter le plaisir pourtant toujours présent… je m’assoie, hagard ! Soudain, mes yeux tombent sur… Mes pieds nus ! Et là, je sais ! L’espace de quelques secondes, je pense à ce qu’à dit le médecin. En effet, je vais lécher mes pieds sans la moindre hésitation. J’enfoui mon visage entre mes deux plantes offertes. Dès que ma langue touche la peau de la plante, le plaisir reprend sa place dans mon ventre, encore plus fort, encore plus violent. Je suis incapable de mesurer le temps que je passe sur mes pieds nus, mais je sais que j’y passe beaucoup de temps… je ne peux plus m’en passer. Je reprends vraiment conscience le mardi d’après, soit 11 jours après les premières pointes de jouissance. Le plaisir est toujours présent, mais je peux maintenant de nouveau bouger et tenir une conversation. Il faut que j’attende le mercredi soir pour que le plaisir disparaisse complètement. Je ressens comme un grand vide. Heureusement, il suffit que je lèche mes pieds pour avoir un orgasme qui dure le temps que je lèche mes pieds… Encore 5 jours avant que je puisse m’habiller… je pense par contre que je ne remettrais jamais de chaussettes. Ça ne me surprend pas, avec ce que je sais maintenant, je comprends pourquoi certains de mes camarades sont pieds nus dans leurs sandales…