Trafic de Daingue

Le Daingue a généré beaucoup de trafics en tout genre.

Trafic de contamination secondaire

Les daingues ou les sujets en passe de le devenir sont très surveillés par les autorités sanitaires. Il est donc pratiquement impossible pour un normal d'approcher un Daingue pour se faire volontairement contaminer.

Quand un sujet contaminé arrive à passer à travers les mailles du filet sanitaire déployé par les réfractaires, il est important de récupérer le Daingue sécrété par le sujet… En effet, en dehors de la peau du Daingue, le Daingue peut rester actif plusieurs jours, mais pas indéfiniment. Il faut qu’il soit conservé à l’abri de l’air pour conserver pleinement son pouvoir contaminant.

Les adeptes ont mis au point un système de remplissage de petites capsules remplies sous vide et qui peuvent se conserver presque indéfiniment. Les capsules sont facilement dissimulables et donc facilement transportables. Il suffit d’écraser fortement la capsule entre ses doigts pour libérer la petite quantité de Daingue. Cette petite quantité est toutefois suffisante pour contaminer une personne voire plusieurs…

Même si les capsules de Daingue sont aujourd’hui relativement faciles à trouver, ce n’était pas le cas les premiers mois de la prolifération du Daingue. Les capsules étaient excessivement rares et donc très difficile à obtenir. Néanmoins, l’envie de devenir Daingue attirait de plus en plus de monde. Les adeptes, bien entendu, qui en même temps organisaient le trafic que capsules, mais aussi de plus en plus de normaux, malgré la propagande anti-Daingue que les réfractaires organisaient.