« Stades du Daingue » : différence entre les versions
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== Stade 6 - Nus(es)== | == Stade 6 - Nus(es)== | ||
C’est le dernier stade avant la métamorphose et le Daingue. Là encore, il faut nuancer les étapes de cette nudité… | |||
Au début, on peut facilement supporter la proximité du tissu (à condition de ne pas le toucher) mais plus l’heure de la métamorphose approche, et plus on s’éloigne du tissu sous toutes ses formes. | |||
Il se produit trois changements importants surviennent en même temps que cette nudité particulière pour laquelle il faudrait inventer un nouveau nom tant elle est différente de la nudité ordinaire. | |||
1. Les seins deviennent d’une extrême sensibilité, si sensibles que la nue ne peut plus prendre son plaisir toute seule de cette façon… Dès qu’elle y touche, le plaisir la paralyse et l’empêche d’atteindre l’orgasme… En revanche, si une autre nue lui touche la poitrine, l’orgasme est pratiquement instantané. | |||
2. Il est impossible de résister à l’envie de se lécher les pieds… Les crises d’amour du pied deviennent plus fréquentes et il est inutile d’essayer de différer la crise, ne serait-ce que de quelques secondes. | |||
3. La nue s’en vraiment s’en rendre compte est en perpétuel état d’excitation sexuelle. C’est d’ailleurs ce qui explique extrême sensibilité des seins et des pieds. Cette tension constante, le corps a énormément de mal à la supporter et doit par moment « relâcher la pression ». Cette soupape de sécurité se manifeste sous la forme d’un orgasme involontaire, appelé également crise involontaire. | |||
Avant la métamorphose, la nue peut avoir par 24 heures jusqu’à 6 crises involontaire (parfois 8 ou 10) et 6 crises d’amour du pied. (Parfois plus si elles sont volontairement provoquées. | |||
== Stade 7 - Métamorphose == | == Stade 7 - Métamorphose == | ||
Version du 21 août 2023 à 12:09
Stade 1 - Contamination
Une fois que l’on rentre en contact avec du Daingue, il n’y a plus rien à faire… Quoi qu’il arrive, le Daingue va entamer son inexorable progression. Même si la personne contaminée intervient immédiatement, dans la seconde après le contact, il est déjà bien trop tard… Dès que le Daingue touche votre peau, il est aussitôt absorbé et laver la peau pendant plusieurs heures ne sert strictement à rien. Entrée en contact avec du Daingue. La contamination est instantanée et irréversible. Le Daingue pénètre instantanément dans l’organisme. Inutile de se laver pendant plusieurs heures pour tenter d’éliminer le Daingue, ça ne sert strictement à rien.
Stade 2 - Tongs
Quel que soit le type de contamination, le Daingue commence toujours, sans exception à se manifester par les pieds. Très vide, le sujet ne supporte plus les chaussettes et les chaussures fermées… Ce stade peut durer deux ou trois jours, au pire 1 semaine, rarement plus longtemps. Psychologiquement, c’est une phase très délicate… Tu n’as encore aucun bénéfice du Daingue mais tu en as déjà ce qui apparait pour toi comme un inconvénient majeur… Ne plus pouvoir te chausser et exposer la preuve de ta contamination à tout le monde. On ne remarque pas trop les tongs au cœur de l’été, mais en hiver, voir quelqu’un marcher en tongs dans la neige ou par moins 10 degrés est l’équivalent d’une signature. A début de l’épidémie, voir les filles du lycée en tongs en plein hivers faisait beaucoup rire… Enfin, ceux qui n’étaient pas contaminés, bien entendu, parce que les contaminés, pas vraiment. Les autorités sanitaires ont très vite compris l’immense risque que représentait la propagation incontrôlable du Daingue et ils ont très rapidement favorisé la mise à l’écart des contaminés, dès qu’un symptôme visible se manifestait. Très vite, les gens contaminés apprenaient ce qui les attendait dans les prochains jours ou les prochaines semaines… (Voir les fulgurants). On ne pouvait naturellement pas cacher très longtemps l’évolution d’une telle maladie. En bref, « les tongs » sont très souvent déprimés et obéissent aveuglément aux autorités sanitaires, sans chercher à comprendre, lesquelles, autorités promettant un traitement imminant.
Stade 3 - Barefoot sandals
Stade 4 - Pieds nus
Enfin vient le moment à la fois redouté ou attendu… Les pieds sont définitivement nus… Fini les tongs ou les barefoot Sandals… L’attrait pour les pieds nus qui commençait déjà à éclore avec les tongs et/ou les barefoot Sandals prend des proportions que certains qualifieraient d’inquiétantes. Naturellement, les personnes non contaminées ne peuvent pas comprendre cette obsession soudaine… Combien de « Tongs » ont dit : « S’il y a une chose que je ne pourrais jamais faire, c’est bien de lécher ou d’embrasser mes propres pieds nus… Et encore moins ceux de quelqu’un d’autre… » Les barefoot Sandals étaient déjà beaucoup moins catégoriques. Là, ils sont au pied du mur… L’envie de lécher ses pieds nus est bien présente ainsi que l’intérêt non dissimulé qu’ils portent aux autres pieds nus… Ils savent très bien que tant qu’ils seront habillés, l’envoie pourra en général être contenue… Mais comme l’envie d’être nu commence elle aussi à se manifester de façon insistante, ils savent que le temps est compté. Il arrive qu’un sujet arrive à se déshabiller pour prendre une douche et se rhabille en résistant à son horrible envie de pieds nus… Mais ça lui a demandé un tel effort qu’il sait que la prochaine fois, il n’en sera probablement pas capable. Cette première « crise d’amour du pied », puise que c’est le nom qui lui a été donnée par les premiers Daingues, marque un tournant capital dans la progression de la maladie. La fin d’une époque et le commencement d’une ère nouvelle. Dès que la langue touche la plante du pieds nus, l’orgasme qui se développe dans leur bas ventre et leur ventre est d’une telle force qu’il efface instantanément toutes les peurs et les appréhensions ! Il n’existe plus que le pied et le plaisir. Tout le reste s’est immédiatement évaporé ! Ce n’est que quand le sujet reprend ses esprits, parfois plusieurs heures plus tard, qu’il comprend que sa vision du Daingue à complétement changée. Il ne craint plus de lécher ses pieds nus, il aime les pieds nus, il aime ses pieds nus et n’a plus peur de le crier ! Dans la plupart des cas, Il se demande pourquoi il ne l’a pas fait plus tôt ! La suite ne lui fait plus peur non plus… Il fait que la nudité va progressivement prendre possession de son corps et que le plaisir et son amour pour les pieds nus ne vont pas cesser de grandir. Pour les autorités sanitaires, c’est aussi la fin de l’emprise qu’ils pouvaient avoir sur les contaminés. Inutile d’espérer les contrôler maintenant que la peur a complètement disparue…
Stade 5 - Pieds & seins nus
Naturellement, la nudité ne s’arrête pas aux pieds… Là encore, la progression du Daingue varie beaucoup selon les personnes. (Pour des renseignements plus précis, cliquez sur Lexique du Daingue) En revanche, dès que les premiers signes d’intolérance au tissu surviennent, il faut à peine 48 heures pour que la poitrine soit définitivement et totalement nue. Du fait de cette nudité des seins, le sujet contrôle beaucoup moins bien ses envies de pieds nus… Si le « pieds nus » peut assez facilement attendre de se déshabiller pour satisfaire son besoin de ses pieds nus, ce n’est plus du tout le cas quand les seins du sujet sont nus. La crise d’amour du pied survient presque aussi rapidement et presque aussi violement que si le sujet était entièrement nu. C’est la principale raison pour laquelle le sujet décide la plupart du temps de vivre nu avant d’y être réellement contraint. Il faut bien avouer également que dès que le sujet a goûté au plaisir de lécher ses pieds nus (ou les pieds nus de quelqu’un d’autres) l’envie de vivre nu ne le quitte jamais.
Stade 6 - Nus(es)
C’est le dernier stade avant la métamorphose et le Daingue. Là encore, il faut nuancer les étapes de cette nudité… Au début, on peut facilement supporter la proximité du tissu (à condition de ne pas le toucher) mais plus l’heure de la métamorphose approche, et plus on s’éloigne du tissu sous toutes ses formes. Il se produit trois changements importants surviennent en même temps que cette nudité particulière pour laquelle il faudrait inventer un nouveau nom tant elle est différente de la nudité ordinaire. 1. Les seins deviennent d’une extrême sensibilité, si sensibles que la nue ne peut plus prendre son plaisir toute seule de cette façon… Dès qu’elle y touche, le plaisir la paralyse et l’empêche d’atteindre l’orgasme… En revanche, si une autre nue lui touche la poitrine, l’orgasme est pratiquement instantané. 2. Il est impossible de résister à l’envie de se lécher les pieds… Les crises d’amour du pied deviennent plus fréquentes et il est inutile d’essayer de différer la crise, ne serait-ce que de quelques secondes. 3. La nue s’en vraiment s’en rendre compte est en perpétuel état d’excitation sexuelle. C’est d’ailleurs ce qui explique extrême sensibilité des seins et des pieds. Cette tension constante, le corps a énormément de mal à la supporter et doit par moment « relâcher la pression ». Cette soupape de sécurité se manifeste sous la forme d’un orgasme involontaire, appelé également crise involontaire. Avant la métamorphose, la nue peut avoir par 24 heures jusqu’à 6 crises involontaire (parfois 8 ou 10) et 6 crises d’amour du pied. (Parfois plus si elles sont volontairement provoquées.
Stade 7 - Métamorphose
Pendant toute la période de nudité, le Daingue prend peu à peu possession du corps du sujet. Les orgasmes involontaires (ou crises spontanées) deviennent de plus en plus fréquents. De 1 par 24 heures au début de la période ils peuvent atteindre de 6 à 10 par 24 heures en approchant de la métamorphose. Qu’est-ce que la métamorphose ? Comme vous le savez, on sait peu de chose en fait sur le Daingue et bien souvent, le peu que l’on sait est remis en cause par de nouvelles observations. En fait, nous en sommes réduits à des suppositions. On suppose que l’organisme des « presque Daingues » devient incapable de supporter les doses sans cesse plus forte de plaisir, ces sortes de beta endorphines sécrétées dans leur cerveau et que se répand dans tout leur corps. En réaction à ce flot d’endorphine qui devient incontrôlable, les cellules subissent une sorte de mutation que permets de supporter cette jouissance grandissante sans mettre en danger la vie du sujet. Le Daingue, la substance qui résiste jusqu’alors à toute les analyses, devient enfin visible à l’œil nu. Dès le début de la métamorphose, le sujet est paralysé par un orgasme qui ne s’arrête pas et qui ne cesse de grandir. Le Daingue commence à apparaitre sur pieds, puis sur les seins. Au bout de quelques heures, on a l’impression que le sujet a été trempé dans une piscine. La métamorphose peut durer d’une demi-journée à deux jours… C’est à partir de ce moment, dès l’apparition du Daingue sur la peau que les sujets deviennent extrêmement contagieux