« Stades du Daingue » : différence entre les versions

De Lexique du Daingue
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== Stade 4 -  Pieds nus==
== Stade 4 -  Pieds nus==
Enfin vient le moment à la fois redouté ou attendu… Les pieds sont définitivement nus… Fini les tongs ou les barefoot Sandals… L’attrait pour les pieds nus qui commençait déjà à éclore avec les tongs et/ou les barefoot Sandals prend des proportions que certains qualifieraient d’inquiétantes. Naturellement, les personnes non contaminées ne peuvent pas comprendre cette obsession soudaine…
Combien de « Tongs » ont dit : « S’il y a une chose que je ne pourrais jamais faire, c’est bien de lécher ou d’embrasser mes propres pieds nus… Et encore moins ceux de quelqu’un d’autre… » Les barefoot Sandals étaient déjà beaucoup moins catégoriques. Là, ils sont au pied du mur… L’envie de lécher ses pieds nus est bien présente ainsi que l’intérêt non dissimulé qu’ils portent aux autres pieds nus…
Ils savent très bien que tant qu’ils seront habillés, l’envoie pourra en général être contenue… Mais comme l’envie d’être nu commence elle aussi à se manifester de façon insistante, ils savent que le temps est compté.
Il arrive qu’un sujet arrive à se déshabiller pour prendre une douche et se rhabille en résistant à son horrible envie de pieds nus… Mais ça lui a demandé un tel effort qu’il sait que la prochaine fois, il n’en sera probablement pas capable.
Cette première « crise d’amour du pied », puise que c’est le nom qui lui a été donnée par les premiers Daingues, marque un tournant capital dans la progression de la maladie. La fin d’une époque et le commencement d’une ère nouvelle.
Dès que la langue touche la plante du pieds nus, l’orgasme qui se développe dans leur bas ventre et leur ventre est d’une telle force qu’il efface instantanément toutes les peurs et les appréhensions ! Il n’existe plus que le pied et le plaisir. Tout le reste s’est immédiatement évaporé ! Ce n’est que quand le sujet reprend ses esprits, parfois plusieurs heures plus tard, qu’il comprend que sa vision du Daingue à complétement changée.
Il ne craint plus de lécher ses pieds nus, il aime les pieds nus, il aime ses pieds nus et n’a plus peur de le crier ! Dans la plupart des cas, Il se demande pourquoi il ne l’a pas fait plus tôt !
La suite ne lui fait plus peur non plus… Il fait que la nudité va progressivement prendre possession de son corps et que le plaisir et son amour pour les pieds nus ne vont pas cesser de grandir.
Pour les autorités sanitaires, c’est aussi la fin de l’emprise qu’ils pouvaient avoir sur les contaminés. Inutile d’espérer les contrôler maintenant que la peur a complètement disparue…


== Stade 5 -  Pieds & seins nus==
== Stade 5 -  Pieds & seins nus==

Version du 21 août 2023 à 12:07

Stade 1 - Contamination

Une fois que l’on rentre en contact avec du Daingue, il n’y a plus rien à faire… Quoi qu’il arrive, le Daingue va entamer son inexorable progression. Même si la personne contaminée intervient immédiatement, dans la seconde après le contact, il est déjà bien trop tard… Dès que le Daingue touche votre peau, il est aussitôt absorbé et laver la peau pendant plusieurs heures ne sert strictement à rien. Entrée en contact avec du Daingue. La contamination est instantanée et irréversible. Le Daingue pénètre instantanément dans l’organisme. Inutile de se laver pendant plusieurs heures pour tenter d’éliminer le Daingue, ça ne sert strictement à rien.

Stade 2 - Tongs

Quel que soit le type de contamination, le Daingue commence toujours, sans exception à se manifester par les pieds. Très vide, le sujet ne supporte plus les chaussettes et les chaussures fermées… Ce stade peut durer deux ou trois jours, au pire 1 semaine, rarement plus longtemps. Psychologiquement, c’est une phase très délicate… Tu n’as encore aucun bénéfice du Daingue mais tu en as déjà ce qui apparait pour toi comme un inconvénient majeur… Ne plus pouvoir te chausser et exposer la preuve de ta contamination à tout le monde. On ne remarque pas trop les tongs au cœur de l’été, mais en hiver, voir quelqu’un marcher en tongs dans la neige ou par moins 10 degrés est l’équivalent d’une signature. A début de l’épidémie, voir les filles du lycée en tongs en plein hivers faisait beaucoup rire… Enfin, ceux qui n’étaient pas contaminés, bien entendu, parce que les contaminés, pas vraiment. Les autorités sanitaires ont très vite compris l’immense risque que représentait la propagation incontrôlable du Daingue et ils ont très rapidement favorisé la mise à l’écart des contaminés, dès qu’un symptôme visible se manifestait. Très vite, les gens contaminés apprenaient ce qui les attendait dans les prochains jours ou les prochaines semaines… (Voir les fulgurants). On ne pouvait naturellement pas cacher très longtemps l’évolution d’une telle maladie. En bref, « les tongs » sont très souvent déprimés et obéissent aveuglément aux autorités sanitaires, sans chercher à comprendre, lesquelles, autorités promettant un traitement imminant.

Stade 3 - Barefoot sandals

Stade 4 - Pieds nus

Enfin vient le moment à la fois redouté ou attendu… Les pieds sont définitivement nus… Fini les tongs ou les barefoot Sandals… L’attrait pour les pieds nus qui commençait déjà à éclore avec les tongs et/ou les barefoot Sandals prend des proportions que certains qualifieraient d’inquiétantes. Naturellement, les personnes non contaminées ne peuvent pas comprendre cette obsession soudaine… Combien de « Tongs » ont dit : « S’il y a une chose que je ne pourrais jamais faire, c’est bien de lécher ou d’embrasser mes propres pieds nus… Et encore moins ceux de quelqu’un d’autre… » Les barefoot Sandals étaient déjà beaucoup moins catégoriques. Là, ils sont au pied du mur… L’envie de lécher ses pieds nus est bien présente ainsi que l’intérêt non dissimulé qu’ils portent aux autres pieds nus… Ils savent très bien que tant qu’ils seront habillés, l’envoie pourra en général être contenue… Mais comme l’envie d’être nu commence elle aussi à se manifester de façon insistante, ils savent que le temps est compté. Il arrive qu’un sujet arrive à se déshabiller pour prendre une douche et se rhabille en résistant à son horrible envie de pieds nus… Mais ça lui a demandé un tel effort qu’il sait que la prochaine fois, il n’en sera probablement pas capable. Cette première « crise d’amour du pied », puise que c’est le nom qui lui a été donnée par les premiers Daingues, marque un tournant capital dans la progression de la maladie. La fin d’une époque et le commencement d’une ère nouvelle. Dès que la langue touche la plante du pieds nus, l’orgasme qui se développe dans leur bas ventre et leur ventre est d’une telle force qu’il efface instantanément toutes les peurs et les appréhensions ! Il n’existe plus que le pied et le plaisir. Tout le reste s’est immédiatement évaporé ! Ce n’est que quand le sujet reprend ses esprits, parfois plusieurs heures plus tard, qu’il comprend que sa vision du Daingue à complétement changée. Il ne craint plus de lécher ses pieds nus, il aime les pieds nus, il aime ses pieds nus et n’a plus peur de le crier ! Dans la plupart des cas, Il se demande pourquoi il ne l’a pas fait plus tôt ! La suite ne lui fait plus peur non plus… Il fait que la nudité va progressivement prendre possession de son corps et que le plaisir et son amour pour les pieds nus ne vont pas cesser de grandir. Pour les autorités sanitaires, c’est aussi la fin de l’emprise qu’ils pouvaient avoir sur les contaminés. Inutile d’espérer les contrôler maintenant que la peur a complètement disparue…

Stade 5 - Pieds & seins nus

Stade 6 - Nus(es)

Stade 7 - Métamorphose

Pendant toute la période de nudité, le Daingue prend peu à peu possession du corps du sujet. Les orgasmes involontaires (ou crises spontanées) deviennent de plus en plus fréquents. De 1 par 24 heures au début de la période ils peuvent atteindre de 6 à 10 par 24 heures en approchant de la métamorphose. Qu’est-ce que la métamorphose ? Comme vous le savez, on sait peu de chose en fait sur le Daingue et bien souvent, le peu que l’on sait est remis en cause par de nouvelles observations. En fait, nous en sommes réduits à des suppositions. On suppose que l’organisme des « presque Daingues » devient incapable de supporter les doses sans cesse plus forte de plaisir, ces sortes de beta endorphines sécrétées dans leur cerveau et que se répand dans tout leur corps. En réaction à ce flot d’endorphine qui devient incontrôlable, les cellules subissent une sorte de mutation que permets de supporter cette jouissance grandissante sans mettre en danger la vie du sujet. Le Daingue, la substance qui résiste jusqu’alors à toute les analyses, devient enfin visible à l’œil nu. Dès le début de la métamorphose, le sujet est paralysé par un orgasme qui ne s’arrête pas et qui ne cesse de grandir. Le Daingue commence à apparaitre sur pieds, puis sur les seins. Au bout de quelques heures, on a l’impression que le sujet a été trempé dans une piscine. La métamorphose peut durer d’une demi-journée à deux jours… C’est à partir de ce moment, dès l’apparition du Daingue sur la peau que les sujets deviennent extrêmement contagieux

Stade 8 - Daingue